
Selon Hager Ben Cheikh Ahmed, journaliste, juriste et membre d'Afek Tounes, l’affaire du petit garçon violé par son professeur de sport dans une école de Bouselsla (La Marsa - Tunis), prend une tournure kafkaïenne. Beaucoup d’avocats se seraient mobilisés autour de cette affaire et ont émis le souhait de la prendre en charge. Certains seraient même allés jusqu’à usurper l'affaire des mains de l'avocat en charge de l'affaire depuis hier.
D’autres personnes en revanche ont montré un soutien plutôt musclé au présumé violeur. Douze individus armés de bâtons et couteaux, auraient accosté la mère de l’enfant dans une station de bus, ils l'auraient menacée et lui auraient demandé de retirer la plainte.
Toujours selon Hager Ben Cheikh Ahmed, la directrice de la garderie scolaire, qui continue à nier les faits, lui aurait dit qu'elle a eu tort d'avoir ébruité l'affaire sur les réseaux sociaux et qu'elle doit retirer la plainte et présenter des excuses. Le présumé coupable, quant à lui, aurait ramené un alibi prouvant qu'il était à Tabarka le jour des faits. A suivre.
M.B.Z

Donc... bonne continuation.
ps : parasites acculturés ? Un parasite peut également être nanti et "de bonne famille". Parasites seul suffisait.
Les vues à court terme et l'absence de prévoyance dans la gestion du vivre ensemble conduisent, et ont conduit, à des catastrophes sociétales irréparables.
Je vis à la Marsa et je veux un avenir et une société saines pour mes enfants, qui.
sont en droit de l'avoir dans le pays de leurs ancêtres;
Sans se résigner à l'exil comme des dizaines de milliers de Tunisiens éduqués
Et sans être la proie potentielle de parasites acculturés.
Gardez la tête froide et relisez ce que j'ai écris. Je rebondissais sur ce que vous écriviez au sujet de la pédophilie et de ses causes qui seraient en Tunisie, d'après vous, "socio-culturel".
Là vous nous faites un laïus sur la délinquance et la criminalité en général. Vous vous êtes fait plaisir.
Questionnez par exemple juge, avocats, associations civiles.
Les statistiques corroborent mes propos, et il ne sert à rien à nier les faits.
Les crimionalité a explosée au sein de la banlieu nord de Tunis, au cours des dix années précédentes.
85% de ces crimes ont été commis par des délinquants originaires des régions de l'intérieur, ayant migré à Tunis depuis moins de 30 années.
Je vous met au défi de démentir ces affirmations
Je réitère le caractère socio-culturel de ces comportements criminogènes, non par racisme déshonorant pour son auteur, mais pour souligner l'immense problème de fracture sociale et culturelle qui est en train d'anéantir ce pays.
Je reconnais par là même mon hostilité profonde envers les dégats causés par l'exode rural anarchique qui a détruit bdurablement la Tunisie et fait de moi accessoirement un étranger dans mon propre pays.
Tout comme pour les femmes battus, on en trouve dans toutes les couches sociales.
A vous lire j'entends entre les lignes, ***.
Les personnes des quartiers populaires et autres régions de l'intérieur sont des tunisiens comme vous. Seul différence, un porte monnaie sûrement plus étoffé de votre côté.
C'est une question d'éducation et de culture, hélas, au même titre que la petite et moyenne criminalité.
Cela pose d'inévitables questionnement sur la mixité sociale et les conséquences de l'exode rural anarchique, qu'on le veuille ou non
Un enfant de 10 ans ne ment jamais sur ce genre de chose affreuse. Comment pourrait il inventer un viol?
Honte aux gens qui défendent le violeur. Ils n'ont pas peur pour leurs âmes!