
« C’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai suivi les travaux de l’organe consultatif que nous avons appelé Conseil de sécurité nationale (…) Il ne me restait en tête qu’une seule question : où est le vaccin ? Je suis un Tunisien qui vit en Tunisie et comme tout ce peuple je suis touché par cette pandémie dont j’ai fait les frais et qui n’a enfanté que misère et pauvreté. J’estime que la seule question à laquelle il faut répondre aujourd’hui est : comment peut-on sauver notre peuple de la mort et de la famine. Et ce n’était pas à l’ordre du jour de la réunion du Conseil de sécurité nationale », a-t-il écrit sur Facebook.
Cette réunion s'est, rappelons-le, tenue sous haute tension. Le président de la République a signifié au chef du gouvernement que le remaniement opéré était « inconstitutionnel », puisqu'il n'a pas respecté les dispositions de l’article 92 de la Constitution.
« Aujourd’hui, le président qui a proposé le chef du gouvernement (Hichem) Mechichi était en colère car il avait perdu sa part du gouvernement, ni plus, ni moins. Il a perdu ses ministres alors qu’il n’était même pas supposé avoir une part dans ce gouvernement. (Rached) Ghannouchi et (Hichem) Mechichi ont, eux, essayé de garder le contrôle sur le gouvernement en proposant un remaniement. L’objet du conflit entre les deux parties n’est que le pouvoir », c’est ainsi que Mohsen Marzouk a résumé la réunion des trois présidences avant d’ajouter que ce conflit « dans lequel le peuple tunisien n’a aucun intérêt ne fera que disséquer l’Etat davantage ».
« Hier, le Maroc a reçu deux millions de doses du vaccin (…) Cela signifie que tous les arguments des responsables tunisiens sur le retard accusé dans la réception du vaccin ne tiennent plus », a poursuivi le politicien accusant les gouvernants « d’avoir failli à leur devoir dans la protection de la vie du peuple ».
« Plus de six mille funérailles et vous n’avez toujours pas compris ? Vous êtes à vomir ! », a-t-il conclu.
Le locataire de la Kasbah présente, mardi 26 janvier 2021, au Parlement, la nouvelle composition de son gouvernement pour un vote de confiance. Ce remaniement intervient après quatre mois d’exercice alors que les cent premiers jours du gouvernement n’ont pas encore été évalués par le Parlement comme de coutume.
N.J.

Quelle maîtrise de cette matière 13/20c'est la note qu'on lui attribuerait.... Tout ce qu'il sait c'est rabâcher eddostour.... Adddostour.... Ma7soub.... Jêb essd men wethnou comme s'il était le premier et le seul constitutionnaliste sur terre. Et le conseil de sécurité ne lui sert que comme alibi pour régler ses comptes politiques.... En clair un Don Quixote qui combat des moulins rouillés.... On en a ras le vol de ce cirque
Il critique un président parce qu'il dépasse ses prérogatives puis lui demande de ramener un vaccin...
Or il en est pas responsable.
Quand est ce que marzouk décidera de nous dire ce qui est réellement passé dans le quinquennat des "progressistes" et quel était son rôle dans la catastrophe
Il veut absolument gouverner dans un régime parlementaire.
Le président n'a pas beaucoup de prérogatives.
Ennahdha est détestable mais ce n'est pas une raison de faire d'enfreindre la constitution ,
Mr Marzoug quand on est dégouté une seule solution c'est quitter la scène et laisser la place à ceux qui croient encore dans ce pays

