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Kaïs Kombat, le jeu qui permet de se défouler sur Rached Ghannouchi
09/05/2022 | 10:10
1 min
Kaïs Kombat, le jeu qui permet de se défouler sur Rached Ghannouchi

 

 

Rien de bien compliqué dans ce jeu. Une fois téléchargé, il permet au joueur d’utiliser l’avatar d’un Kaïs Saïed en plein parlement, pour se défouler sur des exemplaires de Rached Ghannouchi venus l’attaquer. Il suffit juste de faire bouger le personnage pour donner des coups de pied et de poing à un président de parlement dissous. Plus il y de coups, plus on comptabilise de points. 

 

Ce jeu, créé visiblement par un sympathisant du chef de l’Etat, offre un petit moment de défoulement qui a bien fait marrer les internautes aujourd’hui. 

« Les missiles sont en place et prêts à décoller », peut-on lire en présentation du jeu, empruntant une des phrases d'un Kaïs Saïed menaçant ses adversaires. 

 

R.B.H

 

09/05/2022 | 10:10
1 min
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Commentaires
Abel Chater
Il y a un proverbe tunisien qui dit:"essèrdouk, sakih fil-khra, ouhouwè yèdhine" ou (coquerique le coq, son bec vers le haut-terminus, ses pattes dans l'humus).
a posté le 09-05-2022 à 13:36
Le pays va droit dans le mur. Les nonchalants francisés jouent à la PlayStation. Le président Kaïs Saïed se solidarise avec son propre soutien du mal, le génocidaire assassin de milliers d'Egyptiens à la place Rabiaâ du Caire, le Saffah d'Egyte, l'autoproclamé Maréchal putschiste Bokassa Sissi.
Les Mbarka du minuscule parti d'Echaâb, se préparent durant plus de deux mois, avec le soutien de l'Etat et de ses nouveaux responsables nommés par décrets présidentiels, depuis le gouverneur de Tunis, Kamel Fekih, jusqu'au ministre de l'Intérieur Taoufik Charfeddine, bouteilles d'eau minérale à l'appui, pour ne réunir qu'un petit millier de personnes devant le théâtre municipal de Tunis, tenant entre leurs mains une réclame au profit du magazine français en faillite perpétuelle «Jeune Afrique». Le magazine du défunt Béchi Ben Yèhmèd, qui a spolié aux Tunisiens des milliards de l'argent du peuple tunisien, que lui avait pompés le défunt dictateur déchu Ben Ali, pour le sauver d'une faillite certaine. Un magazine qui ne vit que de son soutien aux dictateurs africains, suivant sa propre devise : «le roi est mort. Vive le roi».
A la question pourquoi Ben Ali avait-il ordonné en 1997 à des dizaines d'entreprises tunisiennes d'acheter 10.500 actions de l'hebdomadaire Jeune Afrique, tout en lui ayant pompé des millions d'euros, alors en difficulté financière, le défunt Béchir Ben Yahmed, patron fondateur de l'hebdomadaire Jeune Afrique, répondit : «le problème, c'est que, dans des régimes dictatoriaux, tout est entre les mains du pouvoir, explique-t-il. On ne peut pas démarcher des actionnaires privés comme ça et passer par-dessus la tête des dirigeants. Ils le prendraient très mal».
Une escroquerie avec préméditation, dont souffrent les Tunisiens jusqu'à aujourd'hui. Je pense qu'une certaine victime de l'arnaque Ben Yahmed-Ben Ali, le dénommé Jilan Attia, patron d'un groupe de travaux publics, ne put s'en débarrasser des 263 de ces actions acquises depuis 25 ans et dont il a sollicité la vente à Jeune Afrique, par lettre datée de 2007.
Malgré tout, le magazine Jeune Afrique, continue à nous fabriquer des dictateurs, pour sucer le sang des Tunisiens et pour déjouer les débiles parmi eux. Sinon, qu'ils nous expliquent au moins les raisons et les preuves de la «trahison de Rached Ghannouchi», dont ils font la une de leur hebdomadaire d'attrape-nigauds?
Ils croient qu'on ne leur comprend pas leur guerre traditionnelle de «Harkis de la France de père en fils», qu'ils mènent contre la concurrence économique de la France, par le Qatar et la Turquie en Tunisie. Une concurrence encouragée par tous les Tunisiens de conscience, parmi eux Rached Ghannouchi et beaucoup d'autres, contre lesquels les Francisés mènent leur guerre farouche, sous l'égide de la France des Lévy.
Fèlè aâchè fi Tounes mèn kahanèhè.
The Mirror
Mon coup de gueule au Président Kais Said
a posté le 09-05-2022 à 12:54
Je m'adresse, en simple Citoyen au Président de la République.
Monsieur le Président, en tant citoyen observateur, je suis révolté de voir le président de mon pays, jouer le rôle d'un vulgaire opposant à Rached Ghannouchi.
Non Monsieur le Président, vous êtes le président du pays, vous EXERCEZ le POUVOIR, et vous n'avez pas à souhaiter l'activation de la Justice, vous n'avez pas à nous raconter ce dit et ce que fait Ghannouchi. Vous DEVEZ agir pour que bouge la Justice, pour que tous les corrompus et les criminels soient en prison. Tout juge qui n'assume pas son DEVOIR doit être déchu immédiatement de ses fonctions.
Si vous n'arrivez à assumer pleinement vos responsabilités de président, pour quelques raisons que ce soient, vous démissionnez Monsieur le Président.
Un président n'est pas un opposant à l'opposition, un président est un homme qui décide.
Tunisino
Un témoignage
a posté le 09-05-2022 à 12:00
Cela témoigne certainement du niveau des soutiens de Zakafouna. Les coups de poing et de pied du psychopathe anarchiste au traitre suprême sont certainement les biens venus mais s'exprimer d'une manière enfantine et irresponsable (inviter les gens à se battre par un outil conçu pour enfants) est dangereux. Les soutiens du psychopathe sont aussi limité que les soutiens du traitre, ils constituent un danger imminent pour le présent et le futur du pays.
Mansour Lahyani
Abir Moussi a tort, pour une fois...
a posté le 09-05-2022 à 11:10
Ce n'est pas Najla Bouden qui doit rendre compte de sa passivité devant l'arrogante et abusive présence des Qaradhawi en Tunisie, et de ses soutiens : le dernier mot en revient exclusivement à K. Saied et à ses machinistes, notamment ce Nawfel qui s'agite dans les coulisses... Encore une fois, Mme Bouden est hors circuit !
Mansour Lahyani
Ce "combat" est pure illusion !
a posté le 09-05-2022 à 10:58
Jamais un nahdhawi ne combattrait son alter ego nahdhawi... La joute, à fleuret bien moucheté que K. Saied semble avoir entreprise contre cet autre ikhwenji, n'est qu'une tentative de diversion pour amuser une galerie un peu trop crédule ! Le maudit gourou maudit l'a reconnu lui-même : ne s'est-il pas félicité que jusqu'à ce jour le Pouvoir, l'homme-qui-détient-tous-les-pouvoirs, lui ont fichu une paix royale encore plus que présidentielle, près d'une année après cette déclaration de guerre trop tonitruante pour être sincère ?! Y a-t-il un seul des disciples du maudit gourou maudit qui ait essuyé la moindre atteinte à sa personne, voire même à sa liberté ? L'épisode Bhiri sert vraiment d'exception pour mieux enraciner cette règle !
Vous comprendrez donc bien que les nahdhawis, et même les Qardhawis, n'ont rien à craindre de la levée de boucliers censée mettre fin à leurs manigances, pour ne pas parler de leur présence abusive dans cette Tunisie post-2011 !