Le député d'Attayar à l’Assemblée dissoute, Hichem Ajbouni, a souligné, dans un post publié, ce samedi 15 octobre 2022, sur les réseaux sociaux, que la Tunisie n’obtiendra pas le moindre sou du FMI avant d’avoir l’accord du conseil d'administration du fonds, soit en décembre.
Il a rappelé que la Tunisie a sollicité 4 milliards de dollars, mais n'a reçu un accord préalable que pour 1,9 milliard de dollars sur 4 ans, une somme que le dirigeant d’Attayar juge insuffisante et loin des besoins des finances publiques et de l'économie tunisienne pour financer les investissements, créer de la richesse et soutenir la balance des paiements.
« Aucun accord avec le FMI n’aboutira tant que la situation économique et sociale ne s'améliore pas et nous ne pourrons pas mener les réformes nécessaires sous la dictature et l'incohérence de Kaïs Saïed et dans l'instabilité politique ! » a-t-il conclu.
Le FMI et les autorités tunisiennes sont parvenus à un accord pour soutenir les politiques économiques de la Tunisie avec un accord de 48 mois au titre du Mécanisme élargi de crédit (MEDC) d'environ 1,9 milliard de dollars, indique le Fonds dans un communiqué publié ce samedi 15 octobre 2022.
Le nouveau programme tunisien soutenu par le FMI vise à restaurer la stabilité macroéconomique, à renforcer les filets de sécurité sociale et l'équité fiscale, et à accélérer les réformes qui favorisent un environnement propice à une croissance inclusive et à la création d'emplois durables.
La communauté internationale peut grandement contribuer au succès du programme des autorités par le déblocage rapide de financements supplémentaires, a ajouté le Fonds. La validation finale de l'accord doit se faire au niveau du conseil d'administration du fonds.
M.B.Z
Va dormir et prie pour que cet accord échoue comme tous tes amis qui n'ont aucun sens du patriotisme. De toutes façons si les gens vous rejettent c'est en partie parce que vous n'avez pas les même priorités que la plupart des tunisiens qui veulent nourrir leurs enfants
Toutefois tu dois prévoir la régularisation des salaires des sudistes re rutes pour la forme et sans competence dans la fonction publique à Tunis. Que cela doit à Tunis, il ne faut pas oublier puisque qu'il s'agit soi-disant de la capitale, quil faut habiter en ayant àla rigueur un vehicule dont la plaque d'immatriculation est rougeâtre destiné pour la fonction ou le service dont ce dernier se compte par dizaines de milliers tellement il y a des services et des missions à accomplir depuis 2011 lorsque nahdha, en venant en intrus de Londres, s'est accaparé du pouvoir comme s'il s'agissait d'un butin ou d'un trésor caché derrière la pierre pivotante de la caverne d'Ali baba.
Et maintenant il a la culot de critiquer cet accord qui débloque la situation car tous les investisseurs et les bailleurs de fonds ont exigé cet accord afin d'ouvrir les robinets
L'argent coula à flots et les plus ignorants, c'est à dire, presque tous les Tunisiens, virent en cela, un grand geste d'amour que portaient les grandes puissances occidentales envers les révolutionnaires de la brouette.
Asservir l'économie du pays pour imposer par la suite, des règles strictes, conformes au libéralisme à la sauce américaine, était le seul et unique but de cette non philanthropique institution.
La suite, même ceux qui sont enterrés au cimetière, la connaissent...................
Pourquoi ne pas dire l'UGTT et nahdha auparavant ? Est-ce par peur ou par connivence ?
a posté le 16-10-2022 à 10:33
Ces deux combinards se permirent pendant dix ans de s'approprier ces prêts présumés être destinés au développement économique de La Tunisie, et non de les percevoir par les deux cités pour mener la belle vie de nababs d'une part, et de régulariser d'autre part les salaires des sudistes partisans et votant de nahdha lors des législatives, qui ont été recrutés, pêle-mêle et anarchiquement, dans la fonction publique à Tunis, afin d'être, d'après eux, récompensés ainsi donnant-donnant, et puis en vue d'avoir un véhicule neuf et un logement nouvellement construit au surpeuplé et massacré, le désigné par " grand Tunis, dont ses immenses terres agricoles (célèbres par leur fertilité), ont été toutes destinées à la construction de milliers d'immeubles pour accueillir, au nom de la révolution et du printemps arabe, ces migrants, qui de surcroît ces constructions anarchiques ne répondent nullement au respect des normes de l'environnement et des théories de l'aménagement territorial.
Mais quand il s'agit de Tunis, c'est la négligence la plus complète puisqu'il s'agit de la ville d'autrui et "rizk el bilik" avec l'esprit acquis inexplicablement, depuis au moins trois décennies, en Tunisie, et ce à savoir appliquer l'adage qui dit "qu'après moi c'est le déluge", de plus on sait que paradoxalement ces jemonfoutistes (en majorité des sudistes qui , par ailleurs non aucun respect aux originaires des autres régions, pour l'avoir vecu), le disent en toute audace, désinvolture et hypocrisie, d'autant plus au bled qui a été restructuré et modernisé, même avant 2011 à limage de Gabes, Tataouine et Mednine et ce même avant 2011 (donc tout est comedie et cinéma destiné pour coloniser surtout Tunis selonleplan satanique de ghanouchi le pion des khwanjias), sur tous les plans
Par voie de conséquence, la construction d'autoroutes à l'instar de celle préconisée reliant Kairouan aux quarres coins de la Tunisie pour contribuer au développement économique, comme celle de kairouan destinées à relier efficacement les quatre points cardinaux ( de cette ville dont la situation géographique est stratégique) et ce selon un plan économique colossal.
Toutefois pour nahdha la construction d'autoroutes, est pour eux, un moyen de communication de relier rapidement Tunis, sans plus pour leurs véhicules de tourisme) et de ne pas perdre de même le relais avec cette ville (dite absurdement capitale) par contre massacrée, en l'absence de responsables compétents, dévoués pour sa cause et reconnaissant son histoire prestigieuse, et non pas ceux nommés par ghanouchi en 2012 ses adeptes de sa secte nahdha, qui ne savent rien de cette ville ni de son histoire, dont ils ne sont pas originaires et qu'ils n'ont pas habité ni connu, mais ces nominations étaient plutôt destinées à mettre main basse sur cette ville pour manigancer surtout le volet foncier et les diverses autorisations dont celles commerciales ou administratives...
Tous les problèmes économiques seraient résolus.
Bref, la Tunisie serait un paradis sur terre !
Des raisons suffisantes et encourageantes pour écarter Saïd et voter pour Ajbouni.
Le grand génie sauveur de la Tunisie !
Alors tais toi
Mais quand il s'agit de Tunis, c'est la négligence la plus complète puisqu'il s'agit de la ville d'autrui et "rizk el bilik" avec l'esprit acquis depuis au moins trois décennies en Tunisie, celui de d'appliquer l'adage qui dit qu'après moi c'est le déluge, puisque l'on rentre au bled restructuré sur tous les plans dontla comptes de la construction d'autoroutes rapides et ce pour ne pas perdre de vue Tunis la massacrée, en l'absence de responsables compétents et dévoués pour sa cause.
On dirait que toi et ton parti de ratés ne vous réjouissez que quand le pays est en difficulté.
'?a devient maladif, ma parole !
Assurément, mais quelles réformes préalables ont elles été accomplies?
Aucune.
Les projets d'énergies renouvelables avancent, plusieurs ont été approuve (500MW) en Novembre après un blocage de deux ans, l'une des conditions du FMI est la promotion des investissements dans les énergies renouvelables. Les projets de moins d'un million de mégawatt n'ont plus besoin d'accord c'est une reforme structurelle.
Des aides ciblées ont été acheminées vers les familles nécessiteuses, 900 000 milles ménages ont reçu un support financier grâce au don de 300 millions de la banque mondiale, c'est un premier pas.
L'administration pléthorique pose un vrai casse tête, si on réduit l'effectif de cette administration on augmente le chômage et on risque l'instabilité sociale et politique, les salaire quand on les comparent a la moyenne des pays méditerranéens ne sont pas si élevés . Donc est ce que ça vaut le coût de créer l'instabilité sociale si on ne va pas avoir des économies. Les fonctionnaires mis au chômage auront droit a une retraite anticipes dont on ne vas pas faire des économies.
Si on arrive a éliminer le blocage des syndicats de la STEG sur les projets d'énergies renouvelable on va réaliser une bonne reforme.
Ce genre de prêts très coûteux permets d'alimenter et d'entretenir uniquement les dépenses courantes.
Pour espérer créer de la richesse il faut d'énormes capitaux.
Quant à l'investissement, source de création de cette richesse, il est quasiment nul depuis des années.
La Tunisie est considérée comme un pays potentiellement à risque.
L'absence d'institutions démocratiques n'incite pas à attirer les investisseurs étrangers.
Au contraire, la crise politique instaurée par Saied a provoqué une crise de confiance entre la Tunisie et les bailleurs de fonds surtout que l'état tunisien est carrément dans l'incapacité d'honorer ses engagements en matières de remboursement du service de la dette.
Mais, on peut toujours rêver...!
Avec l'accord du FMI la Tunisie aura plus de chances de solliciter des prêts chez plus de partenaires. Le budget du FMI ne permet pas d'offrir un prêt plus important a la Tunisie, 100 pays attendent l'aide de l'organisme dont 64 pays classifies pauvres (la Tunisie est dans la catégorie de revenu moyen). Le FMI a déjà octroyer de 270 milliards de prêts a plusieurs pays, plusieurs économiste tel que Summers prône une levée de fonds pour la BM et le FMI pour aider les pays en crise.
On doit séparer l'économie du politique et comme le dit le proverbe: "ne joue pas avec notre dîner".
Dans ces conditions, obtenir des dons et des prêts seulement pour payer les salaires ne fait que reculer l'échéance, on comprend très bien que le FMI ne débloque pas les 4 milliards de dollars attendus, car jusqu'ici l'argent s'est évaporé en vain...