
L’ancien ministre, Mabrouk Korchid a annoncé, lundi 22 avril 2024, que le parquet a ouvert une instruction contre sa famille, en l’occurrence son épouse et son fils. Ils sont accusés d’avoir dissimulé le lieu où se trouve l’ancien ministre.
Sur sa page officielle Facebook, Mabrouk Korchid a dénoncé une violation des lois et des procédures et affirmé que son épouse et son fils ont été convoqués pour être auditionnés.
« Les hommes et les femmes de loi savent pertinemment que la famille ne peut être poursuivie. Il s’agit d’un dangereux précédent qu’aucun régime n’a commis auparavant », s’est indigné le concerné.
L’ancien ministre a confirmé par ailleurs qu’il a quitté le pays, « quand il a désespéré d’obtenir justice comme tant d’autres personnes et que l’emprisonnement est devenu la règle ». Il a indiqué qu’il retournera en Tunisie lorsque l’injustice aura pris fin et que justice pourra être obtenue.
« Arrêtez de harceler ma famille et ne l’impliquez pas dans le conflit politique. Rendez à mes fils leurs ordinateurs où se trouvent leurs études. Rendez à ma femme les dix mille dinars qui ont été saisis chez nous et qui étaient alloués à leurs frais d’étude et de subsistance. Rendez leurs téléphones portables ».
Mabrouk Korchid a conclu que la norme établie durant toutes les époques précédentes est de ne pas impliquer les familles dans les conflits politiques.
I.L
a directrice du collège d’Ennasr, Nozha Fourati
Maintenant, il joue à la victime. Il n'a jamais cru à la règle de Allah yomhil wèlè yohmil ou "Dieu tarde mais il garde.
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Manipulateur de première classe "planqués discrètement" d'où te parvient cette information espèce d'intellectuel à deux balles ?
C'est son propre droit ! Est-ce que posséder de l'argent est crime aujourd'hui ? Espèce d'envieux égoïste ! Même en ayant plus que lui, tu n'aimes pas qu'on soit aussi riche toi ! C'est la graine que Kais Saied a semé dans votre tête. Tôt ou tard, elle se retournera contre les espèces comme toi et en premier !
Est puni de l'emprisonnement pendant un an, le condamné
qui contrevient à l'interdiction de séjour ou qui, placé sous la
surveillance administrative, enfreint les obligations qui y sont
attachées.
Article 151
Est puni de six mois d'emprisonnement, quiconque aura,
sauf les cas d'excuse prévus à l'article 149 du présent code,
dissimulé, sciemment, le lieu de retraite d'un condamné qui a
contrevenu à l'interdiction de séjour ou qui s'est soustrait à la
surveillance administrative.