L’ancien maire d’Ezzahra, Rayen Hamzaoui a annoncé, dans une lettre, relayée par son comité de défense, qu’il entamait une grève de la faim en guise de protestation contre l’injustice dont il fait l’objet. M. Hamzaoui a expliqué avoir été arrêté et emprisonné depuis 90 jours sans preuves de sa culpabilité.
Dans une lettre, publiée à la date du 18 août 2023, Rayen Hamzaoui a indiqué que l'injustice était devenue un sport national. Il a souligné l'absence de preuves confirmant les accusations de complot contre la sûreté de l'État dont il fait l'objet. Il a, aussi, expliqué avoir été classé en tant que terroriste et interdit de parler avec les autres détenus. Tout autre prisonnier osant s'adresser à lui était puni.
« J'annonce, aujourd'hui vendredi 18 août 2023 l'entame d'une grève de la faim... Je n'ai jamais souhaité la mort... Ce péché est la responsabilité de la personne derrière cette injustice… Quoi qu'il se passe, je ne pardonnerai jamais. On a oublié que j'avais une mère et un père. Ils sont devenus malades. Mes frères souffrent. Mes enfants sont devenus orphelins... Mes enfants que je n'ai pas vus depuis le 18 mai... Mes enfants croient que je suis en voyage... Je les appelle à ne pas pardonner », a-t-il écrit.
Pour rappel, Rayen Hamzaoui a été arrêté dans une affaire de complot contre la sûreté intérieure et extérieure de l’État impliquant plusieurs personnalités politiques importantes. On lui reproche de conspirer contre le pays avec plus d'une vingtaine de personnes dont Hakim Ben Hamouda, ancien ministre des Finances et grand expert économique dans plusieurs instances internationales, Mofdi Mseddi, ancien secrétaire d’État chargé de la communication de trois chefs du gouvernement et d’un président de parlement, Maya Ksouri, grande avocate et célèbre chroniqueuse politique, Sawsen Maâlej, célèbre comédienne, Chahrazed Akacha, Malak Baccari, journalistes et Nadia Akacha, ancienne cheffe de cabinet du président de la République.
Réagissant à la chose et s'expliquant au sujet de plusieurs rumeurs circulant sur les réseaux sociaux à la date du 1er juin 2023, son père, Riadh Hamzaoui, a précisé que la relation entre son fils Rayen Hamzaoui et Mme Akacha était tendue de par le conflit qui les opposait notant que l’ancienne cheffe du cabinet présidentiel reprochait à la police municipale d’Ezzahra le décès de son frère. Riadh Hamzaoui a démenti, dans ce sens, les rumeurs selon lesquelles son fils souhaitait demander la main de Mme Akacha et que celle-ci avait refusé provoquant le litige.
S.G
Il faudrait nous en dire davantage sur cet homme.
Sur son rôle ou pas dans la comédie de ladite Akacha, tantôt une fidèle, tantôt une Messaline.....
Qui manipule qui ?
Une bourgeoisie qui a fait le lit des voyous, partageant les pouvoirs, les distribuant, ou ne prenant que ce que les puissants du moment lui concèdent ne laissant transparaître que ce que doit gober le populo.
Et puis, ces élections libres et transparentes qui ont donné à Ennahdha et tous ses suiveurs, peut-être les mêmes, presque toutes les municipalités jusqu'à celle de la capitale, avec à sa tête une femme moderne à souhait, miroir aux alouettes, qui voulut s'empresser de de débaptiser les rues , ou en chasser jusqu'à l'alphabet latin, toute trace historique française et/ou francophone.
Récrire l'histoire avec un petit ou grand H, ou la refondation, une pratique fondamentale et fondamentaliste.
Il faut croire que la conquête des âmes s'est adjoint celle des esprits, qu'il était prévu de tout remodeler, reconstruire la mémoire nationale.
Voilà une des lectures à posteriori de l'une des facettes du projet révolutionnaire dont le guide devait incarner par le verbe, l'image, la figure tutélaire dans la forme comme dans le contenu.
J'avais relevé la prosodie, la posture, l'?il mi-clos, le débit scandé, les mots choisis, de Ghannouchi lorsqu'il était prophète.
Mais, comme chacun ne sait pas, nul n'est prophète en son pays.
Mais, au fait, quel est leur pays ?
Ghannouchi, ses copains, son clan, ses suiveurs, supporters conquis dès la première heure, ou des opportunistes, n'ont que le profit après le pouvoir dans le viseur. Et pas de pays.
Ce qui explique que partout où ils posent leur valise, rien en eux ne varie, et à eux-mêmes ils demeurent semblables.
Londres, Paris, Hambourg ou ailleurs...
Et gare à qui rencontré leur chemin.
N'est-ce pas réciproque ?
Bon courage.
Ces gens ont gouverné, ont été des "conseillers", des experts, des ministres dans "plusieurs gouvernements, et quel bilan ont-ils à exhiber ?
Je réponds leur place, et en lieu et place de tous leurs amis.
Leur bilan est catastrophique.
Ils ont endetté le pays.
Après avoir détourné, volé, et vidé les caisses de l'Etat.
Ceci avec la complicité ouverte et revendiquée de beaucoup de donneurs de leçons du jour.
Donc, cet homme est un comploteur.
Il crie à l'innocence.
C'est un innocent aux mains pleines.
Apparemment, vous rêvez de porter l'habit d'un juge...!
C'est osé !!!
Ou plutôt, vous cherchez à être l'avocat du diable !!!
Ce diable qui agit contre vent et marrée puisqu'il est source de tous nos malheurs.
Vous portez des jugements voire jugez des personnes sans les avoir connus !!!
En un mot votre "contribution" est hors sujet.
Essayez de reprendre votre esprit et sortez de votre bulle d'hypocrite.
Réveillée vous ...
Le pays est dans l'abîme.
L'état tunisien n'existe plus, il est en faillite et en cessation de paiement.
Les Bateaux étrangers s'entassent sur nos côtés chargés de marchandises en attendant les paiements comptant pour livrer.
C'est si Houcine, il n'y a plus d'espoir ni de rêve dans ce bled maudit.
Le compte à rebours s'est déclenché et sauve qui peut.
Quant à ce jeune Hamzaoui, allez demander aux habitants d'Ezzahra, ils vous dirons ce qu'ils pensent de leur jeune maire.
D'ailleurs, à ce rythme où va cette gouvernance aveugle, le pays sera vide et de ses compétences et de ses jeunes en un temps record jamais vu même sous l'ancien dictateur ben Ali.
Triste de mon pays.
