Une délégation de la commission européenne devait se rendre en Tunisie les tous prochains jours. Sauf que le président a décidé, unilatéralement, de faire reporter la visite à une date ultérieure. Pourtant, le régime a fortement besoin de l’aide que l’UE s’apprêtait à lui offrir. « Nous devons compter sur nous-mêmes », rétorque le président. La réponse aurait été parfaite, si le président disait comment il envisage de procéder.
Si l’on devait mesurer la pénibilité du travail des ministres, Sihem Nemsia, ministre des Finances, remporterait haut la main le triste trophée. Chaque fois qu’elle préconise une solution pour remplir les caisses vides de l’État, son patron de président la poignarde dans le dos.
C’était ainsi le cas avec le Fonds monétaire international avec qui il était question d’obtenir un prêt de 1,9 milliard de dollars depuis fin 2021. C’est écrit noir sur blanc dans les lois de finances de 2022 et 2023. L’État a besoin de cet argent pour faire face à ses obligations extérieures en devises, que ce soit pour payer les crédits antérieurs ou payer ses importations. En contrepartie de cet argent, et afin d’équilibrer son budget, l’État a projeté une série de réformes douloureuses, qu’il s’est engagé à réaliser, dont notamment la privatisation d’entreprises publiques, le blocage voire la réduction de la masse salariale et la réduction des interventions de la caisse de compensations.
Refusant net de réduire le train de dépenses de l’État, de se départir de son rôle social et toute privatisation, le président Kaïs Saïed a fait capoter le dossier du FMI, désavouant ainsi son propre gouvernement et ce qu’il a lui-même signé dans les lois de finances.
Attitude immédiatement sanctionnée par les agences de notation internationale qui ont dégradé la note souveraine de la Tunisie à la classe C (CCC- et Caa2). C’est-à-dire la Tunisie est devenue un pays à risque spéculatif.
Quel est le plan B de Mme Nemsia ? Il n’y en avait pas, de son propre aveu. Pour renflouer les caisses, et face au refus de la piste FMI, la dame a dû lancer des emprunts obligataires nationaux, des crédits bancaires intérieurs en devises (ce qui a nécessité préalablement un changement de la loi) et des crédits extérieurs à des taux élevés. Elle a également compté sur les pays amis, dont l’Algérie qui a octroyé un crédit de 200 millions de dollars et un don de cent millions de dollars et l’Arabie saoudite avec un crédit de 400 millions de dollars et un don de cent millions de dollars.
Très peu comparativement au déficit prévisionnel d’autour de huit milliards de dinars à la fin de l’année en cours.
Tellement peu que l’on a dû réduire les dépenses en devises, ce qui explique les nombreuses pénuries (pain, café, sucre, riz, médicaments) subies par les citoyens tout au long des derniers mois.
La ministre des Finances s’est remise à espérer la signature d’un mémorandum d’entente en juillet dernier avec l’Union européenne qui devait se conclure par un appui budgétaire de 127 millions d’euros.
Mais c’était sans compter les coups de tête colériques du président de la République qui s’apparentent, une nouvelle fois, à un poignard dans le dos.
Le 14 septembre, la Tunisie refuse la visite d’une délégation de parlementaires européens faisant partie de la commission des affaires étrangères. Or, sans le vote du parlement, la commission européenne ne peut ni concrétiser le mémorandum d’entente, ni verser les 127 millions d’euros promis. Les parlementaires interdits de visite en Tunisie auraient-ils une forte influence sur leurs collègues ? C’est probable et Kaïs Saïed a pris un sérieux risque en leur interdisant de venir.
Nouveau coup de théâtre lundi 25 septembre. À 23h07, un communiqué de la présidence de la République annonce la décision du chef de l’État de faire reporter une prochaine visite d’une délégation de la commission européenne. C’est-à-dire la commission que préside Ursula von der Leyen, celle-là même qui est venue en Tunisie à deux reprises l’été dernier, avec qui il a convenu le mémorandum d’entente et qui lui a trouvé l’appui budgétaire de 127 millions d’euros.
Alors qu’elle s’attendait certainement à cette somme, Sihem Nemsia doit une énième fois réviser ses comptes.
Comment faire ? Le président l’a justement dit ce lundi 25 juillet au cours de la réunion du conseil de la sécurité nationale : « Nous devons compter sur nous-mêmes ! ».
La phrase est bien ambitieuse et dénote d’un président qui veut que son pays soit autonome, ne dépendant d’aucune partie étrangère.
Sauf que le chef de l’État est dans un monde théorique car, en pratique, il n’a pas de quoi payer ses obligations et subvenir aux besoins de son peuple. Les solutions concrètes qu’il préconise sont soit irréelles soit fantasmagoriques.
Il mise sur les revenus que devrait lui apporter la commission de conciliation et table sur la somme de 13,5 milliards de dinars. Une commission sans président dont les travaux s’achèvent dans deux mois et qui n’a apporté aucun dinar jusque-là, après dix mois d’exercice. Le président pense faire pression sur les hommes d’affaires véreux pour passer par cette commission et lui verser l’argent indu qu’ils auraient amassé avant la révolution. Le montant de 13,5 milliards de dinars est tiré d’un rapport très approximatif et fortement exagéré réalisé en 2011 par Abdelfattah Amor.
Les avoirs de plusieurs hommes d’affaires impliqués ont déjà été confisqués. Plusieurs autres ont préféré se diriger vers la justice pour prouver que leurs biens ne sont pas mal acquis et qu’ils ont été injustement cités dans le rapport.
Peu importe, le président balaie d’un revers ces explications et tient à son idée fixe. Pour bien montrer qu’il ne rigole pas, des poursuites ont été lancées ces dernières semaines contre des chefs d’entreprise de renom, dont certains sont en prison. Tout cela ressemble fortement à du racket d’État.
L’autre solution-miracle du président consiste à lancer des entreprises communautaires, comme si ces dernières pouvaient remplir le déficit de l’État et relancer la croissance. À ce jour, seules quelques-unes ont été créées et aucun investisseur de renom n’y a souscrit.
C’est une évidence, le gouvernement est aux abois et a du mal à remplir ses obligations. Le président de la République n’en a cure, cependant, il continue à n’en faire qu’à sa tête en rejetant la main qui lui est tendue.
Raouf Ben Hédi
Soyons un peu réaliste, ce type est une catastrophe, c'est lui le problème numéro 1 de la Tunisie, croyez vous vraiment que les 5 prochaines années seront meilleurs si kais est toujours au commande ? Malheureusement, tant qu'il sera là, nous sommes condamnés à vivre/supporter sa médiocrité.
12 millions de tunisien sur terre, dans le lot il y a forcément l'homme/femme qui a les compétences, l'honnêteté et le charisme nécessaire pour redresser le pays, on est pas obligé de subir les lubies d'un charlatan.
D'abord j'insiste que je suis pour l'universalité du savoir, c-à-d. de la diffusion mondiale du savoir. Je cite "l'apprentissage et la diffusion du savoir conduiraient à l'avènement d'un monde éclairé, au triomphe de la raison et à l'amélioration de la condition humaine ' la mondialisation a, semble-t-il, conféré aux échanges de savoir une dimension nouvelle. S'inspirant du langage de la philosophie des lumières comme de son contenu"
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voir le Rapport 1999 de la Banque mondiale intitulé Le savoir au service du développement.
Je reviens à vos fantasmes:
A) Mais même si la Chine se limiterait pour le moment à suivre les occidentaux avec une ou deux générations de retard afin de produire les puces gravées en 4 nm ou 3 nm, l'Empire du Milieu a déjà une victoire en matière de souveraineté. Ses ingénieurs sont en marche et le pays produit déjà à 100% par ses propres moyens des puces stratégiques en 7 nm. Une performance que jusqu'à présent, seuls les USA (Intel), la Corée du Sud (Samsung) et Taïwan étaient en mesure de réaliser.
Les puces gravées en 4 nm ou 3 nm, le monde technologique pourrait s'en dépasser pour le moment:)
J'ai moi-même programmé des robots du contrôle des puces mémoires chez Siemens. Il y avait autour de moi des ingénieurs de toute nationalité: des américains, des allemands, des canadiens, des hollandais, etc., etc., etc. --> et tous ces ingénieurs ne trouvaient pas la cause du haut pourcentage de puces mémoires défectueuses (de 40%) --> et voilà qu'un enfant de paysans Tunisiens leur proposait d'injecter de l'air froid par ventilation sur les puces lors des tests, et voilà que le pourcentage de puces mémoires défectueuses tombait à 3%.
En effet, j'avais un micro-ordinateur chez moi qui a complètement "déconné" à la suite de la défection du ventilateur du micro-processeur qui devenait trop chaud afin de le toucher sans protection thermique... (il faut savoir mettre tout en relation afin de résoudre des problèmes de tous les jours et même scientifiques)
B) Les voitures électriques,
- oui les marchés mondiaux sont désormais inondés de voitures électriques chinoises moins chères et meilleurs que les voitures des pays occidentaux et leurs alliés.
- La production des batteries pour voitures électrique et à 99% chinoise.
- la production de pièces de rechange pour les voitures de toute marque (After Sales) est à 99% chinoise...
En effet, j'ai travaillé en Allemagne en tant que mathématicien en tout ce qui est "Technical Analysis, Stochastic Demand Forecasting" dans le domaine du after sales...
Fazit: Je ne suis ni pro chinois, ni pro américain. Je suis plutôt pour l'universalité du savoir, c-à-d. de la diffusion mondiale du savoir afin de garantir l'évolution globale de l'humanité...
Bonne journée
Pour sortir la Tunisie de la crise économique, il est nécessaire de mettre en '?uvre une combinaison de politiques et de réformes à différents niveaux. Voici quelques mesures qui pourraient être envisagées :
1. Stabilité politique et sécurité :
o Favoriser un climat politique stable et apaisé afin d'encourager les investissements étrangers et nationaux.
2. Réformes structurelles :
o Engager des réformes structurelles pour améliorer la compétitivité du pays, notamment dans les secteurs clés tels que l'éducation, la santé, la justice et l'administration publique.
3. Investissements dans l'éducation et la formation :
o Renforcer l'éducation et la formation professionnelle pour doter la population des compétences nécessaires à l'économie moderne.
4. Promotion de l'entrepreneuriat et de l'innovation :
o Encourager la création d'entreprises et soutenir l'innovation à travers des mesures fiscales avantageuses, des incubateurs d'entreprises et des financements adaptés.
5. Stimuler le secteur privé :
o Mettre en place un environnement favorable aux entreprises en réduisant la bureaucratie, en simplifiant les procédures administratives et en offrant des incitations fiscales.
6. Développement des infrastructures :
o Investir dans les infrastructures essentielles (routes, ports, aéroports, énergie) pour favoriser la croissance économique et faciliter les échanges commerciaux.
7. Diversification de l'économie :
o Encourager le développement de secteurs autres que le tourisme, tels que les technologies de l'information, l'agriculture moderne, l'industrie manufacturière, etc.
8. Promotion du tourisme durable :
o Investir dans le tourisme durable en mettant en valeur les richesses naturelles et culturelles du pays tout en respectant l'environnement.
9. Réduction du chômage :
o Mettre en place des politiques actives pour l'emploi, favoriser la création d'emplois dans les secteurs en expansion et encourager l'auto-emploi.
10. Réforme du système financier :
o Renforcer la stabilité et la transparence du système financier, encourager l'accès au crédit pour les petites et moyennes entreprises.
11. Lutte contre la corruption :
o Mettre en place des mécanismes efficaces de lutte contre la corruption pour restaurer la confiance des investisseurs et encourager les investissements.
12. Coopération régionale et internationale :
o Collaborer avec les pays voisins et les organisations internationales pour bénéficier de synergies régionales et obtenir un appui financier et technique.
13. Gestion durable des ressources naturelles :
o Adopter des politiques visant à préserver et à exploiter de manière durable les ressources naturelles du pays.
14. Communication et transparence :
o Mettre en place une communication transparente avec la population pour expliquer les réformes et les mesures prises, et susciter un sentiment de confiance.
Il est important de noter que ces mesures doivent être adaptées à la réalité spécifique de la Tunisie, et leur mise en '?uvre nécessitera un consensus politique, une planification soignée et un suivi rigoureux pour assurer leur succès. De plus, il peut être utile de consulter des experts économiques et de solliciter l'avis de diverses parties prenantes afin de garantir une approche globale et équilibrée.
Le développement urbain limitrophe et jouxtant ces zones (régions), sera pris en considération ainsi que le transport vers le lieu de travail.
Je pense qu'il devrait gagner l'adhésion des tunisiens autour d'un projet viable, ensuite fort de ce soutien aller glaner ce qui est pour l'intérêt du pays. Sa politique hasardeuse sans réel consentent populaire est complètement folle. De surcroît, sa position de faiblesse l'expose aux velléités étrangères.
Au final, il veut compter sur lui-même et sur le sacrifice contraint des tunisiens.
Cette aventure unilatérale renforce l'idée qu'il agit seulement pour garder le pouvoir.
On a montre dans plusieurs commentaires comment la réduction du taux directeur résout la majorité des problèmes financiers et économiques de la Tunisie et réduit le déficit. 75% de la dette du Maroc est intérieure contre seulement 30% pour la Tunisie.
Les énergies renouvelables et les voitures électriques sont l'une des meilleures solutions pour le long terme puisqu'elles réduisent le besoin d'importer l'énergie qui constitue 60% du déficit commercial.
En 1820, 90 pour cent de l'humanité vivait dans une extrême pauvreté. Aujourd'hui, ce chiffre est inférieur à 10 pour cent.
En 1800, 88 pour cent de la population mondiale était analphabète. Aujourd'hui, seuls 13 pour cent de la population mondiale sont analphabètes.
En 1800, 43 pour cent des enfants mouraient avant leur cinquième anniversaire. Aujourd'hui, ce chiffre est inférieur à 4 pour cent.
Dire non a EU et a FMI, c est quoi la solution altrenative?
Lutter contre la corruption c est bien ,mais comment avec du bla bla?
Assainir l administration comment,en changeant la personne a ca tete?..
Les paroles ne resouent jamais les problemes,il faut des plans et des strategies realistes
La Tunisie socio-économique ne vit pas seulement des endettements. Non, elle produit aussi des biens pour le marché intérieur mais aussi pour l'exportation. Je cite:
- En valeur, les exportations tunisiennes du secteur du textile et habillement ont atteint à fin mai 2023 de l'année en cours 4,2 milliards de dinars.
- Les recettes cumulatives touristiques sont à 2018 MD au 20.06.2023 contre 1317 MD en juin 2022 --> je n'ai pas les dernières données du mois de septembre.
- Les transferts des Tunisiens à l'étranger sont à 3478 MD au 20.06.2023, et sont en évolution continue (pratiquement tous les retraités tunisiens résidents à l'étranger rentrent en Tunisie et laissent transférer leurs retraites au pays)
- Les recettes des exportations de l'huile d'olive tunisienne ont atteint 2140,5 millions de dinars, jusqu'à fin mai 2023, soit une hausse de 40%, par rapport à 2021-2022. -Ceci d'après l'Observatoire National de l'Agriculture (Onagri),
- selon les données du commissariat régional au développement agricole (CRDA) à Gafsa, la production des tomates saisonnières destinées à la transformation ou le séchage a atteint 120 mille tonnes. La productivité de l'hectare est à 150 tonnes en 2023 (--> extraordinaire, en effet on était à moins de 20 tonnes par hectare...)
--> nos tomates séchées au soleil du sud tunisien sont destinées à l'exportation --> c'est aussi une forme d'exportation de l'énergie solaire...
- la Tunisie exporte des agrumes.
- la Tunisie exporte des dattes
-- les entreprises étrangères en Tunisie font entrer de la devise étrangère afin de payer leurs employés tunisiens.
- Le prix des tomates fraîches a diminué de 50% grâce aux cultures sous serre.
- évolution de plus de 6% de la production des oeufs de consommation
- etc., etc., etc.
-->
Si la Tunisie s'endette de nouveau, ceci ce n'est pas afin de nourrir son peuple, mais plutôt afin de rembourser et de payer les intérêts des dettes extérieures qui ont été faites entre 1987 et 2021. --> l'argent de l'endettement s'est évaporé sans laissé des traces...
b) La Tunisie ne connaîtra jamais la famine.
On aura toujours assez de divises étrangères afin d'importer ce qui nous manque en farine /blés (2,8 Milliards de dinars) et en produits Pharmaceutiques (1,2 milliards de dinars)
-->
D'après notre institut de statistique INS, la Tunisie dépense
-- 9,1 Milliards de dinars pour l'importation de produits pétroliers et leur dérivés.
-- 3,9 Milliards de dinars pour l'importation de Chaudières, réacteurs et auto. engin.
-- 3,4 Milliards de dinars pour l'importation de Matières plastiques
-- 3 Milliards de dinars pour l'importation d'autocycles et tracteurs
' 2,8 Milliards de dinars pour l'importation des céréales
-- 1,2 Milliards de dinars pour l'importation de produits Pharmaceutiques.
Un fait: nous avons / aurons suffisamment de devises étrangères afin de pays nos importations, si seulement la Tunisie n'avait pas des dettes extérieures à payer, un héritage des dernières décennies.
-->
afin de minimiser encore plus nos importations, je propose:
-- les autocycles et les tracteurs, nous devrions les produire au minimum à 70% par nous même (plutôt que de produire des satellites et des drones à la Telnet) --> Ceci même avec des méthodes artisanales comme au Cuba (il est temps de voir ce que les autres font en dehors de l'Europe) --> c'est l'?tat tunisien qui devrait encourager la créativité en ce domaine.
-- 3,4 Milliards de dinars pour l'importation de Matières plastiques, --> franchement, je ne vois pas comment un pays qui fourmille d'ingénieurs pourrait dépenser 3,4 Milliards de dinars pour l'importation de Matières plastiques? --> c'est l'?tat tunisien qui devrait encourager la créativité en ce domaine.
- 3,9 Milliards de dinars pour l'importation de Chaudières, réacteurs et auto. engin -->
du moins les chaudières, nous pourrions les produire par nous-même. --> c'est l'?tat tunisien qui devrait encourager la créativité en ce domaine.
- 9,1 Milliards de dinars pour l'importation de produits pétroliers et leur dérivés --> c'est trop pour un pays en difficulté financière. --> à la limite, il faudrait interdire la circulation de tout véhicule à moteur durant le week-end.
Fazit: nous devrions limiter les contraintes inutiles du FMI et produire les conditions de notre existence / sur-existence par nos propres moyens --> Nous n'avons pas d'autres choix...
Bonne journée
PS: "Mouna" signifie en Arabe espoir et "sahbi" signifie en Arabe fraternité et amitié. Il est temps de donner de l'espoir aux Tunisiens et de remplir leurs coeurs d'amour et de de fraternité...
comment vont faire tes ingénieurs ?
BRAVO pour votre lucidité et surtout votre EL HAMDOULILLAH !!!!!
L Histoire retiendra peut être qu il fut le fossoyeur ultime de ce pays celui qui lui aura donné le coup de grâce
La récente sollicitude afficher auprès des milieux d affaires qui ont planque leurs avoirs réels depuis belle lurette et surtout le recours systématique au crédit bancaire local est en train d achever notre économie
Saied est de plus en plus isolé à l'international, comme à l'intérieur. Les seuls qui le soutiennent sont soit des opportunistes, soit originaires du Cap Bon. La majorité des Tunisiens boudent Saied pour le moment et ils finiront par passer à une forme de résistance active bientôt.
Voyons ce qu'il va sortir de sa chachia....
'Cher Olaf, écrit Giorgia Meloni, qui s'adresse à Scholz en le tutoyant, comme tu le sais, depuis plusieurs semaines le gouvernement italien est engagé en première ligne pour faire face à une pression migratoire exceptionnelle".
'Dans ce contexte, j'ai appris avec stupeur que ton gouvernement, sans se coordonner avec l'exécutif italien, aurait décidé de soutenir avec des moyens importants des organisations non gouvernementales engagées dans l'accueil de migrants clandestins sur le territoire italien, ainsi que dans les sauvetages en mer Méditerranée. Ces deux possibilités suscitent des interrogations.'?'
Alors, ça, c'est pour illustrer seulement les contradictions flagrantes de l'UE sur le dossier migratoire.
Et vous voulez que notre président donne le feu vert à une visite d'une délégation de parlementaires venue seulement ici dans le but de nous emmerder ?
Quant au FMI, il n'en est pas à une contradiction près au sujet de notre pays. Et si, nous arrivons à nous passer de son prêt suspendu sur notre tête comme une épée de Damocles, ça sera très bon pour nous et notre capacité de s'en sortir tout seuls.
Et ça, ça sera la meilleure claque qu'on pourra infliger au FMI...
autant en profiter tant qu'on a une population d'abrutie.
Cordialement assil iRRiF luid ETTABOUNA ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram
je suis fière d'avoir un Président possédant votre détermination
merci
fasse dieu que vous prolongiez votre mandat
je suis KAIES SAIED
Sans oublier Kim Jong-Un et le blé russe bien entendu