Tous ceux qui ont fait des commentaires à caractère régionalistes sont des minables et qui ont été éduqués par leurs parents par la haine des autres selon les origines. Et je reste poli. Un stade au nom d'une personne qui était un sportif de haut niveau et qui n'a fait du mal à personne fait polémique à cause de sa région d'origine. Même si les ancêtres du "marhoum ")ne sont pas sfaxiens... Aucun respect pour une personne qui vient de décéder. Lorsque la cité s'appelait " 7 novembre " personne n'a ouvert sa bouche. Pareil pour la mosquée " El Abidine " . Tous les premiers ministres depuis l'indépendance à 2011 sont originaires comme par hasard de la même région, les sélections pour les recrutements dans la fonction publique , les postes clés pour préférences d'appartenance etc... Tout a été organisé pour que plus tard de par leurs expériences acquises ils aient Alain sur je pays. Et ceux sont ces mêmes tricheurs qui ouvrent le bec aujourd'hui. Même une***est plus digne que vos mains et bouchés d'égouts bande de ***bandes de pourris.

De toutes les manières, toutes les décisions suggérées par le "Chef du gouvernement des affaires courantes" sont destinées à être passées au crible fin de l'ARP : il n'est pas trop tard, ni irréversible, de laisser à Fakhfekh l'occasion de s'amuser un peu... Demain, cette décision populiste, régionaliste, etc, sera balayée par l'ARP !! Et le Stade Olympique redeviendra olympique et olympien...

Biensur rien contre la nomination mais contre le rassemblement.

Fakhfekh s'est visiblement laissé suffoquer par l'émotion, qui lui a fait perdre le sens de la mesure : le complexe du CSS, ce n'était pas assez ? Il restait le stade municipal de Sfax, sa bonne ville, dont les Sfaxiens attendaient avec impatience le changement de nom, d'un Taieb Mhiri qui ne valait plus rien, à un enfant du pays et authentique gloire nationale. Aujourd'hui, il n'y en a plus que pour Hamadi, "la légende du foot tunisien", l'auteur de ce but époustouflant... Les tambours ont donc légitimement résonné à 100 décibels !
Mais quand, demain, ce sera le tour de Attouga, de Tarek, de l'immense Cha-Cha , de passer l'arme à gauche, où ira-t-on dénicher le monument assez grand pour l'ultime hommage qui doit leur être rendu ?
On se laisse toujours surprendre par son émotion : il valait bien mieux laisser passer celle du moment, pour prendre une décision plus mesurée. Peut-être Fakhfekh, l'enfant du pays, a-t-il préféré prendre les devants, avant que ne lui soit définitivement retirée la fonction de chef du gouvernement, même pour les affaires courantes... Rater une aussi belle occasion de rester dans les mémoires, avouez que ça aurait été bien dommage !

Allah yar7mou hamadi agrebi ! MAIS je suis absolument CONTRE cette decision populiste regionaliste et tres calcule politiquement . Le stade de Rades appartient a tous les tunisiens et il doit rester neutre comme ca .

Estadio Santiago Bernadeu
Stadio Giuseppe Meazza
...

Avec tous mes respects pour ce joueur génial , cette décision émanant d'un responsable politique véreux et sur le départ est irrationnelle ; le premier stade du pays comme partout dans le monde ne peut prendre le nom d'un joueur : des joueurs qui ont marqué le foot mondial comme KOPA , EUSEBIO , DI STEFANO , YACHINE etc ... n'ont pas eu cette distinction ; alors un peu de retenue , son club le CSSpeut l'honorer et commémorer son nom .

Ayant beaucoup de sympathie pour feu Hamadi , la nomination du stade devrait être l'objet de critères un peu plus sérieux.
Pourquoi pas Tarek Dhiab, Gammoudi Akid...

Une décision médiocre comme celui qui l'a imposée.

EF est de mauvaise foi, il veut arnaquer les Sfaxien et les CSSien à travers cette action, sans tenir compte de ses conséquence qui pourraient être très graves. EF s'est avéré un type très dangereux, espérons qu'il finira en prison pour payer son opportunisme.

J'espère que cette excellente initiative donnera une âme à un stade dans lequel l'équipe nationale n'a jamais connu de grands moments. Contrairement à El Menzeh ou au Zouiten dans lesquels on a vécu d'énormes émotions.
Toute personne ayant suivi la coupe du monde 78 ne peut oublier les visages de la Victoire et les noms des joueurs de l'équipe de Tunisie. Ils évoluaient en guerriers défendant le maillot qu'ils ont eu l'honneur de porter. Une équipe Nationale au vrai sens du mot puisque composée de joueurs issus d'au moins une dizaine d'équipes (ca, st ess, est, st, asm, cab, css jsk, cot..), tous amateurs; équipe entrainée par un génie et un stratège, un patriote converti en Général d'une armée de 11 joueurs et de leurs remplaçants.
Dans cette équipe figurait un artiste hors norme nommé Hamadi Agrebi. Qui ne connaît pas Hamadi Agrebi, Allah yar7mou? Figure emblématique de cette équipe qui a donné le sourire à tout un Pays en se qualifiant presque, n'eut été l'homme en noir qui avait affirmé de lui-même qu'il n'avait pas osé siffler l'élimination la RFA? Un pénalty qu'il a reconnu et vu sur le terrain, mais avait dit qu'il n'avait pas pu endosser la responsabilité d'éjecter de la compétition la détentrice de la coupe du monde, et ce, au bénéfice d'une petite équipe africaine inconnue du monde du foot.
Nos joueurs qui ont brouté le gazon de Lagos comme on dit, mouillé le maillot qui avait, dans le temps, un sens. Contrairement à aujourd'hui où tout le monde hurle son amour pour la Patrie tout en lui occasionnant du mal. Parolé; Parolé, Parolé disait une célèbre cantatrice.
Tout cela, alors que nos héros de 78 n'avaient même pas l'argent de poche suffisant qui leur permettait de ramener quelques souvenirs d'Argentine.
C'est la dernière équipe nationale avant que les plus vils personnages ne mettent la main dessus, faisant de la sélection nationale leur propre "chose".
L'argent s'est mis à couler à flot, avec des joueurs professionnels issus de plusieurs pays mais seulement une ou deux équipes locales, et la sélection allait sombrer dans la médiocrité et le peu de patriotisme. Le foot s'est métamorphosé du statut de ciment national au statut de vecteur de régionalisme, producteur de footeux qui ont fini par détruire le pays, véhiculant la haine confondant pouvoir, régions et foot, et ce, indépendamment de leur niveau d'instruction. Il faut dire qu'un singe qui sait répéter une symphonie de Bach dans le ton juste, n'est pas l'équivalent de Bach, ni même un humain. Agrebi était le Bach du foot tunisien; lorsque les gueux ne donnaient pas le ton au foot.
Je vous laisse le soin de faire le parallèle avec le Pays devenu bancal malgré tout l'argent qui coule à flot; le pays colonisé et sans âme, ayant troqué ses art et joie de vivre contre l'argent du FMI.
Repose en paix ya Hamadi et que Dieu t'accorde sa miséricorde pour les beaux moments que tu as su donner à tes compatriotes.

Léon, Min Joundi Tounis al Awfiya,
Résistant,

Verset 112 de la Sourate des Abeilles.