Au départ, en 2011, c'était Bernard Henri Levy, le philosophe et grand sioniste, deux caractéristiques antagoniques et incompatibles dans un seul individu, car ou il est l'un ou l'autre et jamais les deux à la fois, qui avait créé le Conseil National de Transition, un habit sur mesure pour Mustapha Abdeljalil, Mahmoud Djibril et même le traître par excellence Chalgham, qui à l'époque était à New York en tant que représentant de la Libye à l'ONU. Ce dernier, comme aurait pu le faire un homme digne pour son pays et pour son chef, il a corroboré le discours d'Alain Juppé, le ministre des affaires étrangères de l'autre sioniste, aussi logiquement en conflit d'intérêts, le dénommé Nicolas Nagy Bosca Sarkozy président de la France à l'époque, et, la demande explicite de la Ligue Arabe (Le Club exclusif des félons arabes, comme Nabil Al Arabi) de faire voter une résolution impliquant l'article 7, c'est-à-dire l'article qui donne carte blanche à l'OTAN, l'Organisation de la Terreur de l'Atlantique Nord, pour raser la Libye de la carte du monde.
Des centaines d'avions militaires, des dizaines de navires de guerre, des milliers de mercenaires sur le terrain dont ceux du Qatar, de la famille Saoud, du « roi » de Jordanie, du nouveau Sultan d'Istanbul Erdogan, des Emirats de Zayad Bin Sultan ainsi que la famille Assabah de la ville de Koweït, une ville de la province de Bassora au sud de l'Irak, devenue depuis 1963, par la volonté des anglo-saxons une principauté comme toutes les autres de la zone. Des émirats-obstacles mortels pour tous les peuples arabes, musulmans et autres dans le monde sur le chemin de leur émancipation.
Le Conseil de la Réconciliation ?
Toutes ces forces sataniques renforcées par les prières à Dieu de Ghanouchi pour une victoire éclatante, ont mis ensemble plus de huit mois pour tout détruire et tuer le maximum de la population civile et finalement tuer à coups de poing et à coups de couteau, le chef qui a dirigé ce pays durant plus de quarante ans. Aujourd'hui, après plus quatre ans on vient de créer « Le Conseil de la Réconciliation en Libye ». Pourtant l'assassin, à l'origine du Grand Massacre, Sarkozy court toujours, et, si les français se révèlent encore plus bêtes qu'on ne l'a jamais pensé et vote pour lui aux prochaines élections présidentielles, il pourrait revenir prochainement à l'Élysée. Il a d'autres pays arabes dans sa tête à éliminer. Peut-être pense-t-il à l'Algérie où il a été mal reçu en 2007 et en 2015 ? ' Il a aussi d'autres pays africains récalcitrants qui pourraient faire partie de sa liste.
Et tout comme le Conseil National de Transition avait donné l'argument à Sarkozy, il est certain que le Conseil de la Réconciliation soit l'argument que cherche le général David Rodriguez, le commandant de USAFRICOM ou AFRICOM (UNITED STATES AFRICA COMMAND). Il s'agit d'un commandement combattant, responsable des opérations militaires des États-Unis dans 53 pays africains, exceptée l'Egypte, non parce que ce pays soit une puissance mondiale, mais tout simplement parce que de l'Égypte est chargé un commandement spécial, en l'occurrence, le porte-avions fixe, en Palestine depuis bien avant la création de l'AFRICOM : c'était le chef d''uvre d'un hideux sioniste célèbre du nom d'Henry Kissinger. Et enfin de compter réconcilier qui avec qui ? Sinon les traîtres entre eux et aux dépens des centaines de milliers de martyrs !
Ce commandement militaire a été créé le 01 octobre 2007 en tant qu'Unité provisoirement faisant partie du commandement unifié des Etats-Unis en Europe pour passer par la suite à être une Unité totalement indépendante et opérative à partir du 30 septembre 2008. Bien qu'officiellement son siège soit resté jusqu'à présent Stuttgart en Allemagne, on chercherait à l'approcher les plus que possible du « théâtre de leurs opérations ». Déjà une grande partie de ces militaires US ont déménagé à la base militaire que leur a été offerte par les espagnols, la base navale de Rota depuis le 5 avril 2013, néanmoins ils chercheraient aussi à s'installer soit en Tunisie ou au Maroc en plus du Mali, du Nigéria et du Niger. Ils voulaient d'un