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Mechichi : les acteurs politiques et sociaux sont appelés à enrichir le PLF 2021
26/11/2020 | 18:30
1 min
Mechichi : les acteurs politiques et sociaux sont appelés à enrichir le PLF 2021

 

Dans le cadre du dialogue autour du projet de la loi de finances 2021, une réunion s’est déroulée, jeudi 26 novembre 2020, entre le chef du gouvernement, Hichem Mechichi et une délégation de l’UGTT, menée par le secrétaire général Noureddine Taboubi.

Le PLF 2021 présenté par le gouvernement est loin de faire l’unanimité, alors que les discussions au Parlement débutent ce samedi 28 novembre en présence du locataire de la Kasbah.

 

Hichem Mechichi a d’ailleurs insisté, lors de l’entrevue avec l’UGTT, sur la nécessité que les différentes composantes politiques, parlementaires et sociales contribuent « à enrichir le contenu du projet de loi ».

M. Mechichi a ainsi souligné que la présentation du PLF ou d’autres dossiers au dialogue avec les acteurs nationaux est une voie choisie par le gouvernement, ce qui permettra de dessiner les contours du dialogue économique et social. En effet, l’organisation syndicale a proposé d’initier un dialogue national qui englobera tous les domaines, et ce dans le but de trouver des solutions à une crise économique et politique sans précédent.

 

I.L

 

26/11/2020 | 18:30
1 min
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Commentaires
Arrêtez cette maladie tunisienne, cherchez le cerveau, trouvez le calm et respectez l'aspect temps
Cherchez l'espoir, la confiance entre vous, et unifiez-vous, sinon il serait bientôt trop tard
a posté le 26-11-2020 à 23:15
Il faut supporter médialement monsieur Mechichi et donner de l'espoir au peuple. Il est le seul des trois présidents qui a en même temps la compétence et l'acceptation pour pouvoir modérer une négation nationale socio-économique.
Aux médias il faut commencer à mener des discussions substantives. Sans discussions de caractère substantive la démocratie n'aurait jamais une naissance réelle en Tunisie. Il est temps de discuter médialement les solutions économiques et de visualiser l'impact négatif des grèves successives vides de tous genres de solution globale.
Apparemment une grande partie du peuple commence à se dégouter d'une démocratie à la "Tunisienne" qui n'arrive même pas à arrêter la dégradation économique et monétaire du peuple. Le capital politique d'Abir Moussa est tout simplement de rappeler qu'en 2010 le peuple tunisien était aisément plus riche et moins soufrant qu'aujourd'hui.