
La Syrie a choisi l’ambassadeur qui va la représenter en Tunisie. Son nouvel ambassadeur en Tunisie, Mohammad Mohammad, a prêté serment, lundi 2 octobre 2023, devant le président syrien Bachar al-Assad, selon une dépêche de l’agence de presse syrienne Sana.
La même source a indiqué que le président al-Assad a ensuite reçu l’ambassadeur pour lui donner ses directives et lui souhaiter plein succès dans sa mission.
Lors d’un entretien téléphonique en juillet 2023, le ministre syrien des Affaires étrangères et des Expatriés Fayçal Al-Meqdad avait indiqué à son homologue tunisien Nabil Ammar, que la Syrie avait décidé la réouverture prochaine de son ambassade en Tunisie.
Rappelons que début février 2023, le président de la République Kaïs Saïed avait décidé d'élever la représentativité diplomatique tunisienne en Syrie. Une décision qui intervient suite au violent séisme qui a touché la région (Syrie et Turquie) qui avait fait plus de 45.000 morts. Le chef de l’État avait alors ordonné d'envoyer une aide urgente à la Syrie et à la Turquie.
Puis en mars dernier, le chef de l’État avait exprimé sa volonté de nommer un ambassadeur de la Tunisie en Syrie assurant que rien ne pouvait justifier cette absence.
En février 2012 sous la gouvernance de la Troïka, la Tunisie avait décidé l’expulsion de l'ambassadeur syrien à Tunis, en protestation contre un bombardement ayant visé la ville de Homs. Une décision qui a été contrée par la réciprocité quelques jours plus tard, les autorités syriennes réclamant la fermeture de l’ambassade de Tunisie à Damas.
I.N
Le goumi marzouguiki.
Une telle hypocrisie bien étudiée, ne pourra jamais passer en Tunisie.
Que les Tunisiens le sachent avec certitude, qu'à l'époque de Ben Ali, même les Tunisiens qui ont étudié en Syrie et en Irak, étaient interdits d'embauche dans les services de l'Etat tunisien. Maintenant, nos putschistes renouent une relation catastrophique, avec les genocidaires de leurs propres peuples en Egypte avec le Saffah Sissi et en Syrie, avec le Saffah Bachar Assad.
Le malheur des Tunisiens s'accentue malgré eux en Châtiment divin, pour leur ingratitude le long de l'unique transition démocratique d'aisance sans précédent dans l'ensemble du monde arabe, qu'ils ont vécue après leur Révolution tunisienne du 14 janvier 2011.
Allahou Akbar, combien ce gigantesque Châtiment divin frappe la Tunisie et les Tunisiens dans tous les sens, dans toutes les directions et dans tous les domaines.
Allah yostir Tounes.
Vive Bashar, Vive Poutine, Vive Kaïs Saïed !


