
Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, ce mardi 23 août 2022, au palais de Carthage, Najla Bouden, cheffe du gouvernement. L'entretien a porté sur le fonctionnement des services publics et les préparatifs en cours pour la rentrée scolaire et universitaire.
La rencontre a également porté sur la situation économique et sociale, qui est l'un des piliers fondamentaux sur lesquels repose la constitution, en particulier la réalisation de la justice sociale dans le cadre d'une vision capable d’aboutir à cet objectif escompté.
Le chef de l'Etat a également insisté sur la mise en place rapide de l'institution chargée de la réconciliation pénale, dans la mesure où les institutions ne se forment que dans le but d'atteindre leurs objectifs.
D'autre part, le président de la République a soulevé la question de l'égalité entre les citoyens et les justiciables devant les tribunaux. Dans ce contexte, il a considéré qu'il est absolument inacceptable qu'un accusé reste en prison sans jugement alors qu’il peut être innocent. Il a ajouté qu’il est également inacceptable qu'un certain nombre de prévenus profitent des procédures judiciaires pour échapper à la peine. En effet, selon le chef de l’Etat, les procédures n'ont été conçues que pour parvenir à l'égalité et à la justice.
La question du monopole et de la spéculation a également été abordée. Le président de la République a souligné la nécessité pour le ministère du Commerce d'assumer pleinement la responsabilité de l'application de la loi.
Il a indiqué que le phénomène de monopole et la disparition de certains biens vitaux se sont généralisés en Tunisie alors que ces biens sont disponibles en quantité suffisante dans les entrepôts des spéculateurs. Kaïs Saïed rappelle que le ministère du Commerce dispose de tous les moyens légaux pour jouer son rôle, notant que le décret n’a pas été rédigé juste pour être publié mais pour être appliqué.
S.H
Cela n'engage pas à grand chose.
Quant aux "élus du peuple", franchement, en d'autres pays ils auraient mérité une médaille de l'INDIGNITE nationale.
Le motif ?
Celui qui ne le sait pas est ou bien un étranger vivent dans une contrée lointaine coupée du monde, ou alors à choisi d'ignorer le sort fait par ces "élus" à ce peuple.
Moi, j'ai beaucoup aimé la réplique du militaire faite au malfaiteur Ghannouchi.
Elle est bien pesée.
Des "élus du peuple" ayant vendu le pays, l'histoire en regorge.
Ce ne peut être un argument suffisant.
La fonction ne fait pas l'homme.
Faux grossier, puisqu'une règle non écrite basée sur le principe de rationalité consiste à rapporter la preuve de fe qu'on avance.
Bhiri, qui mérite poursuites à raison de faits documentés, complicité de terrorisme au sein d'une organisation dont il est admis qu'elle a fait régner la terreur, n'a fait que séjourner en hôpital.
Soigné aux frais du contribuable logé, nourri, s'autorise une grève de la faim dont il sortut aussi gras qu'en entrant, et en pleine forme puisqu'on l'a vu assister physiquement son patron et inspirateur, le vieux voyou Ghannouchi venu se joindre aux cruzrds qui parlaient démocratie.
Si ce n'était grotesque, on s'en amuserait.
Le Président rappelle les principes, car i' est le garant des institutions.
Institutions massacrées, et même bafouées par Bhiri.
Donc, Bhiri et tous les suivants de cette secte dont réputés indéfendables.
Il suffit de se souvenir de keyrs frasques, leur manque de respect des droits d'autrui.
Leur manque de dignité.
Parlant de Bhiri, est-ce que lui ou sa ministre de justice peuvent nous donner une mise à jour sur la situation'?'? On est où dans cette affaire-là?
Comme on dit: associé dans les gains, mais pas dans les pertes. Si ça foire, Kaisollah joue toujours la carte du spectateur innocent qui n'est au courant de rien.
Ahhh s'il y avait un trophée pour la lâcheté....

