Bravo pour le travail que vous faites. Nous vous encourageons , la Tunisie a besoin de gens comme vous.
Un grand bravo à tous les agents du MI
Le ministre de l’Intérieur, Hédi Mejdoub, a été l’invité de Myriam Belkadhi ce soir du lundi 3 octobre 2016, sur la chaîne Al Hiwar Ettounsi, pour établir une évaluation de la situation sécuritaire et revenir sur les questions de la lutte contre le terrorisme et la contrebande.
M. Mejdoub a affirmé que la situation s’est améliorée même s’il faut poursuivre les efforts, vu que les menaces terroristes pèsent encore sur la Tunisie. Revenant sur la question des Tunisiens revenant des foyers de tension, le ministre a indiqué qu’il n’est pas évident de s’assurer de la bonne intégration des ces gens qui ont combattu dans les rangs de Daech, soulignant qu’il faut les maintenir sous haute surveillance. Et d’ajouter que le nombre des Tunisiens qui ont rejoint des organisations terroristes à l’étranger ne peut-être donné avec exactitude mais qu’il avoisine les 3.000 personnes.
Quant à la sécurité des frontières avec la Libye, M. Mejdoub affirme qu’elle demeure l'un des principaux soucis de son département, tenant compte des grands dangers qui peuvent surgir de cette partie. Interrogé sur le fléau de la contrebande, il a indiqué que le ministère de l’Intérieur en est entièrement responsable. Cependant, il ne faut en aucun cas qu’il soit mêlé aux problèmes sociaux, a-t-il souligné.
D’autre part, il a tenu à préciser qu'il existe une étroite connexion entre le terrorisme et la contrebande.
S’attaquant au volet de l’institution sécuritaire, Hédi Mejdoub a avoué qu’il existe quelques dépassements de la part de certains agents, « tous les cas signalés ont été sanctionnés, cependant, c’est le rôle du citoyen de dénoncer tout abus constaté. Quant aux solutions, elles ne peuvent être immédiates puisqu’il s’agit d’un travail de formation de longue haleine qui ne peut donner ses fruits qu’au bout de deux ou trois générations. Autre point, c’est la situation financière des sécuritaires, qui elle, aussi ne peut être améliorée considérablement pour le moment vu la situation de crise que traverse le pays ».
Et d’ajouter que le projet de mise en place des caméras de surveillance dans les avenues et les principales artères des villes se réalisera vers la fin de cette année, après l’examen de toutes les offres proposées.
Le ministre de l’Intérieur, Hédi Mejdoub, a été l’invité de Myriam Belkadhi ce soir du lundi 3 octobre 2016, sur la chaîne Al Hiwar Ettounsi, pour établir une évaluation de la situation sécuritaire et revenir sur les questions de la lutte contre le terrorisme et la contrebande.
M. Mejdoub a affirmé que la situation s’est améliorée même s’il faut poursuivre les efforts, vu que les menaces terroristes pèsent encore sur la Tunisie. Revenant sur la question des Tunisiens revenant des foyers de tension, le ministre a indiqué qu’il n’est pas évident de s’assurer de la bonne intégration des ces gens qui ont combattu dans les rangs de Daech, soulignant qu’il faut les maintenir sous haute surveillance. Et d’ajouter que le nombre des Tunisiens qui ont rejoint des organisations terroristes à l’étranger ne peut-être donné avec exactitude mais qu’il avoisine les 3.000 personnes.
Quant à la sécurité des frontières avec la Libye, M. Mejdoub affirme qu’elle demeure l'un des principaux soucis de son département, tenant compte des grands dangers qui peuvent surgir de cette partie. Interrogé sur le fléau de la contrebande, il a indiqué que le ministère de l’Intérieur en est entièrement responsable. Cependant, il ne faut en aucun cas qu’il soit mêlé aux problèmes sociaux, a-t-il souligné.
D’autre part, il a tenu à préciser qu'il existe une étroite connexion entre le terrorisme et la contrebande.
S’attaquant au volet de l’institution sécuritaire, Hédi Mejdoub a avoué qu’il existe quelques dépassements de la part de certains agents, « tous les cas signalés ont été sanctionnés, cependant, c’est le rôle du citoyen de dénoncer tout abus constaté. Quant aux solutions, elles ne peuvent être immédiates puisqu’il s’agit d’un travail de formation de longue haleine qui ne peut donner ses fruits qu’au bout de deux ou trois générations. Autre point, c’est la situation financière des sécuritaires, qui elle, aussi ne peut être améliorée considérablement pour le moment vu la situation de crise que traverse le pays ».
Et d’ajouter que le projet de mise en place des caméras de surveillance dans les avenues et les principales artères des villes se réalisera vers la fin de cette année, après l’examen de toutes les offres proposées.