
Les 57 magistrats révoqués par décret présidentiel, ont décidé, samedi 18 juin 2022, d’entamer une grève de la faim à l’issue de l’assemblée générale tenue par la coordination des structures judiciaires, composée par l’Association des magistrats tunisiens (AMT), le Syndicat des magistrats tunisiens (SMT), l’Union des magistrats de la Cour des comptes (UMCC), l’Association des magistrates tunisiennes, l’Union des magistrats administratifs (UMA) et l’Association tunisienne des jeunes magistrats (ATJM).
La coordination a décidé de soutenir la grève de la faim des magistrats révoqués, et de prolonger la grève dans les tribunaux pendant une semaine à partir du lundi 20 juin 2022.
Il a, également, été décidé d’organiser un rassemblement général des magistrats sous l’intitulé de « journée de colère ». La date et le lieu de ce rassemblement seront fixés dans les prochains jours.
S.H
Dans ce cas de figure, la première condition n'est même pas vérifiée.
éliminé !!!
Au suivant.
Si ils se croient malins et mettent fin à leur grève juste avant la date de ces mêmes vacances, alors, par décret (eh oui, c'est comme ça que ça fonctionne maintenant) on supprimera les vacances judiciaires et la séance unique pour eux et on les fera travailler tout l'été, matin, midi et soir, en supprimant la clim et les ventilateurs pendant toute la période estivale, économies d'énergie oblige en ces temps difficiles, bien entendu, comme ça ils pourront vraiment gagner leur vie "à la sueur de leurs fronts"....
Mala rok3a, ces affiliés à la maudite secte de la terka.
Ya Kaissoune, ne concède rien à ces fruits pourris.
Ils doivent avant tout, payer le fruit du manquement à leur devoir et de celui de leurs innombrables exactions.
Aller, HOP, aux fers la pourriture et la racaille !!!!
Comme ça, on ne les reconnaîtra plus sur la plage, où on pouvait facilement les identifier à leur silhouette gargantuesque...
Nous vous nommons felons.
Vous avez trahi ce pourquoi vous êtes payés.
Vous déshonorez la justice.
Vous contribuez à la gabegie.
Vous n'êtes pas dignes.
Nous vous récusons en suspicion légitime si vous voulez qu'on parle votre dialecte.
Après le déshonneur, vous voici en maîtres-chanteurs.
'?a ne paiera pas.
Adressez-vous à la maison-mère, vous y trouveriez quelque réconfort possible.
Nous, on a déjà donné.