
La journaliste Insaf Yahieoui a été nommée conseillère en communication auprès du président de l’assemblée des représentants du peuple (ARP), Brahim Bouderbala, apprend Business News.
Après une longue carrière à la Télévision Nationale, Insaf Yahieoui a animé, depuis le 25 juillet 2021, le talk-show politique de la chaine « Al Wataniya Al Aân » et a grandement participé à faire la promotion du régime. Ses efforts semblent avoir été récompensés par ce poste à l’ARP.
L’obtention de ce poste implique-t-elle un départ de la Wataniya 1 ? La question reste entière. Toutefois, il est impossible, éthiquement, d’exercer le journalisme de manière indépendante tout en faisant du conseil en communication pour le compte d’une personnalité aussi en vue que Brahim Bouderbala, président du parlement.
R.B.H.

Une bonne piste pour les chômeurs longue durée de Tunis....
Allah yostir Tounes de cette gamme inhumaine de profiteurs sans foi ni loi, ni la moindre conscience humaine.
Allah yostir Tounes et bonne soirée.
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Où est Nadia Akacha, où est Rachida Ennaïfer et la liste est tellement longue, qu'elle pourra encore supporter Insaf Yahyèoui & Co.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Chacun de nous peut être pris dans ses contradictions, ses à peu près, approximations, tant les choses de ce monde vont vite et chaque instant apporte son lot d'événements et de faits qu'il est difficile de vérifier bien contraints d'en tenir compte avec toujours le risque d'être manipulé, trompé.....
C'est pourquoi, il me paraît préférable d'invoquer les responsabilités dans la prise de parole, l'engagement dans la vie sociale, et bien malin qui pourra s'en tirer à bon compte avec ses références philosophiques, morales ou éthiques, et encore davantage avec sa conscience.
Spinoza, homme scrupuleux, a mis en question cette illusion qui faisait de l'Homme un empire dans le monde.
Critiquant Descartes, il disposait que l'homme est un élément de la Nature.
On peut y faire écho en songeant à cette distinction subtile chez Bourdieu introduisant le concept d'agent en lieu et place d'acteur dans sa théorie de l'action.
En somme, on pourrait tenir que chacun de nous, au mieux, est agi/agissant.
Quelle éthique, en substance, serait en partage ?
Les humains, dès qu'ils ont du commun en partage, sont pris dans leurs passions, emportés dans un vertige où puissance et pouvoir les étreignent.
Afin de contenir et se contenir, ils se donnent des normes, des règles, inventent des lois et érigent des institutions de nature à faire vivre la société en réglant les rapports en son sein, toutes médiations nécessaires jusqu'alors quelles que soient la culture, la religion, le régime ou les constitutions.
Cette dame, par conséquent, est susceptible de tous les défauts qui sont nôtres.
Mais, en même temps, on doit lui reconnaître toutes les vertus dont on crédite l'humain.
Nous sommes dans l'ère de la zokra et du tbendir pour les médiocres et les ratés. La route tourne.
Ma remarque porte sur l'usage de "'?thique" fait par RBH.
J'explique pourquoi.
Si tu ne comprends pas.
Une injonction au savoir, à la connaissance dit :
Taallam minal lahdi ila ellahdi.
C'est ma devise.
Maintenant, à toi aussi j'adresse mon mépris.



