Dieu merci ce qu'il fait

Les passeurs prêtent maintenant a chaque migrant une cape d'invisibilité des son entrée sur le territoire tunisien

Il me semble que les chiffres présentés sont contradictoire!!
1- 5018 débarquements en une seule journée ,
2- 7000 migrants sont arrivés à Lampedusa en moins de 48 heures,
donc on a par embarquement : 7000/5018 = 1,39
Chercher l'erreur où bien ces informations ne sont fiables et crédibles.
Je me range à la dernière possibilité!!

Qui peut m'éclairer...?
Une fois arrivé......il se passe quoi....
Prison?
Rétention...?
Relâche..?
Expulsé?
Merci

Des conjectures fumeuses, des fantasmes d'un haineux, occupé dans sa prison mentale à conjurer des menaces qui fleurissent dans sa cervelle foireuse.(complots à volonté).
Cet obsédé a trouvé relais et propagateurs comme d'autres "prophètes de malheur" pour donner consistance et tenue à ses prédictions.
Ainsi, se développa la peur entretenue dont le succès dépasse les murs du palais de Carthage où germa cette fantaisie.
Toute la Tunisie croit à cette malédiction contre elle érige des barrières, frontières aussi réelles que mentales., sans garantie de succès.
Il se pourrait que l'objectif réel de toutes ces démonstrations et propagandes xénophobes et liberticides aient pour visée la domestication de ses propres populations afin de leur faire avaliser des projets auxquels ils ne consentiraient point sans ces peurs.
Le caractère arabo-musulman du pays serait menacé, alors on se ligue avec les fascistes dans lesquels on se retrouve. On considère que les fascistes disent tout haut ce que les autres pensent tout bas, on retrouve écho à notre haine.
Le plan machiavélique de l'argent contre surveillance a pris du plomb dans l'aile alors on accentue la pression, en se jouant de la vie des migrants. Les annonces d'interceptions ou de sauvetages se font rares, on continue ce jeu de poker menteur pour une poignée de dollars.
Décidément, certains sont débiles et surtout incorrigibles.

Rsiece de dégénéré, tu ne peux t'empêcher de la ramener.
Tu as commencé par jouer le grand, le lettré, et tu te promettais de déconstruire.
Tu as été de instruit.
C'est vrai, le terrain était favorable.
Puisque tu ne pouvais faire le change, tu as dérapé encire davantage, en me qualifiant de toutes sortes d'attributs qu'il est aisé de voir qu'ils te définissent.
Débile, étant le plus acceptable dans le florilège, si l'on sait qu'il veut dire faible.
Mais, tu ne parviens pas modérer tes élans de haineux, envieux, fasciste.
Je t'explique.
Tu n'acceptes pas l'opinion qui dérange ton confort de petit perroquet, répétant à l'envi les mots des autres et leurs pensées.
Tu cherches sans cesse à imposer t'es vues, qui ne sont que le résultat du suivisme digne des imbéciles prétendument autonomes.
C'est un truisme que de dire que tu es la figure de l'agité pris d'enthousiasme à crier avec le nombre des slogans comme démocratie et liberté, que tu n'acceptes pas pour autrui.
Et b
Non seulement, tu refuses aux autres ce que tu affiches comme étendard, mais tu te presses de le leur opposer pour t'assurer, te rassurer que tu tiens le vrai sur les choses et les faits.
Je t'ai conseillé de consulter.
Ton cas me paraît relever d'un traitement approprié.
Ce n'est pas en hurlant, en définissant dans des mots répétitifs ce que l'autre, moi, pense.
Parce tu vois, petit perroquet, je pense.
Et les charretées de criards totalitaires ne me feront pas varier de position.
C'est ce qui définit l'homme, être capable de raison.
Lorsqu'il déraisonne, et c'est ton cas, il doit recevoir une aide, des soins.
Pour le formuler en mots simples, je ne serai jamais partisan des tueurs, des violeurs, des voleurs, des terroristes.
En revanche, tu en as le profil, la certitude t'habitue, et point besoin de réfléchir, argumenter, la solution est en toi, et tu en es porteur par ta seule décision.
Cas désespéré.

Face à ses contradictions et ses incohérences, le débile déplace la question sur le plan personnel sans oublier, bien évidemment, l'amalgame avec les tueurs les voleurs et les terroristes. Un classique de notre ère.
Les positions à géométrie variable est notre vrai problème. L'esprit de clan génère ces principes à la carte qui consolident l'autocratie. Ceux qui pleuraient la veille deviennent les bourreaux d'aujourd'hui sans aucun problème.
Mais le plus drôle, c'est qu'ils appellent ça "la raison ".

Des conjectures fumeuses, des fantasmes d'un haineux, assez semblable à un personnage de Flaubert dans Bouvard et Pecuchet, occupé dans sa prison mentale à conjurer des menaces qui fleurissent dans sa cervelle foireuse.
Cet obsédé a trouvé relais et propagateurs comme d'autres "prophètes de malheur" pour donner consistance et tenue à ses prédictions.
Ainsi, se développa la peur entretenue dont le succès dépasse les frontières de l'hexagone où germa cette fantaisie.
Toute l'Europe croit à cette malédiction contre elle érige des barrières, frontières aussi réelles que mentales., sans garantie de succès.
Il se pourrait que l'objectif réel de toutes ces démonstrations et propagandes xénophobes aient pour visée la domestication de ses propres populations afin de leur faire avaliser des projets auxquels ils ne consentiraient point sans ces peurs.
Parce qu'au bout du compte, en arithmétique si tous les jours débarquaient à Lamoeduza et ailleurs 5000 migrants, cela ne ferait que 2000 000/an.
Si l'on rapporte ce chiffre à celui des habitants de l'Europe, on obtient 2% maximum en étant large.
Il faudrait 40 ans pour que l'on arrive à 10% de migrants nouveaux.
On sera encore loin du Grand remplacement.
Mais les fantasmes sont d'une autre nature que les chiffres, leur réalité n'est pas quantifiable.
Elle se mesure seulement par les malheurs qu'elle cause.
Dans les cerveaux de ceux qui y croient, et sur la vie des migrants.
Dans tout cela, on oublie qu'il s'agit d'humains.
Une civilisation qui voulut, crut, et se projeta dans le monde, des migrants du jour et d'autres, pour civiliser, éclairer, diffuser ses "valeurs" reprises par des perroquets complices partout dans le monde d'origine de ces "migrants".
Décidément, les hommes sont incorrigibles.

Le mal être d'un immigré planqué, qui vit aux dépends de l'europe, ne doit pas être l'élément central pour réfléchir sur la question de l'immigration. Le complexe de l'immigré, qui veut être plus royaliste que le roi, doit être aussi évité. Il faut se méfier des identités blessées et dénaturées qui se construisent en opposition à quelque chose. Nombreux sont les complexés qui agitent la face sombre de l'occident pour se déterminer face à un problème, que se soit d'ordre économique politique ou social.
Il faut que les tunisiens forgent leur propre approche en allant au fond des choses tout en respectant des "valeurs" élevées qu'ils partagent avec toute l'humanité.
On ne peut pas dénoncer la xénophobie en Europe et se taire sur la notre.