
Le député, membre du bureau exécutif et président du comité de gestion de la crise politique du mouvement Ennahdha, Mohamed Goumani a estimé que l’annonce des mesures exceptionnelles le 25 juillet 2021 est un séisme politique. « Depuis cet événement, nous avons pu observer des conflits internes au niveau des partis… De son côté, le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, conformément aux statuts du parti, a exercé son droit de créer ou dissoudre le bureau exécutif », a-t-il expliqué.
Concernant le prolongement des mesures exceptionnelles, Mohamed Goumani, lors de son passage sur les ondes d’Express FM, a expliqué que le comité de gestion de la crise continuera à œuvrer pour trouver une solution et à essayer de collaborer avec la présidence de la République.
« Je considère que le président de la République, Kaïs Saïed, n’a pas pris en considération l’impact de l’absence d’un chef de gouvernement. La situation économique ne peut pas supporter cela. Nous avons besoin d’un nouveau budget et nous comptons entamer des négociations internationales. De plus, le prochain gouvernement devra être approuvé par l’ARP afin de bénéficier d’une légitimité à l’international », a-t-il déclaré.
« De par la forme, le président de la République a respecté la Constitution en effectuant l’annonce de prolongement des mesures exceptionnelles. Néanmoins, de par le fond, l’annonce reste ambiguë en raison du prolongement jusqu’à nouvel ordre. De plus, l’article donne au président de l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et aux députés le droit de demander à réviser l’application des mesures exceptionnelles. Aussi, la présidence a annoncé qu’elle s’adressera au peuple prochainement, or, l’article 80 de la Constitution oblige le président de la République à opérer cela pour annoncer la fin des mesures exceptionnelles. Le fera-t-il ? », s’est-il interrogé.
Mohamed Goumani a affirmé que la décision de Rached Ghannouchi répond aux appels des membres du parti. « Il avait annoncé, lors de la création du comité de gestion de la crise, qu’il comptait apporter un changement au niveau des dirigeants du parti… La crise politique en Tunisie, ainsi que le prochain congrès du parti, nécessitent de pareilles mesures », a-t-il insisté.
Le leader du parti a, aussi, rappelé que le congrès du mouvement Ennahdha aura lieu fin 2021. « La décision de dissoudre le bureau exécutif pourrait s’avérer positive… Un bureau exécutif réduit pourrait faciliter et accélérer la tenue du congrès… Je pense que la composition du nouveau bureau exécutif sera annoncée dans une semaine », a-t-il dit.
S.G
Yaatik wallah Ebbekcha bech
Tousket pour toujours.
P.S: à BN: si vous avez besoin d'un traducteur, je suis disponible et pas exigeant.
Tu ne veux pas comprendre qu'il n'y aura pas de retour en arrière. Pourtant tu semblais avoir repris la formule à ton compte. Comme quoi, vous êtes vraiment des salauts.
Tu nous dis que le président ne pèse pas les conséquences de ses décisions sur l'économie ?
Mais toi et les autres khwanjias, avez-vous pesé les conséquences de votre comportement abject au parlement, sans lequel on ne serait peut-être pas là. Pauvre crétin
Enfin, tu nous dis que le prochain premier ministre « devra être approuvé par l'ARP afin de bénéficier d'une légitimité à l'international ». C'est appel au pied aux puissances étrangères pour intervenir en Tunisie afin que vous gardiez le pouvoir. Vous démontrez une fois de plus que vous êtes des traîtres à la patrie et vous êtes prêt à accepter l'intervention étrangère pour vous maintenir au pouvoir.
L'ARP est morte de sa belle mort et c'est vous les Khwanjias qui l'avait assassinée.
commande ...alors du balai.
Ce n'est certainement pas à Goumani de dicter àu P.R. ce qu'il a à faire ou à ne pas faire. En peu de temps et en tant que Président ayant tous les pouvoirs K.S et son staff, ont réussit à faire un travail colossal. Ils ont localisé les origines des anomalies, identifié les fauteurs et redressé un tant soit peu la situation.
Bravo Mr le Président, que Dieu vous aide à mener à bon port la Tunisie et surtout faites attention à vous, l'ennemi est partout présent.
Est-ce qu'un Président d'une République pourrait ne pas avoir suffisamment de conscience pour gérer un pays ?
Ghoumani dérape dans sa mission de ' chef de file de gestion de crise politique' comme avancé par son collègue Samir Dilou.
Il semble que Ghoumani a beaucoup de temps libre pour projeter son imagination sur l'abstrait !
Ti barra *** !!!
Ti barra ifhim kadrek

