Le président de la République, Kaïs Saïed a adressé, ce mardi 14 janvier 2020, une correspondance aux partis, aux coalitions et aux blocs parlementaires, afin qu’ils proposent leurs candidats à la présidence du gouvernement.
« Conformément aux dispositions de la Constitution, le but de cette correspondance est de vous inviter à présenter vos propositions écrites concernant la ou les personnalités que vous estimez les plus aptes à former un gouvernement. Le choix doit être justifié ainsi que les critères adoptés pour ce faire. Les propositions doivent être faites dans un bref délai n’excédant pas le jeudi 16 janvier 2020. Les propositions faites dans les meilleurs délais permettront d’avoir le temps d’approfondir les concertations et de respecter les délais fixés par le troisième paragraphe de l’article 89 de la Constitution », indique la présidence de la République.
S.H
Et pour former ce gouvernement par ce candidat
La lecture de l'article 95 de la constitution s'impose.
Hum je crois que le parlement sera dissout.
Ou l'autre façon pour se débarrasser du GOUROU...
Les publications de Wikileaks, les déclarations de H Clinton, des officiels américains, les travaux depuis 2011 sur les événements dans le monde Arabe ne changent rien...Un peuple inculte reste inculte !
Le coup d'Etat orchestré par les USA, la GB, le Qatar et les Khwanjia pour chasser Ben Ali et fomenté un soulèvement populaire est aujourd'hui largement admis...
Ils illusionnent d'avoir mis en place une démocratie, un régime parlementaire !
Comment peut-on mettre en place un régime parlementaire sans partis politiques forts ? Les échecs successifs depuis 9 ans le prouvent...
Comment peut-on mettre en place une démocratie sans institutions, sans valeurs démocratiques ...avec un peuple peu instruit, inconscient des exigences des valeurs et de l'esprit démocratique...
Pour cacher ses échecs "criminels" en matière économique "Ennakba" vous miroite des mirages sur la révolution, la justice etc...
En réalité, Ennahdha a vidé les caisses de l'Etat, a aggravé le déficit commercial, fait chuter la valeur du Dinar, a engagé ses militants et ses proches dans la fonction publique par dizaine de milliers...
Le Bilan d'Ennahdha est lourd politiquement, socialement et économiquement ! Le pays est aujourd'hui au bord du gouffre...et à la merci des bailleurs de fonds !
Les responsables de ce fiasco doivent être arrêtes et jugés !
C'est la première chose à faire...
Ensuite , il faut réactiver les compétences de Ben Ali, seuls capables aujourd'hui de faire face pour sauver le pays !!!
L'ancien 1er ministre Mohammed Ghanouchi, Friia etc...
Laisser à nouveau cette tâche aux partis c'est commettre l'irréparable
Le président doit trancher sans concessions en mettant les partis devant leur responsabilité.
Il n'y aura pas de miracle dans la mesure où la situation est compliquée à cause de la configuration de l'assemblée.
Il est quasi impossible de gouverner avec une vingtaine de partis où chacun prétend détenir la solution.
D'autres parts, trop de temps perdu et le blocage dû à cette fichue proportionnelle risque de perdurer.
Le président doit imposer son candidat sinon il doit dissoudre l'assemblée.
D'ailleurs, je suis sûr que ce type de pressions finira par payer et tous ces partis indisciplinés rentreront dans le rang de gré ou de force.
La situation générale du pays ne nous permet plus d'autres faux pas au risque e voir s'installer l'anarchie et le chaos.
A tous ceux qui avaient applaudi, encouragé, contribué, et accompli la volonté atlantiste nommée "printemps arabe",
A mes chers compatriotes;
A mon cher Peuple de la trahison collective;
Ce n'est pas sans une certaine ironie et sans un vilain petit plaisir synonyme de pêché, que je vous adresse mes meilleurs voeux pour votre sacro-sainte et bénite révolution du 14 janvier 2011. Tellement bénite que chaque tunisien ressent aujourd'hui le 14 janvier comme un horizon noir qui "nous verse un jour noir plus triste que les nuits", description digne du spleen de Baudelaire, un écrivain méconnu des gueux à diplômes, dépourvus de conscience.
Et "jour noir" est bien le cas de le dire, puisque le 14 janvier correspond au premier jour de "Layali Essoud" dans le calendrier agraire tunisien. Quelle coïncidence riche en symboles! quel signe de Dieu! et quelle sentence pour le peuple ingrat et sans principes qui profane le sol tunisien rien qu'en marchant dessus.
Il est presque jouissif de vous voir patauger de la sorte, cherchant désespérément un premier ministre et un gouvernement, et ce, neuf années après votre sacro-sainte révolution, synonyme de désolations, de banqueroute et de misères.
Si l'on pouvait espérer que cette catastrophe allait donner ne serait-ce qu'un seul point positif, à savoir plus de libertés et de démocratie, vous venez de montrer par une preuve par neuf, que même sur ce point Ben Ali avait raison.
En effet, si la démocratie implique plus de prospérité, plus de progrès et plus de bonheur, elle s'est avérée, chez les gueux que vous êtes, synonyme de sclérose politique, de faillite sociale et de soumission aux différents belligérants de la scène internationale. Bref, vous avez prouvé que le système qui sied aux européens, n'est tout simplement pas au profil du peuple de la trahison collective.
La démocratie à l'occidentale a fait de vous un protectorat de la BM et du FMI, et une colonie atlantiste, monde qui ne vous laisse aucun choix souverain, sinon celui de suivre ses prérogatives.
Cela fait neuf années que vous aboyez dans les médias et au sein de l'assemblée; et que le pays recule doucement mais surement, évoluant vers un point de non retour aujourd'hui largement atteint. Durant ces neuf années, vous avez voté pour deux présidents complètement instables, dignes des meilleurs services de Sainte Anne, séparés par un autre, bien stable celui-ci, un nonagénaire dépassé par le monde nouveau, et qui se trouve actuellement dans un monde meilleur, non pas à cause de son vieil âge, mais certainement pour avoir tout simplement été occis par les forces obscures qui gouvernent notre pays depuis l'étranger et qui l'ont réduit au silence en fin de mandat, avant qu'il ne dévoile les réalités de tout ce qui est arrivé. Une mort dont personne ne parle et qui a provoqué la démission de plusieurs médecins. J'espère qu'ils sont encore en vie.
Un pays où la terreur n'a plus rien à voir avec ce que vous aviez eu le culot d'appeler "dictature", appuyés par des états qui aujourd'hui éborgnent leurs citoyens, tirent à bout portant avec des flash-balls paralysantes, tabassent à mort un père de famille, poussent un étudiant à s'immoler, dans un contexte de désert social et médical, sans précédent; contexte où les banquiers et actuaires, ces voleurs attitrés, se sont substitué à la sécurité sociale, à la poste, et bientôt au système de retraite et à la SNCF.
Si l'état tunisien n'existe plus, celui de la France, est en voie de disparition, géré par les prestataires de services que l'on continue à appeler "président" ou "ministre". Cela évoque la maxime du peuple lors de la 3ème république lorsque les présidents avaient perdu toute envergure: "nous avons eu Doumergue, nous avons aujourd'hui Doumer, si çà continue comme çà, il ne restera plus que Doux".
Il va sans dire que le Peuple Français (un vrai grand Peuple) ne laissera pas faire; il y a aujourd'hui un germe de la conscience patriotique française, un vote "responsable", autour de la personne de François Asselineau qui finira certainement par fédérer les français.
Mais revenons à la Tunisie, à sa révolution et à son peuple. Il est évident que si le peuple avait quelques rares raisons pour sortir dans la rue, la logique veut que la situation actuelle appellerait ce même peuple à sortir avec dix fois plus de détermination qu'en 2011. Mais est-il sorti? Et sortira-t-il? Certainement pas. Alors je vous laisse conclure comme des grands; à savoir reconnaitre que c'est bien la manipulation médiatique atlantistes, via Al Khinzira, France 24 arabe..., qui a fait sortir les gens dans la rue, appuyés bien sûr par les chasseurs de sangliers, mercenaires payés par les parties révolutionnaires étrangères, pour vous faire plaisir tout en vous tuant.
Peuple de Tunisie, votre seule issue est la remise des clefs aux compétences de Ben Ali (et à leur tête Ahmed Friaa). Un camouflet pour les merdolutionnaires, certes; mais c'est la seule solution. Votre égo et celui de votre président (un révolutionnaire convaincu donc quelqu'un qui n'a rien compris) vous éloignera de ce choix. Car en réalité vous n'aimez pas votre pays. Votre égo est bien plus important. Aujourd'hui des partis merdolutionnaires se disputent les postes de ministres, laissant le pays à genoux. Leurs nominations sont plus importantes que l'intérêt national. Et vous appelez cela une démocratie? La charrue avant les boeufs. Pour accéder à la démocratie il faut être socialement, politiquement, moralement évolués. Vous ne l'êtes pas!
Quand le Le roi Salomon devait statuer sur un diffe'rend qui opposa deux femmes ayant chacune mis au monde un enfant, mais dont l'un e'tait mort-ne', et qui se dispute'?rent l'enfant restant, il procéda de la sorte: Pour re'gler le de'saccord, Salomon re'clama une e'pe'e pour couper l'enfant vivant en deux et donner une moitie' a'? chacune d'elles. L'une d'elles manifesta sa volonte' de renoncer a'? l'enfant pluto'?t que de le voir mourir. Suleymen reconnut alors en elle la vraie me'?re et lui remit le nourrisson.
NOUS sommes les vrais enfants de la Tunisie. Le fait de l'avoir laisse'e aux merdolutionnaires pour ne pas la diviser fera reconnai'?tre a'? la majorite' du peuple dupe' quels sont les vrais enfants de la Tunisie. Ben Ali vous l'a laissée entière. Vous l'avez réduite a'? la colonisation. Nous récupérerons le pays car il n'est pas le votre. Vous ne l'aimez pas.
Encore Bon 14 janvier aux gueuses et aux gueux; Manifestez de la joie si vous pouvez!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
2). Un gouvernement restreint de 15 Ministres.
3). La relance de l'économie du pays au plus vite.
L' UNION des forces démocratiques sans les islamistes, sans marchandage des postes, et je te donne et tu me donne, autrement c'est la mort subite pour tous le monde.
D'abord le pays qu'il faut sauver d'une crise qui risque d'être fatal, vu l'état dans lequel on se trouve.
Il faut dire stop à la guerre des égaux, la Tunisie ne manque pas de gens capable pour relever le défi, il est plus que urgent de redresser ce pays convalescent pour ne pas dire malade jusqu'à l'agonie.
3 conditions qui sont nécessaires
1/ Un chef de gouvernement le plus compétant possible dans le domaine socio économique , un bon manager , une capacité de coordonner les équipes , carrure international , notoriété , carnet adresse , relations internationales , croit a l'état de droit et ne tolère aucun dépassement et applique cela sur lui en premier et a toute l'équipe . Connaît les rouages de l'état .
Capable de reconnaître et d attirer les ministres les plus compétants chacun dans sa spécialité
2/ Le président du gouvernement doit avoir l'intelligence de convaincre les parties qui vont l'appuyer sur un programme consensuel que toutes les parties trouvent les points essentiels de leurs objectifs , tous cela en esquissant des objectifs si possible chiffrés et grandes lignes de la politique a adopter .
3/ Le programme et les objectifs 'doit être un compromis entre le social et en même temps le libéral au cas par cas avec une étude structurée prenant en priorité les intérêts aussi bien des. privée que de l'étatisme
Le plus important c'est la lutte contre le commerce illégal , la diminution des impôts mais en élargissant ces redevances a tous les commerçants , une incitation a l'investissement
Une diplomatie intelligente intégrant tous les résidents Tunisiens a l'étranger qui doivent être impliqués en tant qu'indépendant de la Tunisie .
Une cours des comptes publique doit être instituée pour demander aux gouvernements précédents de rendre des comptes sur les crédits qui nous ont été octroyé .
Tous cela ne peut pas être fait que par le seul président quelque soit ces compétances , mais par les parties qui se ressemblent et qui ont déjà réfléchi a tous ces éléments et qui ont déjà trouvé les compromis , les mécanismes et qui ont déjà préparé l'ambiance pour que de tels accords sont possibles .
C'est la famille démocratique progressiste sans islam politique qui est la plus habilité a mener cette étape cruciale sans aucun doute .
La personnalité qui est bel et bien prête pour mener a bien cette mission est MR Mehdi JOMAA et le programme de son parti est vraiment un bon compromis qui peut être rapidement amélioré par les partis en question .
Ettayar Ecchaab, PDL, Tahia Tounes, El Mostakbel , Islah , Kalb Tounes ne peuvent que travailler ensemble pour la Tunisie si toutefois ils collaborent activement en laissant tous leurs ego et surtous leurs défauts et en gardant les qualités qui sont certainement les points forts et communs à tous ces parties . Seul Mr Laatheri est susceptible de trouver sa place dans une telle composition sans être taxé d'eliminer les khouamjia mais ce qui évident c'est qu'ils n'ont jamais eu de compétances dans cette secte malheureusement pour la Tunisie qui a subi 9 ans de malheurs a visé de leur vol du fruit de notre labeur pour enrechir les adeptes de cette secte