
Le ministre de la Santé a décidé de confier à la commission scientifique indépendante, en plus de ses attributions, l'évaluation et le suivi de la stratégie et des programmes du ministère de la Santé liés au suivi de la situation épidémiologique, de la lutte contre la pandémie, de la prévention, de l'investigation, de la mise à disposition des capacités hospitalières et thérapeutiques ainsi que de la gestion de la campagne nationale de vaccination en termes de fourniture des vaccins, du choix des priorités selon les données scientifiques et le respect des priorités préalablement établies.
Le ministre de la Santé a également chargé cette même commission de soumettre des propositions fondées sur des données scientifiques pour la bonne gestion de la troisième vague et pour anticiper d'éventuelles évolutions épidémiologiques. Il a souligné, dans ce cadre, la nécessité de soumettre un rapport dans un délai de deux semaines pour approbation par le ministère de la Santé en ce qui concerne le développement des performances de ses départements, afin qu’il soit utilisé par la commission nationale lutte contre le Covid-19 dans la mise en place de mesures sanitaires
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I.N
Un médecin qui n'a pas de fonction politique ne peut et ne doit pas jouer ce rôle : La crédibilité de l'ensemble de la profession médicale est en jeu ici.
Les décisions politiques - mais aussi sanitaires - restent donc entre les mains de nos politiciens ?
Cher ministre, vous auriez dû savoir que les médecins peuvent vous conseiller mais pas vous représenter politiquement.
La corruption est partout! Pauvre Tunisie !!
Cela s'appliquerait, par exemple, à ce que l'on appelle le commerce en general, la visite des espaces extérieurs des zoos et des jardins publiques ou les "services liés au corps" autorisés.
C'est un premier pas, nous devons mettre les personnes vaccinées et guéries sur un pied d'égalité avec celles qui ont été testées négativement.
L'immunisation et donc l'exemption du test peuvent être démontrées par la preuve d'une vaccination complète contre le Covid-19 effectuée il y a au moins 14 jours avec un vaccin approuvé en Tunisie, la preuve d'un résultat de test positif basé sur des diagnostics de laboratoire utilisant la détection d'acide nucléique (PCR, PoC-PCR ou autre technique d'amplification de l'acide nucléique) et il y a au moins 28 jours et pas plus de six mois, ou la preuve d'un résultat positif en combinaison avec la preuve de l'administration d'au moins une dose de vaccin contre le covid-19 depuis au moins 14 jours avec un vaccin homologué en Tunisie.
Mais ces réglementations sont susceptibles de rendre le vaccin d'Astrazeneca encore plus impopulaire. Ici, la deuxième vaccination est généralement administrée après trois mois ; avec les autres vaccins, elle est plus rapide.