
Les agressions survenues au Parlement, lundi 7 décembre 2020, a fait réagir les politiciens qui se sont indignés contre l'agression des députés Attayar sous la coupole de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Les députés du Bloc démocrate, Samia Abbou, Amal Saïd et Anouar Bechahed, ont été agressés physiquement par des députés d’Al Karama lors de la réunion de la Commission de la Femme à l'Assemblée des représentants du peuple.
L’ancien député et médecin, Sahbi Ben Fredj, a commenté ce qui s’est passé en écrivant sur sa page officielle : « Arrêtez le programme… ça suffit… Basta ! ».
Avouant l’échec des parlementaires élus aux élections législatives de 2019, le député indépendant, Mongi Rahoui, a appelé à la nécessité de dissoudre le Parlement.
L’élu Yassine Ayari a indiqué que les députés Al Karama tentaient d’entraver la tenue de la réunion de la Commission de la Femme par la force, en agressant leurs collègues.
« Dans l'Assemblée des représentants du peuple, des députés s’agressent mutuellement, un député blessé, une députée par terre, des grands mots et des doigts d’honneur... », a indiqué Yassine Ayari pour décrire la scène d’agression qui s’est déroulée sous la coupole de l’ARP.
Le dirigeant d'Attayar, Mohamed Larbi Jelassi, a martelé que la discussion aujourd’hui aurait dû être consacrée à la situation des hôpitaux, l’amélioration des conditions de sécurité et le budget de l’Etat pour l'exercice 2021.
« Les victimes des agissements du bloc Al Karama ne sont pas uniquement les députés Attayar, agressés aujourd’hui. C’est aussi le peuple qui est victime de ces élus. Ceux qui ont voté pour le bloc qui devrait défendre la répartition équitable des richesses. Ce bloc n’a fait que transformer le Parlement en arène ! », dit-il dans un statut publié sur sa page Facebook.
I.M.


les kwanjias nous préparent un plan satanique : détruire la République et islamiser la société
Abir Moussi n'a jamais cessé de nous dire et redire que les kwanjias sont les destructeurs de l'état civil, l'état de droit
maintenant aux femmes tunisiennes de sortir et de demander la dissolution de l'ARP
que de mauvais jours devant nous .

