
Le président de la République, Kaïs Saïed s’est entretenu, aujourd’hui 14 février 2024, avec les ministres de la Justice, Leila Jaffel et des Finances, Sihem Nemsia. Il a, à cette occasion, indiqué que la Tunisie menait une véritable guerre contre la corruption et les corrompus au sein de l’administration.
Dans une vidéo publiée à la même date par la présidence de la République, Kaïs Saïed a assuré qu’il ne reculera qu’après-avoir procédé à un assainissement de l’État. Il est revenu sur une affaire concernant un diplôme falsifié. Il a expliqué que le document était daté de 1983 alors que l’établissement scolaire en question n’avait été créé qu’en 1993. « Avons-nous besoin d’un test ? Un diplôme falsifié et il ne s’agit pas du seul. Il y a plusieurs autres exemples qui sont plus dangereux. C’est pour cela que je vous ai invitées... Ces affaires doivent être rapidement tranchées par la justice », a-t-il dit.
Kaïs Saïed est revenu sur un autre dossier concernant une personne propriétaire d’un établissement médiatique. Il a indiqué que ce dernier était chargé de porter atteinte à ce processus. « Nous sommes dans une guerre de libération et non, comme certaines le pensent, dans une campagne électorale… En 2019, je n’ai pas fait de campagne électorale… Cette personne, au sein d’une banque étatique, a des crédits non remboursés à hauteur de 61,388 milliards (probablement millions de dinars et non milliards, NDLR)… Cette personne est, jusqu’à aujourd'hui, libre et aucune procédure ne le vise », a-t-il ajouté.
Le chef de l’État a indiqué qu’un autre individu avait obtenu des crédits auprès de cinq banques, dont une étatique, cumulant une somme égale à 32 millions de dinars. Il s’agirait d’une somme qui n’a pas été remboursée. « Il y a une autre affaire concernant une femme supposée veiller à l’application de la justice… Sa dette s’élève à 1,2 milliard de millimes. Elle a, malgré cela, obtenu une décision de main levée… Quant à ceux se préparant pour les élections au sein de la Fédération tunisienne de football, la dette de seulement l’un d’entre eux est égale à 6,71 milliards (probablement millions de dinars et non milliards, NDLR)... Le peuple tunisien est conscient de tout ce qui se passe », a-t-il poursuivi.
Kaïs Saïed est revenu sur les prêts contractés par une entreprise liée à l’un de ces individus. Il s’agirait d’une enveloppe à hauteur de 65 milliards (probablement millions de dinars et non milliards, NDLR). Les dettes représentent, au sein d’une seule banque, 21 milliards de millimes. Il a appelé l’administration à agir et ses cadres à assumer leurs responsabilités. « Nous menons une guerre et nous n’accepterons que la victoire… Nous avons tous les moyens et toutes les compétences… Nous nous basons sur les choix du peuple… Nous réaliserons les attentes du peuple tunisien », a-t-il déclaré.
Le chef de l’État a estimé qu’un certain nombre de cadres de l’administration étaient impliqués dans ces crimes. Ils n’ont plus, d’après lui, leur place au sein de celle-ci. Il s’agit de complices dans des crimes continuant à avoir lieu de la part de personnes se croyant être intouchables.
S.G
IFM ,avec deux programmes (EMISSION IMPOSSIBLE) ,un animateur qui veut se montrer NEUTRE , un chroniqueur (ANDOU AGENDA) et surement il sera convoqué a propos de ce qu'il a dit il ya 3 jours, et une 'chroniqueuse'.On ne parle plus de Z.H. viré. Par contre je salue GHAZI MAALLA qui est très objectif et professionnel.
La deuxième émission c'est celle de KHOULOUD. Avant il y avait un certain AYADI.
La deuxième radio ,c'est DIWAN FM, et surtout BEN GHARBIA, kahlaoui, et à un degré moindre BAROUDI.
SHEMS FM REST IN PEACE. Et WISAL et Z.Z TOP LONG LIFE.
MOSAIQUE :c'est la seule radio NEUTRE et qui publie l'information SANS CALCULS.
IL FAUT ENQUETER sur le nouveau venu KESHF MEDIA.
Peut il citer une seule réalisation accomplie depuis 4 ans.?
Améliorer la valeur du dinar par rapport aux autres devises ?
Inciter à Créer des projets ?
Diminuer l'inflation ?
........ Bref, mettre tout ce beau monde en prison c'est bien, mais après ?
Et au fait, abir moussi, quand sera t elle remise en liberté ?
Après la campagne présidentielle probablement et après les élections et la désignation du nouveau président (on devine qui '?), sûrement.
Une correction : la traduction du mot IKHTIBAR est EXPERTISE et non TEST.Et je suppose que l'attestation scolaire évoqué est celle du chef service mis en dépot la semaine derniére.Et j'ai appris que sa mise en depot a été prolongée après son audition aujourd'hui par le juge d'instruction. Et j'ai appris que le bureau regional de l'UGTT de KASSERINE a changé son ABOU OUBEIDA. un NEW NEW qui contrairement à l'ancien qui a nié la présence du diplome dans le dossier. Le nouveau secretaire adjoint ne nie pas l'existence du diplome mais pretend que le concerné n'a pas connaissance de ce 'diplome' !!!.
Reste l'homme d'affaires, le media et CELUI ENGAGé quotidiennement (donc un journaliste qui a un programme quotidien).Et je pense que vous avez deviné le nom visé.
R.B.H vite vite une grande enquete pour dévoiler les noms.
Je ne comprends rien devant cette avalanche de dossiers et affaires
Aider nous journalistes n'est ce pas votre rôle de fouiner et sortir plus au moins la réalité des choses
Il se trouve que cela est confirmé par des instances internationales qui relèvent une corruption de niveau élevé.
Les corruptions, convient-il de dire, puisque le mal agit et prospère sous diverses formes atteignant tous les secteurs et rouages de la société.
Décisions non appliquées, lois ou jugements non exécutés, biens publics captés en faveur de certains, fonctionnaires et juges qui contestent les choux du pouvoir, s'y opposent en sus de refuser de les appliquer alors que c'est pour cela qu'ils reçoivent leurs émoluments et salaires.
Le grand truc, est la liberté.
La démocratie.
Bien entendu, la liberté de contester n'autorise pas le fonctionnaire à se faire législateur.
Comme la démocratie devrait être la liberté de délibérer, de s'opposer aux lois et décisions que l'on juge contraires à ses propres choix, mais cela n'autorise pas l'usage et le recours à des moyens illégaux, et encore moins les procédés de nature à enfreindre les règles, geber le bon fonctionnement ou encore bloquer les décisions prises par le pouvoir qui vous rémunère.
Pourtant, nous assistons sans répit à des opérations, puisqu'il faut bien noter la réitération des faits selon le même procédé, dont le but énoncé clairement est le combat contre le pouvoir en place.
Quand ce n'est pas pour plaider en faveur d'une opposition dont le projet n'a pas de secret, mele quand la supposée opposition n'a plus de souffle....moribonde.
C'est la confusion générale.
N'importe quel personnage se déclare autorisé, s'autorisant de lui-même, est repris par des organes d'information pour remplir les pages ....
Les pages Facebook font autorité, et garnissent le vide des journaux.
On pourrait, en toute liberté, nous informer sérieusement, vérifier les déclarations des manants que le mensonge ne rebute pas, dire les faits en précisant d'où parle et au nom de quoi l'orateur, scripteur de Facebook ou le dernier illuminé qui croit pouvoir insulter l'Etat, le pouvoir, dieu et ses prêtres, les volatiles pour leur prétention à nous regarder de haut, et les femmes infidèles parce que leurs mères ne furent pas de grande observance en matière de vertu.
Enfin, pour ne pas les oublier, nos juges, nos grands juristes qui n'ont peur de rien, et croient pouvoir changer le sens de la rotation des aiguilles des horloges parce qu'elles ne donneraient l'heure exacte du méridien de Greenwich.
Ils sont si justes, nos juges, qu'ils s'occupent des affaires publiques, enfin c'est comme cela qu'on les appelle un peu à la manière grossiers qui croient que cela leur donne droit d'en jouir selon leur bon plaisir, si on voit le tableau.
Bref, la bêtise diffuse ad nauseam, ses officiants se multiplient comme les pains d'un certain, avec leurs effets attendus et délétères de renforcer l'insignifiance.
Mais, ça fait bien de dire qu'on est contre.
Je soutiens, moi qui ne suis pas moins considérable que ces personnalités de talent (d'Achile), tout projet anti-corruption.
Mais, dans un corps malade, où choisir d'amputer....
On peut tenter de sauver son âme, à défaut de lui rendre sa puissance, qui sait?
Y en a marre de ces rétrogrades aux têtes calcinés qui ne comprennent nada aux méthodes agiles ! Mais réveillez-vous bon sang, on vit au 21ème siècle !!
on ne comprend rien a ses chiffres alors qu'il est président du pays!