
La Ligue tunisienne pour la défense des droits de l'Homme (LTDH) s’est indigné, dans un communiqué daté du mardi 2 février 2021, de la violence verbale, insultes et menaces proférées par certains sécuritaires et leurs syndicats.
L’organisation a ainsi appelé le chef du gouvernement et le ministre de l’Intérieur à assumer leur responsabilité dans le relachement sécuritaire et fait porter la responsabilité première au chef de l’Etat dans le respect de la Constitution et des libertés.
Par ailleurs, la LTDH a souligné que ses adhérents et militants assumeront toutes leurs responsabilités dans leur appel à célébrer la commémoration de l’assassinat de Chokri Belaïd samedi 6 février 2021 et à manifester pour protester contre les dérives de certains syndicats, pour protéger les libertés fondamentales et individuelles et pour appeler à la libération de ceux qui ont été arrêtés.
Pour elle, le comportement de certains groupes de sécuritaires dénote une tendance fachiste qui les rendent « une force, un gang, une milice hors la loi menaçant la paix sociale, l’Etat et le régime républicain, avec un discours de haine visant toutes les voix libres ». Pire selon l’organisation, ces groupes se sont dressés en tant que juge et bourreau.
La LTDH a ainsi exprimé son mécontentement face à ce qui arrive, notamment l’atteinte aux libertés générales et individuelles et la violation de la loi et de la Constitution par certaines milices sécuritaires. Elle dénonce la calomnie, la diffamattion et la publication de données personnelles, ce qui est une grave violation.
I.N
B.N : Merci d'avoir attiré notre attention
a mon avis ce genre de ligues sont les outils de certains politiques qui les utilisent pour les soit disant droit de l'homme mais que l'on sort a chaque crise politique
pour faire chier le peuple et foutre la merde .
bien fait pour la majorité silencieuse et froussarde que nous sommes