L'équipe pays des Nations Unies en Tunisie a rendu public un communiqué, lundi 5 juillet 2021, pour condamner la violence subie par une députée de la part d'un autre député lors d'une session plénière de l'Assemblée des représentants du peuple le 30 juin.
Dans son communiqué, l’équipe pays des Nations Unies note avec inquiétude que « cet incident n'est pas un cas isolé, mais fait suite à d'autres cas récents de violence et de misogynie à l'encontre de femmes parlementaires et plus largement de femmes exerçant dans le milieu politique en Tunisie ».
Les Nations Unies soulignent que tout acte de violence à l'encontre des politiciennes -qu'il soit physique ou verbal - constitue non seulement une violation des droits de l'homme mais représente également une menace sérieuse pour la démocratie et la participation des femmes à la vie publique.
L'équipe pays des Nations Unies en Tunisie exhorte les autorités tunisiennes à prendre les mesures appropriées contre les auteurs de ces actes et appelle les membres de l'Assemblée des représentants du peuple en tant que représentants élus des citoyens à être guidés dans leur comportement par les normes morales les plus élevées.
Rappelons que ce communiqué fait suite à l’agression physique de la présidente du PDL, Abir Moussi par le député Sahbi Smara et Seif Eddine Makhlouf, en pleine plénière au Parlement alors qu’elle filmait les mouvements de protestation de son bloc.
S.H
(sinon, ce sera : Fini les "cadeaux" !).
Sinon, la Tunisie, jadis prospère, fière et belle, rejoindra l'anonymat misérable des Afghanistan et autres pays détruits par l'islamisme...
Bernard Shaw dira " la démocratie n'est pas faite pour les imbéciles parce qu'une majorité de bourricots conditionnera forcément ton destin".
Qu'est-ce qu'il leur faudra de plus ces tunisiens ?
Vous faites pitié
dans une Assemblée législative.Et ces sauvages seraient immédiatement exclus de leur mandat et poursuivis devant les tribunaux. Triste image de la Tunisie avec en plus la misère et le Covid qui galope.