
Le président de la République, Kaïs Saïed s’est réuni ce lundi 26 septembre 2022, au palais de Carthage avec la cheffe du Gouvernement, Najla Bouden pour discuter de la situation générale dans le pays ainsi que le fonctionnement d’un nombre des services publics.
A cette occasion, le président de la République a insisté sur la question de l’approvisionnement des marchés et la lutte contre les spéculateurs et les dépassements enregistrés dans l’impunité.
D’autre part, le président de la République a souligné « la nécessité de restreindre l’importation des produits de luxe pour limiter le déséquilibre de la balance commerciale avec un certain nombres de pays, ce qui est de nature à nuire aux finances publiques, ce qui ne profite qu’aux pays exportateurs ».
« Comment expliquer l’importation de la nourriture des animaux domestiques ou celle des produits de beauté des plus grandes maisons cosmétiques et le fait de trouver l’argent en devises alors que les citoyens souffrent, pour la majorité, de l’indisponibilité des produits de première nécessité ? », lit-on dans le communiqué de la présidence de la République.
Le même communiqué indique que le devoir national exige un partage des responsabilités pour surmonter les difficultés. Le chef de l’Etat a, également, souligné que certaines crises sont provoquées afin d'être exploitées politiquement, notant que le peuple ne tombe plus dans le piège de ces manœuvres et qu'il sait qui se cache derrière.
S.H
L'eau et le savon ne coûtent pas cher et se pavaner dans les avenues et boulevards en limousines dernier cri est indécent pour une population qui fait la queue pour les produits de première nécessité......
Il faut visiter les salons dites de thé...
Bonne journée
La situation actuelle résulte de l'incurie des divers gouvernements, ceux empêchés de durer ou de décider, de même que ceux incompétents parce que dirigés exclusivement ou presque par des gens ignorants de ce qu'est un '?tat sinon pour se l'approprier, ou simplement dépourvus de toute capacité pour les fonctions qu'ils ont occupées.
C'est une faute que de mettre au compte du Président des responsabilités qui ne sont pas les siennes, et davantage encore de le traiter de fou, incapable, populiste ou psychopathe.
Deuxième élément:
Lorsqu'un pays rencontré des difficultés importantes, les choix sont limités. Ou bien on accuse, on flétrit le pouvoir en place, et c'est facile et en même temps dommageable pour tous, et plus spécialement pour les plus fragiles. Et cela est irresponsable et fait le jeu de ceux qui ont créé la banqueroute qui s'en l'avent les mains à la faveur de la bronca contre celui désigné faussement seul responsable.
Ou encore, et c'est peut-être plus intelligent, accepter la solidarité pour surmonter ces moments difficiles.
Ceux qui achètent "les produits de luxe" ont de l'argent, des devises. Et tout le monde ou presque trouvé cela normal sans se poser la question de l'origine du produit.
C'est le travail des gens, pas de ceux qui ont du fric, mais ceux qu'ils emploient et qui leur procurent ces richesses.
On pourrait en exiger des actes solidaires, comme cela s'est fait, se fait, dans des pays traversant des épreuves semblables.
Et partant, on peut obtenir du reste de la population l'accord, l'assentiment à une politique économique de rigueur.
J'ai plutôt le sentiment qu'on se collait dans des opérations de basse besogne, comme cette "affaire" d'appel d'offre pour approvisionner la présidence de la République en viande (rouge).
C'est peut-être la couleur Rouge qui leur fait tourner les sangs.
On peut, aussi, rechercher où sont partis tous ces capitaux dévolus au pays, des milliards de dollars, dont on peine à voir à quoi et à qui ils ont servi.
Quand on veut trouver des solutions, il convient de bien poser le problème, faire le bon diagnostic....
Désigner un bouc-émissaire sans rapporter la preuve de ces inférences, mises en cause, est proprement trompeur.
Quand est-ce que l'on va comprendre que kais le simplet n'a pas le niveau, il est en train de nous couler.
Il a dit ca
Inexorablement
Ce type Est le roi du populisme
Tous les produits dits de première nécessité sont importés par l'Etat qui n'a plus d'argent pour payer ses fournisseurs. Ce n'est point une question de devises. Les autres produits dits de luxe sont importés par des opérateurs privés qui ont l'argent et la devise.
Est ce qu'il a entendu parler de l'OMC ? Sait-il que La Tunisie en est membre et que ses règles lui sont applicables ?
Pauvre Tunisie.
je pense que tu dois etre un très mauvais economiste et meme pas un bon commerçant, et je peux dire, c'est toi qui est loin de loin de comprendre
Bravo


