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Morched Driss : Noureddine Taboubi nous a annoncé le limogeage prochain de Néji Jelloul
04/03/2017 | 11:58
1 min
Morched Driss : Noureddine Taboubi nous a annoncé le limogeage prochain de Néji Jelloul

Le secrétaire général adjoint du syndicat de l’enseignement secondaire, Morched Driss, a indiqué, ce samedi 4 mars 2017, sur Jawhara Fm, que Noureddine Taboubi a confié au syndicat le limogeage prochain du ministre de l’Education, Néji Jalloul.

 

« Cette décision ne prendra pas effet tout de suite pour qu’on n'ait pas l’impression que le gouvernement a cédé aux pressions de l’UGTT » aurait expliqué le SG de l’UGTT, selon Morched Driss.

 

« Nous avons confiance en Noureddine Taboubi mais, malheureusement, pas en la présidence du gouvernement et nous continuerons, de ce fait, à préparer nos plans de lutte » a souligné secrétaire général adjoint du syndicat général de l’enseignement secondaire.

 

04/03/2017 | 11:58
1 min
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Commentaires (39)

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URMAX
| 06-03-2017 10:30
...
J'éspère que JALLOUL arrivera à imposer les réformes qu'il propose

Oui.
Ce serait vraiment bien qu'il y parvienne.
Rahou, les réformes que Jalloul essaie de faire passer et adopter, sont loin d'être "mauvaises" ; au contraire !
...
Nos jeunes ont - plus que jamais - besoins d'être correctement encadrés, après ces années de laxisme et de nonchalance débordante.
...
Oui. L'enseignement actuel est loin - très loin - de pouvoir fournir la "qualité" de ce que je qualifierais volontier "de summum" de l'enseignement durant l'âge d'or de Khaznadar et de Sadiki.
...
Pourquoi sommes nous arrivée si bas ?
...
- La volonté ; cette verve ; cette ferveur qui devrait animer chaque enseignant à transmettre "son savoir" aux nouvelles générations, n'y est plus.
...
Aujourd'hui, les enseignants font ce métier, parce qu'il y a beaucoup de congés durant l'année et peu d'heures de cours par semaine !
Bref, aucune volonté. Minable.
...
Les enseignants d'aujourd'hui, font aussi ce métier pour des raisons financières :
Mon pas pour leur salaire mensuel, mais pour les milliers de Dinars amassés grâce aux "cours particuliers - pratique illégale - ; - double emploi - ; - corruption, parce que "non déclarés" au fisc -.
...
Et puis, nos jeunes ont besoin :
d'Ordre ;
de Discipline ;
d'exemples de Conscience Professionnelle ;
...
et certainement pas de "générateurs de grèves" (comme cet UGTT de paresseux qui veulent foutre notre pays en l'air), de laisser-aller, d'hystérie (à entendre hurler les enseignants entre-eux durant les récréations) et de va-et-viens continus entre les classes et la direction !
...
et oui, la vérité est parfois dure à entendre ...
...
@ TABOUBI : Ma 3andek hatta dekhel fil siyassa !
Ok3ed tlehi bel naquaba, ou bess !
...
Et vous, notre gouvernement ; vous êtes mous, trop mous !
Des "fourrent leur nez partout" qui arrivent ainsi à ébranler un gouvernement ?!?
...
Mais on ne vous entend même pas vous défendre ! Ma parole, mais vous êtes à la merci de cette misérable vermine !
...
Mais c'est pas possible, bon sang !
...
Mais si vous êtes aussi statiques et soumis que cela, que vous n'avez aucun poids décisionnel, mais dégagez, dans ce cas !
...
Notre Nation, la Tunisie, à besoin de personnalités bouillonnant d'énergie ; certainement pas "d'un plat de spaghetti qui ont bouilli pendant 1 heure" !!!!!!!!
...
URMAX

Tounsi
| 05-03-2017 13:20
Je ne sais pas quu est ce neji jalloul pour qui des gens menent une compagne pour en faire un heros? Toute cette industrie pour faire de lui un futur president ou un chef de gouvernement est flagrante et on n a pas besoin de lui c est un homme de conflit comment luiconfier l avenir de nos enfants ou encore pire notre pays nous avons besoin pour les deux d un patriotique qui rassemble et qui laisse derriere sa ideologie et regarde l interet du pays et qui sauvegarde le modele tunisien moderne enracine dans son histoire et nous detestons toute sorte d extremisme soit de gauche ou de droite et non pas essayer de s infiltrer dans nos institutions scolaires pour faire passer leurs ideologies a nos enfants et pour finir jalloul quitte notre ecole et laisse nous tranquille et au moins soit reconnaissant envers cette ecole nationale moderee qui a fait de toi ce que tu est
Notre systeme educatif et nos enseignants passent avant toi et tes idees et ton idelogie connue cachee sous nidaa tounes et avant tous les politiciens bref nous voulons une generation purement tunisienne non obscedee ni par la droite ou par ta gauche malade

Mansour Lahyani
| 05-03-2017 09:23
Curieux : mon commentaire posté le 4/3 semble n'avoir pas trouvé grâceaux yeux de BN... Le revoici, donc :
Noureddine Taboubi aurait confié au syndicat le limogeage prochain du ministre de l'Education, Néji Jalloul, et ces connards de syndicalistes l'ont cru ! Heureusement, il y a toujours loin de la coupe aux lèvres... Même s'il n'est pas invraisemblable qu'un syndicaliste imbécile trouvera toujours d'autres syndicalistes plus imbéciles que lui...


B.N : Cher lecteur, nous n'avons pas reçu de commentaires de votre part sous cet article. Merci de vérifier, bonne lecture.

Fadhel
| 05-03-2017 06:12
Mr le chef de gouvernement, ayez toujours dans la tete l'idée que celui qui cède une fois, cèdera pour toujours .

khneji
| 04-03-2017 23:10
Nous avons entendu 2 versions divergentes de la part de Mrs Taboubi et Morched !!!Qui est le menteur parmi les 2 ???

AMOROS
| 04-03-2017 22:49
De prime abord, il faut s entendre que le vrai responsable d un département ministériel est celui qui a les capacités de résoudre les problèmes de son département et surtout ceux qui touchent le volet ressources humaines en temps voulu. Malheureusement ce n est pas le cas pour le professeur Neji Jelloul ministre de l Éducation Nationale qui s est comporté au début de la crise avec les enseignants mollement et d une façon amorphe. Le traitement du volet financier se rapportant au plan de carrière et des promotions des éducateurs. Ces promotions ont été attribuées à tout le monde sans différencier entre l excellent, le médiocre et le non méritant. Il a perdu une grande occasion pour s adapter aux nouvelles réalités et les exigences de son poste dans ses relations avec la puissante centrale syndicale. Voulant se montrer autoritaire, il joua le bras de fer avec les syndicalistes très soudés et en bonne connaissance des dossiers il ne pouvait plus peser sur les pédales. Plusieurs de ses décisions étaient arbitraires et ont nécessité des rectifications selon la logique des choses. Sieur Jelloul s est laissé tombé dans le guet-apens tendu par les loups chevronnés de l UGTT. Ses interventions catastrophiques en sont témoins. Pour ce qui est des points évoqués par Rationnel et qu il considérait comme étant des réformes, ce ne sont en réalité que des régularisations de situations arrêtées par ses prédécesseurs et retardées pour des raisons politique. Les vrais problèmes de la réforme souhaitée sont en SUSPENS et n ont pas été abordées par la faute et le comportement irresponsable du ministre. Il n a pas gardé les pieds sur terre et il a outrepassé parfois les limites de la correction avec l UGTT et ses structures syndicales. Maintenant il est tard le train à quitté la gare et le chef de gouvernement est dans l impasse en raison de son ministre qui se croyait au dessus de toute évaluation. Qu on le veuille ou non les enseignants ont droit à plus de respect

Citoyen de Tunisie
| 04-03-2017 22:09
Le limogeage de Mr Neji Jalloul de son poste de ministre de l'éducation mettra fin au gouvernement car le peuple veut qu'il reste.
Ce ministre dérange car il est stricte et chez malheureusement les syndicats règnent en maître sur le pays par des exigences sans limites sinon c'est la grève.
Nous voulons un pays gouverné par une main de maître et que le syndicat pousse ses fainéants affiliés à travailler dans l'intérêt du pays. Ils sont tellement cons qu'ils ne voient pas que le pays est au pied du mur.

IB1966
| 04-03-2017 20:56
Madame, juste pour confirmer vos propos et j'en rajoute une couche, le sieur L. Yaacoubi est manipulé et vous savez par qui? Par un autre sieur, j'ai nommé S. Laabieh, le ministre non démissionnaire à l'époque de la troïka, et en arrière plan, Ennadha qui ne voit pas d'un bon 'il, un réformiste comme N. Jelloul. Y. Chahed ne doit pas céder sinon ce sera la fin de sa vie politique et surtout l'instauration d'une dictature sauvage, celle de l'U.g.t.t.

TMT
| 04-03-2017 20:48
A-t-il inventé cette histoire?
Il vient d'être démenti par le SG de la Centrale et par le Gouvernement.
Pour sa première sortie,le pauvre se fait griller...
Ça lui apprendra de jouer dans la cour des grands.

je dis la vérité
| 04-03-2017 19:37
Notre défaut, nous les citoyens tunisiens, c'est que nous avons peur du progrès.

D'autres nations, comme la Corée du Sud, l'Inde ou le Brésil, avaient il y a quelques décennies des problèmes sociaux et économiques, pires que les nôtres, se sont hissés à des niveaux enviables, parce qu'elles croient au progrès.

Enchaînés par le boulet des "valeurs" fausses de l'Islam, imposées arbitrairement par des "oulémas" du 7ème siècle.Or, le texte coranique, source de foi et croyance, ne vous empêche nullement de travailler, de progresser ou de voyager dans l'espace.
Le texte coranique est clair : vous humains, vous êtes appelés à adorer Dieu, mais votre liberté est en vous.C'est simple.

Handicapés par le carcan de l'immobilisme, les nations arabes font toujours du sur-place. Beaucoup de nations, tiraillées par les idéologies rétrogrades d'un wahhabisme rampant, reculent même.Nous sommes en danger.

Revenons à l'éducation, pour ne pas nous écarter du sujet.

L'école est aujourd'hui en crise.Nos enfants ne s'intéressent pas passionnément au Savoir comme leurs parents. Ils ont (eh oui), une autre vision du Savoir.
Nous sommes à l'ère de la calculette, de l'image à la télévision, du copié-collé, du cell-phone, du numérique et du moindre effort.Urbains ou ruraux, nos enfants pensent pareil.
Il leur faut une autre pédagogie, une autre manière de leur inculquer le Savoir. Et quel Savoir? Pas celui des années 50 !

Dans les collèges et lycées, même chose.
Nos adolescents sont plus "malins" que nous, leurs parents.Ils ont une vision négative de leur avenir. Un avenir, pour eux, pas rassurant.
Une fracture enseignant-élève, se répand aujourd'hui dans nos établissements du secondaire.
Notre actuel Gouvernement, par la voie de son Ministre de l'Education, travaille sur une réforme de l'enseignement. Nous n'avons pas vu, jusqu'à maintenant grand'chose.

Plus.... Ce qui inquiète les éducateurs du Public, c'est l'idée sournoise de privatiser progressivement l'enseignement.
C'est grave, si une dérive va dans ce sens.
L'enseignement pour les riches, on n'en veut pas en Tunisie.
Nos élites ont peur du progrès. Nos élites ne se décident pas s'il faut continuer dans le bilinguisme ou s'il faut adopter l'arabe littéral comme langue de travail.Nos élites ne savent pas ce qu'il faut enseigner en mathématiques, en biologie ou en histoire.
Nos élites se contre-disent sur le nombre d'heures à enseigner.
Nos élites se perdent dans les détails et passent à côté du progrès. Ils font du sur-place et de l'immobilisme.

Pendant ce temps, nos progénitures tournent le dos au Savoir et périclitent dans les drogues.