Le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) chargé du secteur privé, Mohamed Ali Boughdiri a indiqué ce vendredi 23 novembre 2018, que la centrale syndicale était prête à reprendre les négociations avec le gouvernement. Dans ce sens, l’UGTT appelle toujours au dialogue affirmant que « la grève est aussi une forme de dialogue ».
Revenant sur la grève générale dans la fonction publique ayant eu lieu, le 22 novembre 2018, le syndicaliste a souligné que les grévistes ont apprécié le discours du secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi prononcé à cette occasion d’autant plus qu’ils « se sont lassés des promesses électorales mensongères des partis politiques ».
Et d’ajouter que l’UGTT était concernée par les prochaines échéances électorales dans la mesure où elle « orientera ses affiliés vers la partie qui défend le plus l’intérêt du peuple ».
« L’UGTT est concernée par les élections mais cela ne signifie forcément pas qu’il existe une intention de s’y présenter. Cela reste lié aux décisions des autorités de l’Union », précise Mohamed Ali Boughdiri sur les ondes de Mosaïque FM.
B.L
Commentaires (8)
Commenter2019
L'UGTT de Taboubi n'est concernée que par les sales combines .
2019
ça sera votre fin!!! hhh
vous aller comme ça dévoiler cotre vrai visage de communistes extrémistes et le peuple vous jettera dans la poubelle de l'histoire. hhh
Je voterai pour vous
ou allons nous ?
L'ARP n'est pas à la hauteur d'un contrepouvoir vis à vis de l'exécutif et l'UGTT sort de son cadre syndical et dérive hors de tout contrepouvoir.
IGMetal en Allemagne a négocié avec Peugeot pour sauver Opel .
la cfdt en France soutient quand il le faut le gouvernement et demande des tables rondes de négociations.
Chez nous on est en permanence dans la confrontation modèle: le syndicat de
l'enseignement qui joue avec l'avenir de générations pour assouvir des égos !!