


Le cas de ce magasin n’est pas isolé. Plusieurs autres espaces de grande distribution et épiceries n’ont presque plus rien à vendre aux consommateurs en termes de produits de première nécessité. Les quantités disponibles sur le marché ne sont pas suffisantes, les importations évoluent au rythme des réserves en devises de la Banque centrale, et les grossistes en alimentation ne se donnent plus la peine de s’approvisionner de par la hausse de leurs coûts.
Si cela continue, les consommateurs tunisiens vont devoir faire preuve d’ingéniosité pour couvrir leurs besoins alimentaires pour le mois de Ramadan. Non seulement, ils vont devoir cavaler de commerce en commerce pour trouver les produits dont ils auront besoin si, toutefois, ils sont disponibles, mais ils auront, en plus, à jongler avec leurs portefeuilles compte tenu de la hausse vertigineuse des prix des produits de consommation.
N.J.
En dehors d'une telle démarche, il n'y a aucun moyen d'arrêter les perturbations et le dérèglement des circuits de distribution qui peuvent déboucher sur des mouvements sociaux aux conséquences imprévisibles !
Mais bon sang qu'attend K.Saeid pour ordonner l'inondation des marchés en produits de première nécessité; qu'ils viennent de la production nationale ou des importations parce qu'il s'agit là de la sécurité nationale et de la paix sociale qui n'ont aucun prix. En ce sens que la politique d'austérité ne doit en aucun cas toucher aux produits alimentaires de première nécessité ni à l'énergie ni encore aux médicaments sinon c'est la guerre civile assurée.
A bon entendeur salut.
En plus, un peuple de vrais croyants, fatalistes; c'est ainsi qu'en a décidé le bon Dieu, Mektoub.. Qui oserait s'en plaindre
Plus besoin d'argent, cette saleté de "dar eddenia", on s'approvisionnera directement à la source, du "dgoft", du "deffef", du "dhlalff", du "barouk" et du basilic......
La vie sera certes plus belle.
W yarham khalti Meriem
Il faut s approvisionner pour les 4 prochains mois
Ya wala 7wel.
C'est HISTORIQUE.
Depuis l'apparition du Bourriqot de Carthage dans les radars et nos vies, el bled MCHAT, FOUTUE ; après une décennie noire des khawana islamistes khommejs, l'apparition du Bourriqot de Carthage a fait chuté ce qui restait du pays.
Comme quoi même en démocratie il faut respecté certaines limites en plus le respect est recommandé envers tout le monde.