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El Faouar : Les postes de sûreté incendiés et des habitants agressés
09/05/2015 | 21:31
1 min
El Faouar : Les postes de sûreté incendiés et des habitants agressés



De nouveaux affrontements ont eu lieu aujourd’hui samedi 9 mai, entre un nombre de protestataires des habitants d'El Faouar (gouvernorat de Kébili) et les unités sécuritaires, ce qui a poussé ces dernières à se retirer. Les protestataires ont également mis le feu au poste de la sécurité publique.

Ils ont aussi agressé verbalement et physiquement les journalistes qui couvraient les protestations, dont des correspondants de l’agence TAP, de la télévision nationale, d’Hannibal TV, de Radio Gafsa, de Mosaïque FM ou encore de Radio Nefzawa. De même, les vitres de la voiture appartenant à la Télévision tunisienne ont été brisées.

Ces agressions ont été confirmées dans une déclaration du ministre de l’Intérieur qui a réitéré les informations faisant état d’attaques contre les forces sécuritaires, plus particulièrement un poste de la Garde nationale par les manifestants qui menacent de donner l’assaut à une poste de gardes-frontières dans la même localité.
La ministre a annoncé, également, que des renforts de l’armée nationale ont été sollicités afin de pouvoir faire face à cette situation qui risque de dégénérer davantage et à tout moment.

D’ailleurs, dans une déclaration diffusée par radio Mosaïque Fm, Naziha Salem, professeur d’anglais dans un des lycées de la délégation de Faouar, a lancé un cri de détresse et un appel au secours face aux nombreux protestataires à Faouar qui menacent d’incendier la station de service à proximité d’une zone résidentielle, habitée par plusieurs civils et appelle les autorités à intervenir rapidement.


09/05/2015 | 21:31
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Commentaires (16) Commenter
origine
khNeji
| 11-05-2015 13:45
je m'adresse à 7ay pour lui dire es ce que tu es d'origine scandinave?
L'ORDRE, LE CIVISME EST A CONTRE NATURE DES BEDOUINS
7ay
| 11-05-2015 11:53
Ces populations drainer vers le civisme restent à la merci d'une amorce ( on l'occurrence Marzoukienne ) pour retourner à leur nature bédouine de revanchards et amateurs du désordre et du pillage. A regarder au Yémen ou le Saaid d'Egypte, pays d'origine de ce type de peuple, on voie leur acharnement à s'autodétruire dans une inconscience collective. Il faut retirer tout symbole de l'état de droit, et les laisser retrouver leur propre équilibre naturel
le prix de la provocation
G&G
| 10-05-2015 22:15
avec la rente pétrolière et phosphatière on avait créé un paradis autour du lac de tunis pour envier ces jeunes d'elfaour et de gafsa. on recolte le fruit d'un développement à deux vitesses.
Quelle gabegie...
Tunisien
| 10-05-2015 22:10
A lire ce qui se passe, on se demande si réellement les gens du pays sont normaux...
Au moindre signe, les aboiements éclatent de tout bord...
La priorité des priorités c'est enquêter et identifier les fouteurs de merde et les juger en publique. Sans cela, tout le pays va fondre en ruine, car ils sont tellement imbéciles qu'ils se foutraient le feu au cul sans se soucier qu'ils signent leu mort... Dans leur foutu logique, ils croiraient au "Djihad"
@B. Ghariani
versus
| 10-05-2015 15:26
El Faouar est un site de champs pétroliers, dans le désert. Le reste n'est pas difficile a imaginer.
de 2011 à 2015 : le constat est alarmant : injustices, pas de réformes , extrémisme etc...
griguer
| 10-05-2015 15:09
60 ans après l'indépendance , il est temps de changer les mentalités et les lois sinon les déficits vont se creuser , le chômage va augmenter , le niveau de l'enseignement va encore se dégrader , l'endettement va s'accentuer etc...
il faut une autre vision , il faut des réformes structurelles dans tous les secteurs d'activités , il faut une bonne gouvernance , il faut de la transparence dans la gestion de l'argent public , il faut une justice fiscale , il faut lutter contre la contrebande , il faut contrôler les associations qui par eux l'argent passe aux partis politique , il faut fusionner les ministères , il faut diminuer les dépenses à bardo et à carthage .
il faut la décentralisation , il faut des élections régionales locales municipales , il faut de référendum sur les grands sujets nationaux , il faut revoir la caisse de compensation des hydrocarbures et des produits alimentaires car n'oublions pas 1 million de libyens sont bénéficiaires . il faut fusionner cens et corps . il faut une caisse d'assurance maladie , il faut abolir le contrat sivp qui rend nos diplômés jetables comme du papier toilette et bénéficie aux hommes d affaires .
il faut une justice judiciaire indépendante .
60 ans après les indices les chiffres sont mauvais il faut dire la vérité aux tunisiens et tunisiennes .
que va -t-il se passer en Tunisie dans les années à venir ? le flou règne . y a de quoi être inquiet car il n y pas de vision il n y pas de réformes structurelles annoncées .
bras de fer
bela e monela
| 10-05-2015 14:48
En ce moment il fau que le gouvernement se montre plus freme et plu fort contre ses hors la loi il tenir le pays avec un bras de fer les arabes ils comprendront jamais les vrai valeurs de la liberté et la laïcité ses des sociétés detruites et n ont pa de structures c pour ça il fau le baston laassaaaa
Déclarer un couvre feu dans tout le sud.
Veritas
| 10-05-2015 14:24
il est urgent de déclarer un couvre feu dans tout le sud pour anéantir le complot qui se trame,l'électorat du sud est manipulé par leur mentors khwanjias ainsi que leurs *** du cpr,de Marzouki de ayadi et toute la bande qui est au solde de la confrérie .
Information incomplète!!!
B. Ghariani
| 10-05-2015 12:27
Nous aimerions savoir les causes d'un tel débordement. Comment voulez-vous qu'on puisse donner notre opinion sans connaissance de cause. Mmes et Mrs les journalistes faites proprement votre travail.
merci
M.B.G.
Tant que le conflit libyen persiste un couvre feu s'impose au sud Tunisien
Navigateur
| 10-05-2015 12:07
Le conflit libyen, les politiciens perdants, les maitres de la contre bande, les profiteurs du désordre et le tribalisme forment un ensemble explosif et dangereux s'il n'est pas maitriser avant déflagration. L'antidote de la violence et du non respect des règles de la democratie et des libertés c'est la force et la formation. Avec ce climat d'instabilité sociale un couvre feu s'avère nécessaire dans les gouvernorats de Tataouine, Kebili et Gafsa jusqu'a l'instauration de l'ordre et la métrise des phénomènes cités au début de ce commentaire