L’affaire de l’envoi de milliers de jeunes tunisiens vers les zones de conflits, notamment la Syrie, n’a pas fini de faire des vagues. L’ancienne députée et lanceuse d’alerte, Fatma Mseddi, a dit, mercredi 21 septembre 2022, « craindre pour sa vie étant donné le volumineux dossier qu’elle a présenté aux autorités judiciaires ». Pour elle « des personnes au plus haut sommet de l’État sont impliquées dans ce crime».
Quelques heures plus tard après son passage sur Jawhara Fm, Mme Mseddi, a révélé sur sa page Facebook : « On vient de m’informer que je suis sous la protection de la police et sous surveillance ».
Fatma Mseddi a donc été placée sous la protection des autorités qui ont vraisemblablement pris sa déclaration au sérieux étant donné l’ampleur qu’est en train de prendre l’affaire.
S.A
Feu Bourguiba s'est-il trompé sur leur sort ? Quoiqu'il a déjà eu de fâcheuses présomptions.
Les marionnettes demeurent toutes leur vie actionnées par des personnes cachées. Lorsque l'heure de la contre-vengeance arrive, on ne voit plus les marionnettistes. On ne voit que la bourrique qui se prend pour rusée.
Les mensonges et les intrigues ne mènent nulle part. Un fardeau dont on ne pourra jamais s'en débarrasser jusqu'à la mort.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Sans doute un Docteur islamiste, encore.