
Le président du Syndicat national des Journalistes tunisiens (SNJT), Mahdi Jlassi a appelé, mardi 10 janvier 2023, dans une déclaration accordée à la journaliste Bochra Sellami de Mosaïque Fm, le gouvernement à assumer ses responsabilités pour régler la situation des médias en crise, notamment, parmi les médias publics et ceux confisqués.
Le président du SNJT indique, dans sa déclaration, que des centaines de familles sont menacées et que des journalistes n’avaient pas perçu leurs salaires depuis plus d’un an alors que d’autres ne savent même pas quand est-ce qu’ils seront payés. Dans ce contexte, il cite l’exemple de la radio Shems Fm et du journal Dar Assabah, ainsi que du journal SNIPE – La Presse, qui sont tous des médias gérés par l’État, notant que ces médias passent par de grandes difficultés face à la nonchalance du gouvernement.
D’autre part, il a souligné le danger que présentait le décret 54 en tant que menace de la liberté de presse et d’expression. « Nous sommes prêts à descendre dans la rue et à recourir à toute forme de militantisme. Nous sommes prêts à cela et nous n’avons pas peur. Pour éviter l’escalade, nous invitons le gouvernement à interagir positivement afin de parvenir à des solutions efficaces capables de résoudre les problèmes du secteur médiatique », a-t-il dit.
S.H
Malla Ratza !
Tout dépend s'il va lui offrir des pots-de-vin ou des promesses pour d'éventuels avantages .
Pauvre pays de clowns dénués de personnalité et de dignité.
Il y a beaucoup qui ont oublié les postes de police et de la garde nationale mis à feu et à cendre. La fuite des Sécuritaires chez leurs proches lointains, où personne ne les connaissait. Comment les Tunisiens portaient des maillots de corps blancs au-dessus de leurs vêtements, pour se faire connaître gardiens de leur propre quartier. Comment ce même clown Borhèn Bsaïes, s'était sauvé pour sa vie, sans qu'il n'ose même montrer la couleur des rideaux, où il se cachait.
Maintenant, leur mémoire les trahit. Au lieu de s'unir et de descendre tous ensemble dans les rues, ils attendent que ceux des cités Ettadhamen, des Zouhour, des Mourouj, des Mellassine, de La Cagna, de Ouardia, jusqu'aux grandes banlieues de Tunis et des autres grandes ville de la Tunisie.
Allah yostir Tounes.
Toutes vos tentatives seront vouées à l'échec....