
Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a condamné, vendredi 4 août 2023, les interdictions de travail, les harcèlements et les saisies de matériel perpétrés à l’encontre des journalistes à Médenine alors qu’ils couvraient la visite de la veille du ministre de la Santé Ali Mrabet. Pour le syndicat, il s’agit du prolongement d’une politique méthodique des autorités tunisiennes pour contenir l’information et de porter atteinte au droit d'obtenir des informations.
En effet, le syndicat spécifie que Afef Ouderni et Hedia Kari de radio Tataouine et Ahmed Lamloum de radio Médenine ont été entravés dans leur travail. Son unité d’observation a contacté le bureau de communication du ministère pour comprendre sa position, mais n'a pas reçu de réponse.
Le SNJT a estimé que le silence du ministre sur cette agression est un accord tacite. Il a appelé le ministère de la Santé à présenter ses excuses, à condamner publiquement ces agissements et à prendre les dispositions disciplinaires nécessaires à l’encontre des agresseurs.
Et de rappeler à Ali Mrabet que le droit d’accès à l’information est un droit constitutionnel, et que son respect ainsi que le respect des médias garantissent la transparence et le bon fonctionnement des institutions.
Le syndicat met en garde contre la gravité de poursuivre cette volonté de manque de transparence en ce qui concerne la gestion des services publics.
Rappelons que la veille, les journalistes, présents pour la couverture de la visite du ministre de la Santé Ali Mrabet à Médenine, ont été surpris qu’on leur demande des autorisations de filmer et du refus du ministre de faire une déclaration. Pire, au cours de la visite, l’un des accompagnateurs du ministre a saisi le téléphone portable d’Afef Ouderni, l’empêchant de couvrir les doléances des citoyens faites au ministre.
I.N

2-Son président sait qu'il ne serai pas réelu, et c'est pour ça qu'il a cherché à etre élu dans le bureau de la FTEDES de ROMDHANI et BEN AMOR.
3-Le président de la SNJT est poursuivi en justice:
ARTICLE DE BN du 21/02/2023 | 12:54 écrit par M.B.Z (TEXTO et en INTEGRALITE).
'Ouverture d'une instruction judiciaire contre Mahdi Jlassi et des activistes' LE TITRE
Le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Mahdi Jlassi, ainsi que d'autres activistes sont convoqués par la justice pour « incitation à la désobéissance et voies de fait sur agent public ».
La nouvelle est tombée mardi 21 février 2023. Une instruction judiciaire a été ouverte à leur encontre. Des policiers ont engagé des poursuites contre Mahdi Jlassi, Wael Naouar, Khalil Zghidi et d'autres activistes pour avoir organisé une manifestation le 18 juillet 2022 contre le référendum.'
AUTRE ARTICLE DE B.N du 23/02/2023 | 14:24 écrit par I.N : TEXTO LE TITRE)
'Poursuites contre Mahdi Jlassi : la FIJ étudie une action contre le gouvernement tunisien'
4-Le bureau de la SNJT , et surtout son président ne represente ,nullement les journalistes.
Et pour preuves ,les presents dans la dernière conférence concernant CHADHA BEN MBAREK.Aucun membre du bureau ,à part AMIRA MOHAMMED, les autres des jeunes(au féminin) stagiaires. Et lors des 'manifestations' seulement les partisans d'un courant politico-idéologique ,le meme de TAHRI-HFAIEDH de l'UGTT, TRIFI de la ligue, ROMDHANI-BEN AMOR de la FTDES, SNOUSSI de la HAICA.
5-Le président de la SNJT pourrait etre poursuivi aussi pour des déclarations TRES GRAVES d'hier (tadakhol SAFER!!!!! de qui!!!DU PRESIDENT!!!) que B.N n'a pas publié le statut EN ARABE . En plus de ses anciennes declarations quant AUX MILICES DE L'ETAT!!!!!.
6- L'état ne reconnait pas et ne reconnaitra jamais un bureau de la SNJT comprenant JLASSI ou AMIRA MOHAMMED. Et déja le PRESIDENT A TRANCHé lorsqu'il a dit que 'L'iilem ghair berii' (LES MEDIAS NE SONT PAS INNOCENTS).
7-On peut appeler L'ALLIANCE entre les directions de l'UGTT, ligue TRIFIENNE, FTDES,SNJT , la HAICA ,et leur 'FRONT' 'ANTI-FASCISTE'!!!!!: l'alliance des MORTS CLINIQUEMENT!!!.