
L'économiste Moez Joudi a revenu, mardi 15 avril 2025, dans un post Facebook, sur le climat actuel du pays, notamment en ce qui concerne le domaine public ou le partenariat public privé, ponctué par la terreur d’être pris pour cible à cause d’un soupçon de corruption et qui paralyse le secteur public et l’économie du pays.
« Le problème important qui est négligé est que l'administration, les cadres ainsi que les fonctionnaires et agents publics ne veulent plus signer, se réunir ou prendre n’importe quelle décision, de peur d’être impliqués dans une affaire judiciaire, déférés et convoqués pour enquête », a-t-il affirmé dans ce statut.
Et de marteler : « Quand on intensifie la diabolisation et l'intimidation au nom de la lutte contre la corruption, la corruption reste et le service public s’arrête ! ».
L’expert a aussi noté aussi que « de nombreuses sociétés privées du secteur du bâtiment et des travaux publics ne veulent plus travailler avec l'État et participer à des appels d'offres publics ou des consultations publiques ou signer de contrats avec des institutions publiques, et cela à cause du fait que plusieurs entreprises et chefs d’entreprises ont été impliqués dans des affaires de corruption et se sont retrouvés devant les tribunaux ».
Selon lui, il s’agit là « d’un mauvais climat général des affaires, qui reflète le manque de confiance, avec un arrêt des investissements, du travail, de la production, de la maintenance, et où les risques augmentent ».
I.N.
Plutôt, peur de se comporter HONNETEMENT !!!!!!
C'est une mode opératoire, qui a frôlé l'extinction, tout au long de la décennie noire.
Nous savons tous que l'environnement a été gangrené et pourri par les méthodes, pas des plus catholiques, des bagla-liha
Quand on n'est pas à la hauteur, refuser un poste, demandant honnêteté, efficacité, perspicacité et technicité, n'est pas un crime.
Cependant, les bougnoules ne ratent pas l'occasion, dès qu'il s'agit d'obtenir un salaire bien supérieur au leur, ils sautent sur l'occasion !!!
Il faut assumer les gars.
La faim justifie les moyens.
Ils se foutent de tous les maux et de toutes les souffrances du tunisien.
Ils nous promettent bien sûr monts et merveilles.
Leur seul but et il y en a pas 2: le fauteuil.
On est dans un pays encore sous développé et tous les coups sont permis
Tant pis pour le vaincu.
Donc, il ne subsiste et se déploie que dans un cadre où il est La Loi.
Donc, la loi du plus fort.
Si l'on ajoute que les lois sont faites par des gens qui, souvent, ont partie liée avec ses intérêts, où ils trouvent leur intérêt, on comprend pourquoi la loi de la jungle est leur seule loi.
Autrement formulé, ils sont la source de la loi, au sens où le législateur est issu de leur rang, de leur classe, on peut soutenir au fond qu'un tel système repose sur l'entre-soi et les passe-droit afin de rentabiliser l'investissement dans des "représentants" choisis pour ce faire, et la boucle est bouclée.
Ainsi, il n'y a point motif à déplorer la corruption puisque c'est dans ka nature du système. Et, l'on appelle cela démocratie.
Enquêtez sur la composition de tous les parlements, les minstres et leurs trajectoires, et vous aurez une confirmation des proximités, des alliances opportunes, des relations incestueuses ou les préférences partisanes.
C'est uniquement la surprise réelle ou feinte de l'arrivée aux "affaires" comme on dit, d'un inattendu, un de ceux qu'on ne voulaient pas qui fera exception.
Et, à ce prpos, on sait d'avance le sort qui lui sera fait....
N'y voyez aucune allusion à une situation connue.
Je propose que l etat juge ses entreprises , les amnestie ou les condamne , les liquides et les revend a 1dinars symbolique a leur concurrent qui seront ravis de travailler dans les regles .
Ces entreprises concurrentes qui ont perdu des contrat par la corruption devrait etre indemnis2 ou devrait racheter au dinar symbolique les entreprises reconnu coupable et qui devrait etre liquider + dirigeant en prison avec impossibilit2 de diriger
L'économiste Moez Joudi a revenu, mardi 15 avril 2025, dans un post Facebook, sur le climat actuel du pays, notamment en ce qui concerne le domaine public ou le partenariat public privé, ponctué par la terreur d'être pris pour cible à cause d'un soupçon de corruption et qui paralyse le secteur public et l'économie du pays.
Maintenant, si on veut trouver des solutions contre les lois existantes, on risque d'être traité de corrompu. Si vous ne faites rien, on vous accuse de bloquer le pays. Entre les 2, beaucoup choisissent la 2ème option. C'est un moindre mal.