
Les députés démissionnaires de Nidaa Tounes ont déposé, ce vendredi matin 15 janvier 2016, une demande au bureau d’ordre de l’Assemblée des représentants du peuple pour annoncer la constitution de leur nouveau bloc parlementaire "Al Horra" (NDLR : La libre), qui est composé de 17 élus :
Abderraouf Cherif (président du bloc), Hajer Laâroussi (vice-présidente du bloc), Sahbi Ben Frej, Taoufik Ouali, Khaoula Ben Aicha, Abderraouf El Mai, Leila Zahaf, Saleh Bargaoui, Abada Kefi, Sameh Bouhaouel, Mohamed Naceur Jbira, Walid Jalled, Mustapha Ben Ahmed, Néjib Torjman, Nadia Zengar, Monther Belhaj Ali et Fatma Mseddi).
M. Cherif a indiqué, dans une déclaration à Shems Fm ce vendredi, que le bloc va essayer d’appliquer le programme qui a été mis en place lors de leur élection.
Au notera que ce nouveau bloc sera à la 3ème position en terme de nombre après celui d’Ennahdha (69 sièges) et Nidaa Tounes (65 sièges) et devançant, l’UPL (16 sièges), le Front Populaire (15 sièges) et Afek Tounes (8 sièges).
I.N


Commentaires (9)
Commenterki sidi kijwadou
Arrosage
Bon retour, Monsieur John Wayne !
Bonne continuation !
Absence remarquable de Bochra Belhadj Hmida
@JOHN WAYNE
QUELLE MASCARADE
HCE et MARZOUK doivent dégager
C'est une querelle d'opportunistes affamés,et pas d'idées ou programmes politiques
A ce rythme les laics et modernistes vont être laminés lors des élections municipales
LA REPONSE DE JOHN WAYNE
Faites comme moi.
Dévorez les ouvrages datant des années 1960 au lieu de lire ce que Moncef Marzouki et ses assistant (et surtout assistantes) écrivent sur Facebook, entre deux démangeaisons des régions pubiennes du corps.
Salah Ben Youssef que je ne hais point, a commis la faute la plus grave de sa vie d'homme intègre et idéaliste qu'il était.
Suite à son discours prononcé dès son retour en Tunisie, il a accepté le support politique du Bey de Tunis et de sa famille, sans compter le support politique de l'Union Générale de l'Agriculture Tunisienne et de la mosquée Zitouna.
Une mosquée que je fermerai immédiatement une fois au Palais de Carthage.
Salah Ben Youssef a utilisé l'Islam afin de se liguer contre Bourguiba et le Neo-Destour en qui il voyait une puissance politique jamais vue auparavant.
Dire que Salah Ben Youssef n'a pas utilisé l'Islam pour remonter le peuple Tunisien contre Bourguiba vous vaudrait la note de zéro sur vingt à un examen de sciences politiques de l'Université Française la moins cotée.
BIBLIOGRAPHIE :
Georges Burdeau, Professeur à la Faculté de Droit et des Sciences Economiques de Paris.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.