- Pour Nabil El Karoui, ce n'est rien d'autre que le phénomène Hechmi Hamdi. Un média à disposition 24h/24, accompagné d'une politique de mendicité, et le tour est joué. Je vous rappelle que dans l'élan démocratique de la poussière d'individus qui composent vos intellectuels révolutionnaires, Hechmi Hamdi était la deuxième force politique lors des élections pour la constituante SANS QUE CELA NE DERANGE PERSONNE.
- Pour Kaïs Saïd, l'oiseau rare de Ennahdha; il n'est pas plus chtarbé que l'ancien protégé de Ennahdha, à savoir Moncef Marzouki qui, je vous le rappelle au passage, et à titre anecdotique, fut même président, SANS QUE CELA NE DERANGE PERSONNE.
Alors qui dérange vraiment dans ce trio; et pourquoi? Elémentaire mon cher Watson! Il n'y a que Abir qui dérange. Et elle dérange encore plus les trois ou quatre "démocrates" qui croient encore en la révolution et bien sûr, les "faiseurs" de démocraties et de révolutions. Ceux qui ne veulent pas revoir la Tunisie de jadis et naguère. Ceux pour lesquels la Tunisie des Lumières et de la prospérité est dangereuse.
Ces islamo-fashistes qui, main dans la main avec les prétentieux et les régionalistes, main dans la main avec les footeux, ont oeuvré, sans le savoir, pour que le sionisme et les pouvoirs financiers mondiaux, avilissent définitivement le monde arabe et ses peuples d'imbéciles. Et à leur tête bien sûr, notre grand peuple (au moins premier en quelque chose).
Il est vrai que Abir dérange ces gens-là. Mais les chiens aboient et la caravane bourguibienne passe et les écrase.
Il suffisait d'avoir la bonne lecture des évènements dès le départ. Cette lecture qui se résume à deux pseudo: JW et votre prétentieux serviteur; Léon.
Il est quand même malheureux que huit années après le 14 maudit, vous vous entêtiez à croire que nous avions tort. Qu'avions-nous à y gagner, sinon vos insultes de bipèdes sûrs d'eux-mêmes et dominateurs?
Le problème pour nos "démocrottes" et pour leurs "sauveurs" atlantistes est Abir Moussi. C'est aussi simple que cela. Tout simplement parce qu'elle se positionne dans le refus de la manipulation atlantiste et veut libérer son pays du joug de la colonisation 2.0 perpétrée par les "penseurs" du monde, et applaudie par les imbéciles qui, aujourd'hui, et après avoir détruit le pays, le fuient en masse.
Les penseurs étrangers, ces mains manipulatrices des marionnettes qui vous gouvernent, projètent leurs manipulations locales sur la situation tunisienne (grossière erreur)? Ils proposent à leurs esclaves de "noyer" Abir dans une masse de charlots, afin qu'elle n'émerge pas au dessus des 2%. Un peu comme cela a été fait pour "noyer" Asselineau en France (seul candidat sérieux en face des candidats traditionnels). Mais les moutons de Panurge ne sont pas les mêmes en Tunisie qu'en Occident. Chacun est manipulable par quelque chose.
Ce jeu ne fonctionne évidemment pas pour la Tunisie, et s'est même retourné contre eux. Ils l'ont eu en plein dans le fondement. Leur stratégie a été contre productrice pour eux. Elle a fait émerger la seule candidate sérieuse dans le ramassis de charlots et de ceux qui ont fait leurs preuves en nuisance et destruction.
Cette femme de principe et militante, cette négation de l'esprit rétrograde des ingrats et des prétentieux tunisiens se trouve aujourd'hui sur une autoroute menant au pouvoir.
Maintenant que la démocratie ne va plus dans le sens voulu par nos "protecteurs" (sic!), je vous parie qu'ils vont pousser "certains" à prendre le pouvoir par la force et à arrêter ce jeu. Souvenez-vous en! La première manipulation a été d'empêcher Abir à se présenter. Vu la réaction du peuple, ils chercheront autre chose..
Nous vaincrons. Nous récupérerons le pays que les traitres ont détruit en criant "dégage" puis l'ont quitté pour un avenir meilleur chez leurs maîtres à penser. Nous tiendrons ces "nuisibles" en respect et les mettrons hors d'état de nuire. Hier un forum d'immigration de cerveaux fut organisé en présence des recruteurs étrangers et d'officiels tunisiens, dont notre ministre. Voilà à quoi est réduit la politique tunisienne:
1) La mendicité d'état.
2) Vendre nos enfants.
Dégagez le plancher, sinon nous vous y obligerons à coups de bâtons et pire s'il le fallait.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.