L’ancien dirigeant d’Ettakatol et de Nidaa Tounes et actuel dirigeant du Mouvement Tounes awalan, a publié ce lundi 7 mai 2018 un post Facebook dans lequel il admet la défaite de toute la classe politique actuelle et conclut par la nécessité de partir.
« Une classe politique avec ses dirigeants, ses opposants et ceux qui rôdent autour devraient prendre des initiatives. S’ils sont responsables ou intègres, ils doivent laisser l’espace à une nouvelle classe dirigeante. Nous devons partir ! », a écrit M. Ksila.
Khemaïs Ksila fait partie de ces militants contre le régime de Ben Ali qui ont participé à la Constituante après avoir été élu en 2011 sur les listes d’Ettakatol. Il a quitté le parti juste après avoir constaté l’association de son dirigeant Mustapha Ben Jaâfar avec le parti islamiste Ennahdha, et a rapidement rejoint l’équipe de Béji Caïd Essebsi et les fondateurs de Nidaa Tounes. Bis repetita en 2014, il a claqué la porte de Nidaa pour rejoindre le dissident Ridha Belhadj avec qui il a fondé le mouvement Tounes Awalan. Ils ont participé à des coalitions et des listes indépendantes durant les municipales de 2018 qui se sont achevées avec une cuisante défaite.
L’ancien dirigeant d’Ettakatol et de Nidaa Tounes et actuel dirigeant du Mouvement Tounes awalan, a publié ce lundi 7 mai 2018 un post Facebook dans lequel il admet la défaite de toute la classe politique actuelle et conclut par la nécessité de partir.
« Une classe politique avec ses dirigeants, ses opposants et ceux qui rôdent autour devraient prendre des initiatives. S’ils sont responsables ou intègres, ils doivent laisser l’espace à une nouvelle classe dirigeante. Nous devons partir ! », a écrit M. Ksila.
Khemaïs Ksila fait partie de ces militants contre le régime de Ben Ali qui ont participé à la Constituante après avoir été élu en 2011 sur les listes d’Ettakatol. Il a quitté le parti juste après avoir constaté l’association de son dirigeant Mustapha Ben Jaâfar avec le parti islamiste Ennahdha, et a rapidement rejoint l’équipe de Béji Caïd Essebsi et les fondateurs de Nidaa Tounes. Bis repetita en 2014, il a claqué la porte de Nidaa pour rejoindre le dissident Ridha Belhadj avec qui il a fondé le mouvement Tounes Awalan. Ils ont participé à des coalitions et des listes indépendantes durant les municipales de 2018 qui se sont achevées avec une cuisante défaite.
"Qui se sont achevées avec une cuisante défaite". Ou est la neutralité? Si il n y a pas neutralité, où sont les chiffres? S'il n y a pas de chiffres, ou sont au moins les arguments?
Ksila fait preuve de beaucoup de myopie en s'alliant à Ridha Belhaj qui incarne l'échec, la médiocrité et l'opportunisme de bas étage.
Qu'est ce que Ksila peut attendre d'une telle alliance à part la défaite assuré.
Cette proposition de quitter la scène politique , pour être crédible , devrait s'appliquer en priorité à son auteur , lui qui a pratiqué le " nomadisme" d'appartenance et de poursuite de .....quoi ? poste de pouvoir ! poste de leadership ! va-t-il alors abandonner toutes interventions dinars ou autres avantages
Pour la première fois de sa vie, ce caméléon dit la vérité.
Vous avez oublié en rappelant son cursus, haut en couleurs, son passage par la RCD moment où Abderrahim Zouari en était le SG..
Ksila, homme sans foi ni loi, change d'opinion et d'appartenance politique à un rythme fou.
Il a enfin compris qu'il faut partir. Encore faut il qu'il passe à l'acte.
Personne ne le regrettera
Monsieur le peuple Tunisien ne sait pas voter car quand on veut punir le pouvoir on doit aller voter pour ces concurrents et ne pas rester à la maison surtout quand on a affaire avec une partie comme ennahdha ses simpatisants votent en sa faveur quelque soit sont rendement et avec tout les moyens
