Le président du Parlement et leader du mouvement Enanhdha, Rached Ghannouchi, a réagi, jeudi 24 septembre 2020, à l’opposition que le président de la République a affiché face à la nomination de Taoufik Baccar et de Mongi Sfara en tant que conseillers à la présidence du gouvernement par le locataire de la Kasbah, Hichem Mechichi.
Il a appelé Hichem Mechichi à adopter une politique basée sur le consensus, dans une déclaration accordée à Mosaïque FM.
Il a souligné, également, que les nominations faites par le chef du gouvernement étaient valables tant que conformes à la loi et à la Constitution.
Mercredi, lors d’une rencontre avec le chef du gouvernement, le locataire de Carthage n'a pas hésité à sermoner Hichem Mechichi exprimant son opposition aux nominations de ces deux conseillers. Kaïs Saïed s'est attardé sur les poursuites judiciaires en cours contre ces personnalités pour appuyer sa position.
N.J.
Ya Khouya essaie d'avoir une application comme celle du contrôle parental, et installe-la sur la Tablette mta3 Elwelda, une application comme l'antivirus (Je ne sais pas si elle existe ou non) : Anti Chitane, Anti Boujalgha, Anti Fatchata, Anti gourou (....) Un truc similaire à ça. Pourquoi elle sera obligé regarder la gueule de cette chose en haut ?
Bien à vous. Isthal fil Welda rahi le seul capital qui n'en fini jamais.
Fin de commentaire.
Le grand restera toujours un grand, et vous êtes un de ces grands messieurs, qui commentent dans l'incognito et dans l'amertume, en voyant où nous en sommes. Peu de personnes sur ce forum, connaissent ces grands messieurs et leur vraie identité. Ils sont grands pour leur amour sans limite à ce pays et à ce peuple, ils sont grands par leur travail accompli pour bâtir cette nation, ils sont grands parce qu'ils ont la conscience tranquille, ils sont grand parce qu'il n'ont jamais vendu leur pays, ils sont grands parce qu'ils n'hésiteront pas une seconde à se sacrifier pour leur Tunisie, voilà ce que veut dire un grand.
Mes amitiés et mes respects cher président.
Lui qui a massacré la loi et n'a jamais respecté la loi et ce en commettant des crimes, des délits et des escroqueries devient un pseudo citoyen qui parle de loi, alors qu'il a enfreint la loi des milliers de fois avant 2011 et après 2011 et ce jusqu'à ce jour.
Qu'est ce que la Tunisie a traîné com me racailles et incompétents, dont ceux sont rivetés depuis 2011 à l'assemblée
Cela est sans intérêt, et c'est faire grand cas de ses billevesées que d'en parler.
Alors, je dis que la bête meurt dans sa M....
Merci pour 1 membre de notre Gt virtuel de 2012 qui se rappelle qu'un vieux professeur Tournesol existe et crie et écrit sa rage et sa folie pour sa Tunisie sans régionalisme, mais les Tunes se sont révélés loin très loin des normes de base d'1 gueux, d'un inculte, mais très proches d'1 eunuque!!!!
La Nature a horreur du vide, mais:
L'eunuque, intègre homme d'?tat:
Les eunuques, dans les représentations contemporaines, évoquent une histoire de l'ombre, l'ombre au sens de la souffrance silencieuse, mutique, et du sacrifice, mais aussi une histoire politique de coulisses et d'intrigues de palais, bien peu valorisante. Leur image, aujourd'hui encore, est donc fortement ambivalente et incertaine. D'une part, on ne peut la dissocier d'une histoire de l'esclavage qui s'impose actuellement en pleine lumière, tant dans le débat civique qu'historiographique. D'autre part, tant la question générale de l'excision que les débats présents sur les mutilations sexuelles et la question corrélative des identités intersexes et transgenres nous invitent à redécouvrir la castration comme souffrance imposée, en aucun cas assumée ou revendiquée 1. L'eunuque, à ce titre, devrait apparaître comme une victime par excellence et comme un cas de figure exemplaire, archétypique, du sacrifice des corps opéré par l'institution servile 2.
2 Or, il n'en est rien à l'heure actuelle au moins, car des perceptions plutôt négatives de cette histoire viennent brouiller toute représentation compassionnelle, ou tout simplement positive, d'une telle réalité. L'eunuque gardien de harem, lascif ou corrompu, faisant écran autour des sultans, et partie prenante dans les guerres de clans du palais : ce personnage relève d'un stéréotype tenace et joue un rôle majeur dans la disqualification rétrospective des modèles politiques islamiques, dans la vision d'?tats tout à la fois surpuissants et impotents, si l'on ose ce registre de la métaphore 3.
Désolé, j'ai des lectures lugubres de ce que Dieu a concocté pour ses créations et j'ai fait le tour de la chose et je rajouterai des choses de la vie bien que je sois toujours au début de mes balbutiements et à la découverte des vrais fondements de notre "Islam non tolérant" tel que présenté et défendu par des "extra-terrestres" que je nommerai des "martiens"!!!!
Tu parles Marcel des Martiens en Tunisie pour préparer Emirats du "Mehdi"?
Tout le monde rêve ?
Non! Ils sont devenus fous dans ma Tunisie"
Amitiés cher Ghazi...............
Un opportuniste de la pire espèce.
C'est la pierre qui ne dissout jamais.
Il suffit de voir cela, ça se passe en Tunisie le 24 Septembre 2020 :
http://kapitalis.com/tunisie/2020/09/24/temoignage-les-deboires-auquotidien-dun-investisseur-etranger-en-tunisie/
Lorsque @Léon, parle d'un peuple de gueux et @DIEKH, évoque un peuple d'eunuques, ils ont raison à 1000 pour 100. Un peuple en voie d'un suicide volontaire et collectif.
Que le bon lui accorde encore des années à vivre, encore 20 ans ou 30 ans, dans la maladie, la souffrance, la douleur et la solitude, pour vivre à l'anéantissement de ses frères Satan.
La dernière moquerie en date, est celle de la désignation de Hichem Mechichi, comme chef de gouvernement, qui fut apparemment désigné, et d'après leurs dires, comme le messie qui va tout arranger et qui va mettre terme à tous les dépassements et à toutes les dominations de nahdha constatées et vérifiées auparavant dans les rouages du gouvernement, et qui sont à l'origine de tous les maux socioéconomiques en Tunisie et la cause de toutes les défaillances politiques dans ce pays ballotté et lâché depuis une décennie à son propre sort et dont les prémices sont annonciateurs d'un avenir incertain voire apte à culbuter vers une déperdition inévitable.
L'euphorie n'a en fait duré que quelques jours pour que " Halimia revienne à ses vieilles habitudes", d'après l'adage tunisien, et que nahdha regretterai avoir annoncé que la gouvernance sera accordée de prime abord à de présumés indépendants pour que la Tunisie puisse sortir de sa léthargie et son fiasco sur le plan national et international.
Or, et comme auparavant, lors des cas précédents, la vérité n'a pas tardé à se révéler publiquement, et
la vaillante et alerte Abir Moussi ainsi que les menbres du PDL qui veillent au grain, se sont vite rendu compte de ladite moquerie, et se sont retrouvés dans l'impossibilité d'adhérer dans cette nouvelle mascarade; puisque tant les entrevues que les démarches pour ce consentement, se sont avérées irréalisables et dénotent d'un énième arrangement sur mesure pour continuer la mainmise malhonnête de nahdha sur les articulations du gouvernement tunisien.
De ce fait même les interventions orales du chef de l'état dont leurs contenues sont claires et leurs tons sont fermes, n'ont pas suffi à nahdha de revenir à la raison et de se désister à espérer duper davantage le peuple tunisien ; pourtant ces interventions et les insinuations y afférentes ne sont pas nouvelles.
Ainsi, le cinéma continue et les interviews et les mises en scènes télévisées sont ininterompues et toutes les moqueries sont reprises à la même case de départ.
En somme, et on le savait déjà depuis une décennie, la secte nahdha (formée à Londres en 2006), n'est pas prête à se repentir et à s'autosuffire des enrichissements et des avantages qu'ils ont obtenu (par l'arnaque) durant la décennie en question, pour espérer réparation sans la rengaine de consentement mensongères étant donné que nahdha s"agrippe au pouvoir "absolu" et ce certainement préserver sa mainmise et se prémunir de toutes inattendues surprises de se présenter inéluctablement aux assises.
Ton tour viendra inéluctablement roi de la magouille ! (Manai)