- l'enterrement d'un projet d'une université tuniso-allemande avec des financements importants sous forme de recyclage de la dette, projet datant de 2013 et dont l'étude a été diligentée par son prédécesseur Chiheb Bouden,
- sa substitution par un autre projet d'une université franco-tunisienne UFTAM dont les tenants et aboutissants sont moins clairs que le premier et qui, comme pour le premier, souffre de l'absence d'un modèle économique avec des engagements moins importants de la partie française,
- la mise à dos de la majorité des enseignants et la très mauvaise gestion de la crise avec le syndicat Ijaba,
- la mise à dos des étudiants et de leurs familles qui n'ont trouvé comme refuge que l'université privée
- l'obtention d'un poste chichement rémunérée 30000 euros par mois, offert par la partie française en guise de récompense aux services rendus à la diplomatie française.
Sur la base de ces faits, le bilan est très peu glorieux et l'intérêt et les motivations personnelles du sinistre sont clairs au détriment de l'intérêt général du secteur de l'enseignement supérieur.