Les syndicats sécuritaires ont annoncé un sit-in de protestation pour jeudi 29 décembre 2022.
Notant que ce sit-in aura lieu en dépit de la pression exercée par l’autorité de tutelle visant à dissuader les adhérents, les syndicats sécuritaires ont laissé entendre que les tensions entre le département de Taoufik Charfeddine et le pouvoir en place, d’un côté, et les structures syndicales de l’autre, étaient montées d’un cran.
Plus tôt en décembre, plusieurs syndicats sécuritaires, celui des forces de sécurité intérieure notamment, ont dénoncé des atteintes à la liberté syndicale et la multiplication des poursuites pénales et administratives en plus des suspensions de fonction et des mutations abusives.
Dans un communiqué publié le 6 décembre, ledit syndicat a appelé la cheffe du gouvernement Najla Bouden à ouvrir la voie aux négociations afin de finaliser le projet visant à améliorer la situation financière, professionnelle et sociale des sécuritaires, en particulier l’augmentation de la prime de risque.
Il a, également, exhorté le président de la République Kaïs Saïed à consolider les garanties légales et le droit au travail syndical dans un contexte marqué par la montée des intimidations et de la pression exercées par l’autorité de tutelle.
N.J.
Quel risque ?
En Tunisie la profession de policier présenterait donc des risques ? Serait exposée ?
A qui ? A quoi ?
Aussi extravagant que l'inflation et la hausse des prix une rumeur.
Le risque, le racket organisé, l'extorsion et toutes sortes d'abus, arrestations arbitraires, infractions imaginaires, ce sont les citoyens vaches à lait qui les subissent impuissants.
Du fait de qui je vous prie ?
Un jour, à un rond-point à la sortie de Sahline, je vois deux citoyens, leur camionette sur le côté, en train de molester un policier en uniforme et avec son arme. Choqué, je m'en ouvre au premier des membres du personnel de mon hôtel. Sans hésiter, l'homme me répond, "Bien fait pour leur gueule. Ils nous rendent la vie impossible".
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Point barre.
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Vous chialez tous constament, parce que l'économie va mal ?
C'est normal, avec tout les actes de corruption en cours ...
Onn ne pourra redresser ladite économie, QUE lorsqu'auront disparu : Le lobbying, la corruption, la spéculation, la dérobation des deniers publics, etc ...
Quel rapport, me diriez-vous ?
Cela a tout a voir ... :
Une économie, cela se construit ; comme un gr
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... le baton ...
Ce n'est qu'ainsi que la majorité de nos compatriotes comprennent.
La Tunisie souffre car elle a fait et elel fait encore les mauvais choix et ne sait pas choisir ses priorités, un jeune formé comme maçon, infirmier ou plombier est meilleur pour le futur du pays qu'un jeun recruté comme policier.
Une grande économie, cela se construit ... comme un grand immeuble.
Avant de construire, il vous faut d'abord de bonnes fondations, afin d'asseoir ce que vous souhaitez réaliser, sur une base solide et stable.
Vous devez donc - au préalable - préparer le terrain, le nettoyer, le niveller, le stabiliser ...
En économie, c'est pareil :
IL ne peut y avoir de bonne économie, tant qu'il y a de la corruption, spéculation, détournements de fonds ...
...
IL vous faut au préalable, nettoyer tout cela.
