
La défense de l’entreprise Instalingo impliquée dans l’affaire du même nom a organisé, lundi 17 juillet 2023, une conférence de presse pour communiquer plusieurs détails au sujet du dossier à l’opinion publique.
L’avocat de l’entreprise a assuré que le dossier avait été monté de toutes pièces sur la base de déclarations contradictoires notant qu’en dépit de cela, les charges n’ont pas été abandonnées. Il a ajouté qu’aucune confrontation n’avait été organisée entre les prévenus et les supposés délateurs rappelant que le parquet a qualifié l’affaire de terroriste, or certains des prévenus sont déférés devant la justice pour blanchiment d’argent.
Il a indiqué que des sécuritaires de haut rang avaient été déférés dans le cadre de cette affaire et que tous avaient été accusés des mêmes crimes sans que les auteurs ne soient différenciés des complices. « Ce n’est qu’une affaire de propagande, de règlement de comptes », a-t-il affirmé notant que toute l’affaire repose sur un mensonge.
Les témoignages de deux personnes citées dans cette affaire ont, ensuite, été diffusés durant la conférence, celui de la journaliste Chahrazed Akacha et celui de l'ancien conseiller auprès du la présidence du gouvernement et leader du mouvement Ennahdha Adel Daâdaâ. Celui-ci a nié tout lien avec l’affaire assurant que « prêter de l’argent » n’est pas un crime. « Entre 2011 et 2022, j’ai prêté de l’argent à au moins mille personnes », a-t-il avancé notant qu’il était surpris d’apprendre qu’il est cité dans une affaire de complot au même titre que l’ancien chef du gouvernement, Youssef Chahed, et l’ancienne cheffe du cabinet présidentiel, Nadia Akacha.
Reprenant la parole, l’avocat de la société Instalingo a signalé que l’épouse et la fille de Adel Daâdaâ étaient également poursuivies, dans cette même affaire, réitérant que le dossier a été monté sur la base de propos détournés et sortis de leur contexte et de délations de personnes sélectionnées à cet effet.
Un des délateurs est, selon l’avocat, est poursuivi par Instalingo et dans une affaire de terrorisme. D’autres sont des sécuritaires limogés qui ont été réintégrés dans de hauts postes. « Le juge d’instruction ne fait que chercher des éléments inculpant pour orienter l’affaire contre un ennemi politique connu », a-t-il avancé sans communiquer de noms.
Il a signalé, par ailleurs, qu’Instalingo avait été accusé d’avoir servi Ennahdha pour blanchir le parti alors que le seul contrat signé lors de la présidentielle de 2019 concernait l’ancien ministre de la Défense Abdelkarim Zbidi, candidat à la présidentielle. Celui-ci n'a, cependant, été entendu dans cette affaire qu'en tant que témoin.
N.J
De grâce, fermer là et circuler, le spectacle est terminé.
Les assassinats, dossier vide.
Les crimes terroristes, nous sommes innocents.
Les factieux arrêtés, ils sont qualifiés de "prisonniers politiques".
Des lectures du réel étrangement univoques.
Il est plus que probable que la sémantique frèriste fait des émules.
On nous a parlé de privations, de quasi-torture des pauvres prisonniers "politiques", et nous en avons pourtant qui publient sur Facebook et dont l'exorde se publie en masse.
Le Monde se divise en deux: il y a ceux qui regardent les faits et les relatent, puis de l'autre côté sont ceux qui nient même pris la main dans le sac.
Moralité : Transmutation des valeurs, négation des faits, travestissement du réel,
perversion assumée.
Ceux qui ont eu la main haute sur tout, monopolisé le pouvoir, tout gagrèné, détourné et volé jusqu'à constituer des fortunes, nous crient leur innocence les mains souillées de leurs forfaits.
Et, malgré cela et d'autres affaires à leur débit, ils trouvent des supporters.
C'est à vous faire douter de tout.
Mais, les faits sont têtus.
Les faussaires sont des artistes, des manipulateurs de haute voltige, ils ont l'habileté de l'expert, la finesse de l'exégète, le tour de main du prestidigitateur, fins limiers de la bidouille.
On peut comprendre qu'avec ces talents on rassemble, on suscite l'admiration, on se constitue un public de fidèles, parfois des inconditionnels. Même si au bout du chemin, la vérité finit par revenir en boomerang fracasser tant de certitudes bâties sur du vide, supercherie après l'autre.
On s'entête, on renchérit, persiste et signe, des fois que ça peut passer.
Le doute n'est plus permis.
C'est la faute à la dictature.
Mais, c'est bien sûr !
Aucun ne peut prétendre le contraire à part les menteurs, leurs milices et leurs lèches-bottes.
Cela ne sert à rien de chercher d'apporter des circonstances particulières à ces malfrats.
Qu'est-ce vous espérez encore ?
Khlitouha liblad w maziltou narine âala khlaha akthar. Malla mordha.
D'ailleurs, on n'est même pas encore sûr que ZABA a, à ce jour, quitté le palais de Carthage.
Tout ce qu'on raconte sur le chaos semé par les khamjiya et leurs corrompus de collègues de la maudite terka, est de la pure fiction.
Ils n'ont rien volé. Bien au contraire, ils ont fait faire au pays, un bond d'un siècle, vers le passé, bien entendu !!!!
Ils sont où vos BRICS, aujourd'hui ?