Le Syndicat des Magistrats Tunisiens (SMT) a annoncé à travers un communiqué rendu public, hier, samedi 14 novembre 2020, une grève de trois jours des magistrats à partir du mercredi 18 novembre 2020 jusqu’au vendredi 20 novembre 2020, soulignant que cette grève peut être prolongée.
Le syndicat a déploré la politique de marginalisation et du désintérêt adoptée par l’Etat envers le pouvoir judiciaire, et ce, en ignorant toutes demandes présentées. Dans ce contexte, le syndicat rappelle qu’il a œuvré pour rencontrer le président de la République, le chef du Gouvernement ainsi le président du Parlement sauf que toutes ses demandes ont été classées sans suite.
« Ceci prouve que les demandes légitimes des magistrats n’ont aucune importance contrairement aux slogans et promesses électoraux. Ces revendications concernent la protection des magistrats à travers un statut répondant aux normes internationales, ainsi qu’une assurance maladie et sociales ». lit-on dans le texte du communiqué.
L'Association des Magistrats Tunisiens a également annoncé une grève générale de cinq du 16 au 20 novembre courant pour potester contre “la dégradation de leur situation sociale et sanitaire”.
Elle a appelé les magistrats judiciaires, financiers et administratifs à organiser lundi 16 novembre un mouvement de protestation, devant le siège du tribunal de première instance de Nabeul afin de rendre un dernier hommage à leur confrère, Sonia Laaridhi, victime du Coronavirus.
Tout en dénonçant les conditions de travail “catastrophiques” dans les tribunaux et la “détérioration” de la situation matérielle des magistrats, l’association a mis l’accent sur la nécessité d’améliorer le système de couverture sanitaire en faveur des magistrats.
S.H
Le souci c'est que le corps de cette justice qui agonise est divisé en 3 : L'AMT, la SMT et la l'instance suprême de Mr. Bouzakher , ces 3 corps de cette même justice sont divisées et politisés, dressés l'un contre l'autre. Une guerre en transitivité.
Voyez-vous 3 ou 5 ou 15 jours, ce n'est pas un souci, le BORDEL est beaucoup plus profond qu'une grève.
Evidemment, la facture, c'est au contribuable de payer de son argent, et de son sang.
Bien à vous.
Ca n'arrive jamais dans un état qui se respecte.
Et le citoyen normal doit patienter encore et encore.
Adieu 3lina !
Toutefois, je ne comprends pas la lenteur de cet appareil qui bloque l'économie et les intérêts des citoyens. Une digitalisation très faible et un manque de transparence nous conduit à l'anarchie totale et à une situation où l'entreprise ou le citoyen ne se sent plus en sécurité ou protégé par une justice fiable.
'?galement, je m'inquiète de ce corporatisme : ordre des médecins, syndicats des juges, UGTT ,
'?a dépasse les limites. Nous sommes intouchables et nous constituons des lignes rouges...
Des tribunaux à l'arrêt quasiment depuis 8 mois. C'est une chaîne, si on débloque pas les procès des entreprises et des citoyens, la situation deviendra chaotique...
J'espère une prise de conscience de tous les métiers, notre pays est en vrai danger
Win mechine ....
Rabbi maa Tounes
Génial ! Avez-vous pensés Messieurs à demander une rencontre avec L'honorable Erdogane ou Son Excellence Oueld Banana ? C'est eux qui gèrent vos salaires et votre justice.
Faites votre travail et sans "Trahdine", vous n'êtes pas au dessus des lois si vous commettez des bourdes, y a pas une "RICHA" sur vos têtes.
Qui a tué Chokri et Hadj Brahmi ?
Qui a embrigadé et envoyé nos jeunes à la mort ?
Où sont les dossiers et les pièces à convictions "DISPARUS" de vos bureaux, en relation avec des affaires de Terrorismes.
Pourquoi vous n'agissez jamais lorsque vos collègues se font corrompre par les partis ?
Dénoncez les juges et les magistrats corrompu(es), c'est comme ça que vous arriverai à assainir la justice que soi-disant vous représentez, en réalité, vous ne représentez que vous-même.
Dénoncez avec des noms, prénoms et faits et "Okhrjou Minha" la conscience tranquille. Tôt au tard vos collègues du "CLUB 188" passeront à la caisse.
Selon votre police interne, il suffit de casquer 70 000 Dinars au moment de la démission de la magistrature, et se payer une virginité en ouvrant un cabinet personnel, ou en se mettant comme CONSULTANT JURIDIQUE, SOIT, même avec cette solution ce n'est pas gagné, AU CONTRAIRE.