
La chambre des mises en accusation de la Cour d’appel de Sousse 1 a décidé de déférer 41 suspects dans l’affaire Instalingo, devant la chambre correctionnelle de la juridiction, a annoncé, vendredi 21 juillet 2023, le substitut du procureur général Ridha Belhaj Amor.
Dans une déclaration à l’agence Tap, il a précisé que les prévenus sont accusés d’atteinte à la sécurité extérieure de l'État, d’attentat ayant pour but de changer la forme du gouvernement, d’inciter les gens à s’armer les uns contre les autres et d’offense contre le chef de l’État.
Selon la même source, 27 parmi les suspects sont accusés de blanchiment d'argent et trois d'enrichissement illicite. Deux sont accusés de transferts de fonds à l'étranger sans autorisation de la Banque centrale, et deux autres d'exportation et d'importation sans autorisation, entre autres.
Sur la liste des 41 prévenus, seuls 14 sont actuellement en détention. Les autres comparaissent libres ou sont en fuite. Après la clôture de l’instruction, lundi 19 juin 2023, le juge d’instruction a décidé de classer sans suite l’affaire pour quinze suspects dont une journaliste.
N.J
Le membre du Comité de défense dans l'affaire Instalingo, Me Amine Bouker, a assuré qu'un mandat de dépôt a été appliqué par la Chambre d'accusation de la Cour d'appel de Sousse contre une journaliste concernée par l'enquête.
Il a expliqué dans une déclaration à Mosaïque FM que l'arrestation a eu lieu dans une heure tardive dans la ville de Kélibia. La concernée a été conduite au district de la Garde nationale en attendant son transfert vers la prison d'El Massadine.
L'adjoint du procureur général, Ridha el Haj Amor a indiqué que la Chambre d'accusation de la Cour d'appel de Sousse a émis jeudi des mandats de dépôt contre 14 accusés détenus dans le cadre de l'enquête et trois mandats qui seront appliqués une fois les accusés retrouvés. (Un mandat a été appliqué hier contre l'accusée qui était en état de liberté).
La Chambre d'accusation a transféré le dossier devant la Chambre pénale du Tribunal de Sousse.
Le peuple tunisien va donner leçon aux dictateurs arabes, qui nous sabotent notre démocratie et notre liberté, sans cesse et sans trêve, au profit du palais de Carthage de l'actuel régime putschiste du coup d'Etat du 25 juillet 2021. Il n'y aura jamais plus de pardon pour ceux qui trahissent la transition démocratique en Tunisie. Ce n'est qu'un passage obligatoire entre la vérité et le mensonge. Les menteurs qui osent encore nous transformer notre décennie démocratique de liberté et de dignité humaine post-révolution du 14 janvier 2011, en leur propre «décennie noire», qu'ils nous disent maintenant, ce qu'ils pourront donner de désignation pire que «noire», à ces deux dernières années catastrophiques pour la Tunisie et pour les Tunisiens, à l'intérieur comme à l'extérieur de la Tunisie, depuis les klaxons contre «Ghannouchi» du 25 juillet 2021.
L'adage arabe dit : «lè yoldaghou al-mar-ou mine johran wahidin marrateini» ou (un Croyant ne se fait pas empoisonner deux fois successives dans la même cavité).
Tous ceux qui abusent de la Justice tunisienne, seront jugés eux-mêmes, car : «lèw dèmèt lighaïrikè, lèmè èèlèt ilaykè» ou (si ton poste avait perduré pour ton prédécesseur, tu ne l'aurais jamais eu).
Allah yostir Tounes.
Instalingo: Des mandats de dépôt contre quatorze accusés
La Chambre d'accusation de la Cour d'appel de Sousse a examiné, ce jeudi 20 juillet, la décision de clôture de l'enquête relative à l'affaire dite "instalingo".
Ridha Belhaj, adjoint du procureur général de la Cour d'appel de Sousse a déclaré que la Chambre d'accusation a rejeté l'appel du ministère public de classer les chefs d'accusation portés contre neuf accusés, a décidé de déférer le dossier vers la chambre pénale du Tribunal de Sousse 1, et a émis des mandats de dépôt contre quatorze accusés.
Il a ajouté, dans une déclaration accordée à Mosaïque FM, que la Chambre d'accusation a prononcé des accusations contre 41 suspects dont 14 en état d'arrestation à savoir: atteinte à la sécurité de l'Etat, changement la forme de l'Etat, incitation des gens à s'armer les uns contre les autres et atteinte contre le président de la République.
27 suspects sont accusés de blanchiment d'argent et trois d'enrichissement illégal.'
DONC bn respecter vos lectrice et vos lecteurs.Et à la journaliste N.J apprenez a faire la différence entre cour PENALE (pour les CRIMES) ET LA COUR CORRECTIONNELLE (pour les DELITS).
Alors qu'il s'agit de la COUR PENALE et les accusés risque la peine de mort. et il bloque les commentaires sur cet article .
Il publie un article A LA UNE de SOFIENE GOBANTINI sur le président KAIS SAIED , à 16h59, puis il le supprime aprés une demi heure.
"Les autres comparaissent libres ou sont en FUITE."
J'imagine, une fois de plus, que ceux qui sont en fuite, ne le sont pas, pour non-paiement de la facture de la STEG
Est-ce-que Jbéli Ben préparation figure dans le lot des heureux élus ?
Mais, sans doute, il y a plus grave et plus sérieux derrière cette affaire d'officine islamiste.
L'une des, questions sérieuses à poser est de savoir si on va remonter jusqu'aux donneurs d' ordre.
Mieux: cela donne une idée des projets concoctés par certains, et leur appétit du pouvoir.
Ce sont des ennemis du pays, des citoyens, au-delà d'être des ennemis de l'Etat.