Le porte-parole de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Mohamed Tlili Mansri, a confirmé, dimanche 4 février 2024, dans une déclaration à Mosaïque Fm que l'instance s'est engagée à respecter la Constitution et la loi. Il a ajouté, dans ce sens, que l'Isie entamera immédiatement la validation du calendrier de l'élection présidentielle pour l'année 2024 après l'achèvement de la mise en place du Conseil national des régions et districts, prévu pour le mois d'avril.
Le porte-parole de l’Isie a également indiqué que le budget de l'élection présidentielle est déjà alloué. Il a ajouté qu’il est possible de tenir une élection présidentielle en septembre ou octobre 2024, précisant que cette question est soumise à la discussion au sein du conseil de l'Instance.
S.H
Mohamed Tlili Mansri : la présidentielle devrait se tenir entre septembre et octobre 2024
Le porte-parole de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Mohamed Tlili Mansri, a confirmé, dimanche 4 février 2024, dans une déclaration à Mosaïque Fm que l'instance s'est engagée à respecter la Constitution et la loi. Il a ajouté, dans ce sens, que l'Isie entamera immédiatement la validation du calendrier de l'élection présidentielle pour l'année 2024 après l'achèvement de la mise en place du Conseil national des régions et districts, prévu pour le mois d'avril.
Le porte-parole de l’Isie a également indiqué que le budget de l'élection présidentielle est déjà alloué. Il a ajouté qu’il est possible de tenir une élection présidentielle en septembre ou octobre 2024, précisant que cette question est soumise à la discussion au sein du conseil de l'Instance.
Je voudrais bien dire à ce monsieur et son collègue bou3asker, vous pouvez tra7mou 3la ks wa houa 7ay, pour le gros salaires et les meilleurs avantages avec le garantie 4 ans et tout ça de la poche des Tunisiens qui n'ont rien demandé! Bi sa7etkom
soyé sur que j'irais que je voterais pour n'importe quel candidat, pourvu que c'est pas l'autre fou de dictateur qui apporte le mal et la violence politique dans notre Tunisie