
Le substitut du procureur de la République, Mohsen Daly est intervenu, ce jeudi 23 juillet 2020, sur les ondes de Mosaïque FM pour revenir sur la polémique concernant l’affaire de l’accident impliquant la fille du ministre Anouar Maârouf et l’intervention de la présidence de la République.
Mohsen Daly a désapprouvé les échanges de communiqués de la présidence de la République dans cette affaire, considérant que le passage par les institutions de l’Etat aurait été meilleur dans ce genre d’affaire. « La présidence de la République aurait dû s’adresser au Conseil Supérieur de la Magistrature ou à l’inspection générale au lieu de procéder à la publication de communiqués dans les médias. Le dossier de l’affaire n’a pas été égaré et toutes les archives des procès existent même sur nos systèmes d’information. Il suffisait juste de passer par les bons canaux et demander l’information ».
D’autre part, Mohsen Daly a assuré que la date du procès a été fixée au 23 novembre 2020 et non au 21 novembre 2020, comme ça a été relayé dans la soirée d’hier. « Nous travaillons en toute transparence et nous n’avons rien de caché. La fille du ministre, le chauffeur et deux autres personnes ont comparu devant la justice le 25 juin 2020. Le PV est disponible et il peut être consulté par tout le monde ».
Dans ce contexte, il a ajouté que la fille du ministre a été accusée d’avoir provoqué un accident et le chauffeur est accusé, quant à lui, de faux témoignage. « Il s’est avéré que c’est la fille du ministre qui conduisait la voiture et non le chauffeur, c’est pour cela qu’il est accusé de faux témoignage dans l’affaire ».
Rappelons que l’affaire de cet accident a été évoquée à nouveau par le président de la République, Kaïs Saïed lors de sa rencontre avec le ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières Ghazi Chaouachi. Le chef de l’Etat a indiqué que le dossier a été égaré et qu’il avait disparu des tiroirs du Tribunal de première instance de Tunis. Ces propos ont été, formellement, démentis par le parquet. Toujours est-il la présidence de la République a maintenu ces accusations à travers un deuxième communiqué de presse assurant que le dossier avait disparu « pour réapparaitre plus tard ».
S.H

Depuis l'avènement des brouettistes bagla-liha consanguins, tout est parti à la dérive.
Sans tricheries, fraudes, maquillages, diffamations, sabotages, magouilles, assassinats de tous ceux qui les gênent, etc..., ces rebuts de la cour des des miracles, ne valent pas plus que les résidents permanents des fosses sceptiques.
Salutationns
allez Adieu, avec le temps on t'appellera 'El MINSI'.
Bon débarras. Tu paieras la facture avec eux bientôt.
Et le ministre n'a t-il pas été inquiété ? et maintenant qu'il ne l'est plus ? c'est lui le fautif N° 1 , double, voir triple responsabilité : la sienne , sa fille , son chauffeur qui n'aurait pas pu dire non.
Et que ca soit une leçon pour tous ces subalternes qui exécutent les ordres de leurs partons, même s'ils sont non règlementaires
Vous vous positionnez en donneur de leçons alors que vos supposées compétences exigent plus d'humilité et d'adresse.
Vous révélez des détails d'un procès qui n'a toujours pas eu lieu.
Vous annoncez une date sans même vérifier un calendrier.......
Que dire cher monsieur..... La Tunisie a besoin de compétences et non d'amateurisme ou d'opportunisme.
ces directeurs et ministres corrompus ne veulent rien se prononcer parce que eux utilisent la voiture à des fins personnels leurs fille leur fis leur femme utilisent ses voitures de service