Les préparatifs pour les législatives anticipées prévues en décembre 2022 ont été à l’ordre du jour lors d’une rencontre, lundi 5 septembre 2022, entre le président de la République Kaïs Saïed et le président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) Farouk Bouasker.
Carthage a fait savoir, dans un communiqué publié à l’occasion, que le président de la République avait assuré qu’un nouveau code électoral serait élaboré notant que les « remarques et recommandations de ceux qui appuient le processus du 25-Juillet seraient prises en considération ».
Kaïs Saïed a laissé entendre que seront exclus ceux qui « s’étaient incrustés et avaient infiltré ce processus alors qu’ils n’ont aucun lien avec l’entreprise du 25-Juillet ».
Des législatives anticipées devraient être organisées en décembre 2022 conformément au calendrier que le chef de l'Etat avait annoncé en décembre 2021 dans le cadre du processus du 25-Juillet et suivant une nouvelle loi éléctorale qui devrait être publiée dans un délai ne dépassant pas le 16 septembre.
N.J.
Car les dès sont lancés depuis 25 juil
Ce pays n'est pas sa propriété, le peuple ne lui appartient pas non plus, ce n'est pas au machiavels de Carthage de choisir à notre place.
C'est à chacun d'entre nous de décider qui il veut mettre au pouvoir et de qui il ne veut pas.
Bien joué, Mr le Président.
En attendant que quelques non-frustrés et quelques non-complexés sortent du lot, cela va être très difficile.
Le peuple vous fait totalement confiance.
Ces rapiats charognards affamés opportunistes ne sont prêts à rien, hormis, se remplir les poches à ras bord et saboter l'édification d'un état érigé sur de solides bases.
Il est devenu clair, que tout ce que fait le président Kaïs Saïed depuis son putsch, ne vaut pas un seul sou troué ni ceux qu'il a nommés par ses fameux décrets pharaoniques, ne pourront y perdurer après sa fuite vers l'Egypte ou les Emirats hébraïques. Tout va être annulé et tous ceux qui en profitent de cette trahison contre l'Etat tunisien et sa Constitution de 2014, connaissent bien les conséquences juridiques, de ceux qui trahissent leur serment. Surtout les conséquences du parjure après avoir mis la main sur le Coran devant le peuple et les députés du peuple sous la coupole de la maison du peuple, le parlement ARP.
Maintenant, regardons en calme ce que font ceux dont on appelle en Tunisie : «taâyra bihom Frass» ou (ils sont emportés par une jument). Il n'y a jamais eu d'illégalité qui a perduré, ni quelqu'un qui monte sans tomber.
Allah yostir Tounes.
Innè Yaoumou Il3i9abi Wèl 7isaâbi Lè 9adimon !
La question est : et maintenant ? Le rejet de la Constitution, qui plus est avec une marge aussi nette, est également une défaite cuisante pour le président chilien Gabriel Boric, salué comme un jeune espoir de la gauche lors de son élection. Le résultat du référendum, même s'il a tenté de prendre ses distances, était également un vote sur sa première année de gouvernement. Pour la première fois, le vote était obligatoire lors de ce scrutin : plus de 13 millions des quelque 15 millions d'électeurs chiliens ont voté, un record historique.
Voyez-vous une comparaison avec le "référendum" des putschistes en Tunisie et celui des Chiliens ?
l'islam politqe, moi j'ai milité contre ce courant, mais ce vous oubliez c'est que notre président est très prohe idéologiquemet de l'islam politique. Ce qui l'intéresse, c'est le pouvoir. Il ne faut pas aussi perdre de vue qu'on ne peut pas résoudra un problème en créant d'autres plus insolubles. Depuis une année et avec tous les pouvoirs qu'ils détient, il n'a rien réalisé sauf des slogants et la situation du pays est plus que préoccupate.
Sinon tu serais encore en train de payer leurs gros salaires, pauvre imbécile.
Merci qui ? Merci Saied.