
L’ancien président provisoire de la République, Moncef Marzouki, a poursuivi son témoignage sur Al Jazeera pour le 26ème épisode consécutif, dans le cadre de l’émission Shahed Ala Asr, assurant que la publication du Livre noir a été faite à son insu.
« Le Livre noir a été élaboré dans l’objectif de transmettre à l’Assemblée nationale constituante les documents prouvant la corruption dans le domaine des médias sous le régime de Ben Ali », a-t-il précisé. Et d’ajouter que ce document, réalisé par le service de la communication de la présidence de la République, a été fuité et rendu public à son insu, soulignant que la publication n’a pas eu l’effet escompté. « Nous nous attendions à ce que l’Assemblée mette en place un système juridique pour organiser le secteur des médias, et combattre la corruption, mais il n’en était rien ».
Par ailleurs, il a indiqué qu’une enquête a été menée au sujet de la fuite, et que le responsable a été identifié et des mesures disciplinaires ont été prises à son encontre. Malgré cela, aucune information supplémentaire n’a été fournie à propos du responsable de la fuite, et le journaliste, Ahmed Mansour, n’a réagi, à aucun moment, sur ce point.
S.H



Commentaires (32)
CommenterLES TUNISIENS ET LES TUNISIENNES ONT RECOLTE CE QU'ILS OU CE QU'ELLES ONT SEME
Trois longues années a oublier
N'est il pas plus commode pour un ange de son espèce d'aller ailleurs, chercher un peuple composé d'anges a son image ?
Un ange n'est vraiment pas capable de diriger un peuple de diables.
Notre tartour toujours pris au dépourvu
Saha enoum,
a ces moments pénibles et aléatoires, que faire?
Pas de tolérance avec le terrorisme .
Ce président été très vigilent sans relâche et son bras de fer toujours présent pour contre carré ces chacals féroces qui n'ont pas de foie ni humanité leur rêve que les crimes sans frontière .
Je sure et certain que ceux qui ont accusé Ben Ali de la dictature ont conclu que Ben Ali était dans la bonne chemin et ce qu'il avait commis était une prévention contre le terrorisme à l'intérieur qu'a l'extérieure .
chuuuuuuut
Une tâche immonde
Il prouve par force que ses proches collaborateurs l'ont trahi ????????
Un livre conçu à la présidence et publié à son insu ??????
Faut vraiment croire que ce GOUMI n'était qu'un pantin à la merci d'un « COURANT DOMINANT » ...
Faut expliquer à ce GOUMI ... cet inutile que les médias MAINSTREAM ou « COURANT DOMINANT » ont existé de tout temps et sous des régimes différend pour accompagner l'action d'un GVT ...
Les exemples sont légions ... pas la peine de m'attarder la dessus ...
Appuyer l'invasion de l'Irak fallait des journalistes aux ordres pour manipuler l'opinion mondiale ...
Faire passer une loi ... le GVT d'un pays s'appui sur des médias proches ...
Dire que des journalistes Tunisiens ont servi le régime de BenAli ... Oui bien sur ... il y a eu des journalistes pro BenAli et des contre ...
Quand les socialistes en France ont dégagé ... Macron n'a pas poursuivi les médias qui lui étaient hostiles .... enfin !!!!!
Ce GOUMI prouve encore une fois que la démocratie est un vain mot dans sa bouche fétide ...
De plus ce minable est connu maintenant pour la RÉÉCRITURE de l'histoire ... un RÉVISIONNISTE ... il a déjà réécris son pédigrée en s'adjugeant des FAITS D'ARMES INEXISTANTS .. même ses compagnons l'ont dénigré ....
Le livre noir comme son âme a été édité sous ses ordres ... il faut revenir sur les titres de l'époque et en voici un ...
France 24 est l'autre Al Kehnzeera, un média mainstream ...
Titre paru le 13/12/2013, on ne peut pas faire mieux sur ses mensonges ... tout est archivé yé GOUMi yé basané ...
"Depuis la publication PAR LE PRESIDENT tunisien d'un livre sur le système de propagande du régime de Ben Ali, la polémique enfle "...
VOUS AVEZ BIEN LU ...
« PAR LE PRÉSIDENT TUNISIEN ... » il ne peut pas se défausser ... mais le journaliste en face est ACHETÉ ...un journaleux de la pire espèce ... interdit de séjour dans son propre pays l'Égypte pour son soutient à DAECH ... on le retrouvera un jour avec une balle dans la tête dans un caniveau ...
http://www.france24.com/fr/20131212-consequences-politiques-livre-noir-marzouki-ben-ali-tunisie
L'image positive du régime de Ben Ali était relayé par des médias étrangers et non Tunisiens ... faut-il aussi condamner ces journalistes et salir leur réputation ????
Que fait actuellement ce GOUMI ???? Il contacte des médias mainstream tel Al Khenzeera pour relayer sa propagande INFECTE de diviseur de la nation Tunisienne ou je me trompe ?????
BenAli avait le mérite de livrer une image positive de la Tunisie à l'étranger et non de baver son vomi sur la Tunisie ... Ben Ali a fait voté une loi criminalisant tout citoyen insultant le pays à l'étranger ....et ce minable n'hésite pas à vomir sa haine de la Tunisie à l'étranger ....
Que fait Nahdha pour lisser son image à l'étranger ???
Nahdha contacte des médias étranger et des instituts de communications de renom pour relayer un discours modéré ...de parti conservateur / démocrate etc ...
Faut-il dans un proche avenir condamner ces médias d'avoir servi de tremplin à l'islamisme en Tunisie ????
Faut-il demain poursuivre les journalistes pro Nahdha ou des médias tel Zitouna TV ?????????????
C'est de bonne guerre ... chaque régime s'entoure de compétence pour garder le haut du pavé ...
marzouki le HARKI ne fait pas mieux par contre pire c'est INDÉNIABLE .... Si à chaque changement de régime on lance une inquisition la Tunisie ne se relèvera JAMAIS ... Hatem Chaieb
Cette Constituante que ses ennemis appellent "provisoire", est la première chambre des députés élue démocratiquement et directement par le peuple tunisien, de toute l'histoire de la Tunisie et du monde arabe.
Que tous les Tunisiens sachent et apprennent, que dans les vraies démocraties, tout est «provisoire». Le mot «provisoire» fait la force de toute démocratie sur cette terre. Le grand nombre de démissions qu'on voit partout dans les pays démocratiques, fait foi. Que ceux qui se moquent du mot «provisoire» sachent et apprennent, qu'il n'y aura plus jamais de clous qui rouillent au pouvoir contre la volonté du peuple tunisien. Ni au parlement, ni à la présidence de la République. Fini cette mentalité pourrie de la déification et du maraboutisme de politiciens qui s'avèrent presque toujours, la vraie source de malheur pour la Tunisie.
On ne parle d'un président provisoire, que lorsque le président de la République meurt ou quitte le pays et que la Constitution lui prépare son intérim, comme ce fut le cas avecd Fouad Mebazzaâ. La Constitution le nomme automatiquement président de la République par intérim, vu sa fonction de président de la Chambre des députés. Béji Caïd Essebsi et Mohamed Ghannouchi furent aussi des premiers ministres provisoires non-élus, désignés par le vrai président provisoire Fouad Mebazaâ.
Le premier président de notre deuxième République tunisienne le Docteur Moncef Marzouki, n'était en aucun cas un «Président provisoire». Il fut élu en bonne et due forme par les élus du peuple à la Constituante, comme c'est le cas partout dans les pays démocratiques de régime parlementaire comme l'Allemagne, la Suisse, l'Italie, etc. Il est le père de la nouvelle Constitution tunisienne, que ses ennemis le veuillent ou non. Il est aussi le père de la vraie liberté de la parole et de l'expression, qu'il a réussi à ancrer chez le peuple tunisien en un temps record, malgré les siècles de despotisme, de colonialisme et de dictature qu'il a vécus. Sans l'intelligence, la compétence, la lucidité et sa grande expérience dans le domaine des Droits de l'Homme, on n'aura jamais eu de réussite pour notre transition démocratique. La preuve, c'est cet acharnement contre notre régime parlementaire qu'on vit à présent par les arrivistes de Nidaa Tounes, où ces résidus de la dictature ne trouvent comment s'emparer du pouvoir et nous restituer la dictature et le despotisme d'antan. Ils avaient manipulé la Constitution en 2014, pour donner plus de pouvoir à leur vieillard Béji Caïd Essebsi, mais ils étouffent encore. Ils n'ont pu mettre leur main sur le pouvoir en Tunisie, comme aux temps de leur RCD et de leur «dsètras». La Justice tunisienne et les médias libres de Tunisie, leur guettent tous leurs crimes, leurs sabotages, leurs manipulations et leurs intrigues contre notre transition démocratique en Tunisie.
Ils ont tout fait en collaboration avec des étrangers ennemis de notre transition démocratique, jusqu'à rabâcher leur disque de toujours : «le peuple tunisien n'est pas encore mûr pour la liberté et pour la démocratie». Eux-seuls, avec leurs familles, proches et ceux de leur région, sont mûrs pour la démocratie jusqu'à la pourriture. Une pourriture qui nous a créé des «dieux humains», dont les excréments puent à égalité avec les nôtres.
Honni soit qui mal y pense.
Une fierte'


