Le ministère des Affaires culturelles a refusé de délivrer le visa d’exploitation au film « Call me by your name » qui devait être projeté dans la salle Le Colisée cette semaine. C’est ce qu’annonce l’équipe de communication de la salle ce mardi 27 février 2018 sur les réseaux sociaux.
Le film en question, sorti en 2017 est unanimement salué par la critique et a déjà remporté 2 prix (Festival international du Film de la Roche sur Yon et l’Orange British Academy Film Awards à Londres), en plus de plusieurs nominations aux Oscar 2018. Sauf que le film traite entre autres de l’histoire d’amour entre deux hommes, un tabou absolu pour notre ministère semble-t-il.
Contacté, le département des Affaires culturelles n’a pas répondu aux sollicitations répétées de Business News.
Officieusement, le ministère a demandé à la direction du Colisée de ne pas projeter le film « pour éviter les problèmes ».
N.B.G
Le ministère des Affaires culturelles interdit la diffusion d’un film parlant d’homosexualité !
Le ministère des Affaires culturelles a refusé de délivrer le visa d’exploitation au film « Call me by your name » qui devait être projeté dans la salle Le Colisée cette semaine. C’est ce qu’annonce l’équipe de communication de la salle ce mardi 27 février 2018 sur les réseaux sociaux.
Le film en question, sorti en 2017 est unanimement salué par la critique et a déjà remporté 2 prix (Festival international du Film de la Roche sur Yon et l’Orange British Academy Film Awards à Londres), en plus de plusieurs nominations aux Oscar 2018. Sauf que le film traite entre autres de l’histoire d’amour entre deux hommes, un tabou absolu pour notre ministère semble-t-il.
Contacté, le département des Affaires culturelles n’a pas répondu aux sollicitations répétées de Business News.
Officieusement, le ministère a demandé à la direction du Colisée de ne pas projeter le film « pour éviter les problèmes ».
"Je campe sur ma position"
Fort bien...
"Merçi"..."je remerçie encore une fois"...
Mais alors, pourquoi une cédille là où elle n'a pas lieu d'être ?
Vous campez aussi sur votre "cédille"...?
Maxula.
Je m'en contre fiche que vous remerciez ou pas celui qui m'a enseigné le français, le plus important c'est que je me suis fait comprendre ("k3adt chadéd kèn félkchour" Mr. de la fontaine).
Je campe sur ma position et je remerçie encore une fois le Ministère de la culture pour cette censure.
"Thirsday"...ou "Thursday"...?
"Merçi"...
"même s'i ce film"...
"soit disant liberté"...
Vous pouvez "remercier" qui vous voulez...moi je ne remercie pas celui qui vous a appris à écrire en français...ni à réfléchir un brin de iota...les idées (d'une tout autre importance...) étant à l'avenant...
Maxula.
Et puisqu'on en est arrivé là, la prochaine fois, projeter aussi des films porno, d'inceste, de détraqués pédophiles, adeptes du culte du diable, de trahison de sa patrie, et j'en passe, pourquoi pas, puisque tout devient permis maintenant au nom d'une soit disant liberté d'??expression ?!
Je dirais même qu'à part "la liberté boiteuse" d'expression et d'information...tout ce qui s'est passé entre 2011...et maintenant, est à mettre aux chiottes avant de tirer la chasse !
"Il y a cécité & cécité."
Exact !
La vôtre est bondieusarde...
La mienne est laïque...ou athée, si vous préférez..
Maxula
@Maxula
"Ceci dit...tout ce qui est excessif est insignifiant"
Parce que tout ce qui se passe et qui s'est passé dans le pays depuis la prise du pouvoir par les bouseux, et particulièrement de 2011 à 2014, ne vous parait pas excessif!!!!
Cela dit, à chacun son point de vue.
Il y a cécité & cécité.
Salutations.
J'ai vu ce film en Tunisie dans les années 70'...
Merci à Bourguiba d'avoir autorisé la projection de ce chef-d'oeuvre...ce qui m'a permis, entre-autre, de découvrir la musique de Mahler...
Ce film traite à peu de choses près, du même sujet...et pourtant il ne fut pas censuré à l'époque...
Cela veut-il dire que la société tunisienne est actuellement dans une phase de régression effrayante...?
Poser la question c'est y répondre...
Maxula.
"pourquoi ne pas autoriser la zoophilie et légaliser les viols en pleine rue. "
"La zoophilie" n'a pas besoin d'être autorisée...pour être pratiquée par les détraqués et les mabouls...que ce soit urbi et/ou orbi...
Quant au viol...qu'il soit commis "en pleine rue"...ou dans l'intimité familiale, un viol est un viol...!
Ceci dit...tout ce qui est excessif est insignifiant...et je trouve que votre commentaire...est excessif et dogmatique !
Maxula.
La démocratie chez les autochtones de "*** land" est synonyme d'aucune limite. Rien n'est anodin.
Quand on veut détruire une culture, tous les moyens sont permis, en déverrouillant tous les interdits.
Alors pendant qu'on y est, pourquoi ne pas autoriser la zoophilie et légaliser les viols en pleine rue.
"En démocratie, la politique est l'art de faire croire au peuple qu'il gouverne".
Louis Latzarus , La Politique (1928).
"La démocratie, c'est la moitié des cons plus un".
Philippe Bouvard
