
Le secrétaire général d'Attayar, Nabil Hajji a exprimé son étonnement quant à l'annonce du limogeage de la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, à minuit. Il a considéré que ce genre de scénario était possible en cas de faute grave ou de grand scandale. Il s’est interrogé sur le bilan de Najla Bouden.
Invité le 3 août 2023 par Elyes Gharbi à « Midi Show » sur Mosaïque Fm, Nabil Hajji a indiqué qu’en cas de défaillance et de faute grave de la part de Najla Bouden ayant conduit à son limogeage, on ne devait pas la saluer pour la période passée à la tête du gouvernement. Ainsi, le président de la République, Kaïs Saïed n’aurait pas dû lui remettre un bouquet de fleurs durant la cérémonie de passation ayant eu lieu le 3 août 2023.
« Si Najla Bouden ne doit pas être tenue responsable de la gestion du pays, la logique voudrait que le président démissionne… Le président élabore les politiques et veille à leur application. C’est ce qu’énonce la constitution… Or, nous faisons face à deux discours : on nous parlait de comploteurs, d’escrocs et de cartels… Ce disque rayé n’est plus efficace… Maintenant, on nous dit que le président n’est pas responsable et que c’est la faute de la présidence du gouvernement », a-t-il ajouté.
Nabil Hajji a rappelé que Hichem Mechichi et Najla Bouden avaient tous deux été nommés par le président de la République. Kaïs Saïed vient, aussi, de nommer Ahmed Hachani comme successeur à Najla Bouden. Ceci reflète l'instabilité politique du pays. Or, l’amendement de la constitution opéré par le chef de l’État devait nous éviter cela.
Le leader d’Attayar s’est interrogé sur les critères suivis pour choisir un chef du gouvernement. Ceux appliqués par le président de la République seraient, selon lui, l’incompétence et la soumission. Ces mêmes critères ont conduit à l’incapacité à gérer le pays. Il a évoqué les pénuries touchant les médicaments et les produits de base ainsi que la hausse des prix.
S.G
Kais Saied fait face à un assemblage uni par les intérêts, et il ne se passe de jours sans entendre, lire, un compétent, un homme libre tel ce monsieur, que le Président est nul, sans culture, sans savoir, incompétent, et putschiste.
Toutes affirmations qui méritent d'être justifiées.
En matière d'incompetence, nous avons vu, subi, des individus sans savoir, sans talent sinon celui du mensonge et des accusations infondées, prendre même le ministère des affaires étrangères.
Et puis, lorsqu'on définit autrui, il y faut au moins cette capacité à se regarder dans une glace, et un peu de réflexivité, pour savoir d'où l'on parle et en vue de quoi.
C'est affligeant de lire ces trustes suées, qui brillent par la vacuité de trajectoire, délivrer des jugements insultants.
Sans doute, ils s'aiment si peu.
Si Hajji veut quelque chose, il n'a qu'à proposer ses services.
Consternant.
Quand on partait sur les chemins
'? bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Y avait MOHAMMED, y avait GHAZI
Y avait HAMEDI et KARBAI
Et puis SAMIA
C'est vraiment un grand dommage.
Allah yar'7am8om wi ina3am8om.
Je suis persuadé que cette belle époque va réapparaitre.
Sans cela, le pays ne sortira jamais de l'ornière dans laquelle les bagla-liha nous ont fichu.
C'est plus facile !?