qu'elle rétablisera et à ce moment vous étiez libre de pratiquer votre liberté car impossible de pratiquer la liberté dans un milieu non sécuriser même vous au temps que vous étiez journaliste vous pouvez pas exprimer librement c'est la crainte .

Dans une vidéo publiée sur Facebook vendredi 9 juillet 2015, Néji Bghouri, président du syndicat général des journalistes tunisiens (SNJT), est revenu sur l’affaire du journaliste Noureddine Mbarki.
Selon lui, le fait qu’un journaliste soit accusé de terrorisme pour avoir publié une photo dans un journal ou sur un site est une atteinte à la liberté d’expression et à la liberté de presse. Et l’accusation que connaît aujourd’hui le journaliste Noureddine Mbarki n’est qu’un moyen pour Ennahdha et Nidaa Tounes de cacher leur échec à la gouvernance du pays et dans la lutte contre le terrorisme.
Il dénonce la démarche gouvernementale qui cherche à réduire les libertés des journalistes en les empêchant de dénoncer les actions du gouvernement, alors que c’est leur principale mission.

Commentaires (7)
CommenterS'il y a des échecs et mêmes les journalistes .
qu'elle rétablisera et à ce moment vous étiez libre de pratiquer votre liberté car impossible de pratiquer la liberté dans un milieu non sécuriser même vous au temps que vous étiez journaliste vous pouvez pas exprimer librement c'est la crainte .
syndicat ou partis politique
Quelle débilité !!!
Un agité......
Ca ne marche plus
En été l'eau de mer est bénigne
nul

