
Une séance de travail, tenue jeudi 11 février 2016, au siège du ministère de la Santé, a été consacrée à l’élaboration d’un plan d’urgence afin d’examiner les différentes mesures et dispositions à prendre en prévision d’une éventuelle affluence massive de réfugiés et de migrants en Tunisie, en cas d’intervention militaire en Libye.
Selon un communiqué rendu public par le ministère, les participants à cette réunion ont passé en revue les moyens susceptibles de parfaire la coordination entre les structures du ministère dans le domaine du secourisme et de la protection de l’hygiène et les autres intervenants, dont les structures gouvernementales, les organisations et les associations.
La réunion s’est déroulée en présence des directeurs régionaux de la santé à Médenine, Kébili, Gabès et Sfax
M.B.Z
Commentaires (12)
CommenterAIDI S'OCCUPE DE SA PROPRE IMAGE , RIEN DE PLUS .
Et le service de santé militaire?
Mais votre article laisse penser qu'il n'en est rien et que certaines autorités civiles allergiques à l'Armée ( comme ce fut le cas pour le directeur militaire de l'hôpital de Sfax ) n'intègrent pas les militaires dans le canevas qu'ils échafaudent . Ces dirigeants et cadres divers devraient se recycler , retourner à l'école (ENA) où sont bien enseignés ces théories élémentaires .Quelques uns parmi eux n'ont-ils pas fréquenté l'Institut de Défense Nationale,mais ça c'est uniquement pour leur CV ou pour frimer dans les débats télévisés ou à l'ARP.
Quant à moi je reste persuadé toutefois qu'une collaboration entre ces deux institutions civile et militaire est sûrement planifiée , comme ça toujours été le cas dans de pareilles circonstances . Mais c'est un Secret Défense !
Réponse à @Hannabâaaa
Ici en Afrique du Nord et surtout en Tunisie, une myriade de civilisations ont défilé, ayant engendré des peuples entiers. Nos analphabètes nomades et habitants des grottes, qui voudraient se nommer aujourd'hui "amazighs", regardaient à distance, les civilisés bâtir notre Afrique du Nord. Ils marquaient leurs enfants par un tatouage bestial au visage, que même le dictateur déchu Bourguiba le leur eut interdit. Ces pauvres enfants ont beaucoup souffert sous la bestialité de leurs parents montagnards analphabètes, qui vivaient comme les animaux en relation permanente avec les animaux eux-mêmes.
Pour se libérer de ce tatouage des Sioux, leurs pauvres descendants durent utiliser le même acide que l'alchimiste musulman Jabir Ibn Hayyan, l'obtint en mélangeant du sel (chlorure de sodium, NaCl) et du vitriol (acide sulfurique, H2SO4) en solution, déjà en l'an 800, lorsque ces mêmes Européens que tu cherches à imiter, habitaient eux aussi les grottes à égalité avec tes propres "soi-disant" ancêtres « amazighs ».
Moi-même je suis de descendance beylicale turque. Je ne me suis jamais senti turc, parce que ma culture, ma civilisation et ma langue tunisiennes trouvent leur source dans le livre saint de l'Islam, le Coran arabe révélé à notre Cher Prophète arabe Mohamed (sws).
Après une fierté d'au moins mille trois cents ans d'arabité Maîtres du monde, maintenant on descend jusqu'à vouloir nous identifier aux habitants des grottes, plus primitifs que leurs propres animaux. «Amazighs» nous disent-ils !!!
Ce sont les signes de la fin du monde. Au lieu de jouir du beurre de nos quatorze siècles d'arabité musulmane de notre société tunisienne, il y a ceux qui veulent nous faire reculer jusqu'à cuisiner avec l'humus des vaches.
Seul le chien nie son appartenance et colle à celui qui lui offre plus de nourriture.
@abed chater: pas d'arabes ici des musulmans oui peut etre
vous savez bien que l'afrique du nord c'est en afrique pas loin de l'italie
les arabes c'est de l'autre cote de la terre
ici nous sommes des amazigh avec des melanges de turcs andalous sciciliens quelques arabes
propagande grotesque
on ramasse les lybiens et on laisse le champs libre en lybie a daech et compagnie..(petrole et gaz de shist....)
on a caser tous nos citoyens on va maintenant passer aux lybiens
@stop Aidi
Les Libyens sont nos frères arabes et musulmans. Il faut les soutenir en ces moments difficiles
Il faut avoir de la compréhension pour eux, après ces Dernières quarante années de morgue "pétrodollarienne".