La journaliste de Radio Tunis chaîne internationale (RTCI), Ines Jelassi Moussa a lancé un grand coup de gueule en direct à la date du 25 mai 2022. « Pas de débrief ce matin ! J’étais censée prendre part à la cinquième édition de la conférence internationale Financing Investment and Trade In Africa (FITA 2022)… L’équipe était au complet. On s’était pointé à 7h du matin sur les lieux de la conférence, sauf qu’on n’a pas pu faire de transmission en direct ! », a-t-elle expliqué.
Ines Jelassi Moussa a révélé sur les ondes de RTCI qu’il ne s’agissait pas d’une panne technique, mais d’un problème financier ! Elle a rappelé que les sites web des différentes radios publiques ne fonctionnaient plus depuis plusieurs mois.
Ines Jelassi Moussa a considéré qu’il s’agissait de la goutte de trop. Elle a précisé que plusieurs invités de renommée mondiale n’avaient pas pu s’exprimer en direct sur les ondes de RTCI.
« Quelle honte et quelle honte ! Y a-t-il un pilote dans l’avion ? Pas de PDG ! Pas de secrétaire général ! Nous suffoquons… Ce qui se passe actuellement est indescriptible ! Pas d’Internet ! Pas de casque ! Des conditions lamentables ! Un sit-in se tiendra aujourd’hui devant les locaux de la radio ! », s’est-elle exclamée.
Les larmes aux yeux, Ines Jelassi Moussa a rappelé qu’elle avait fait ses débuts à RTCI en 1993 et qu’elle n’avait jamais vu une telle dégradation de la situation. Elle s’est excusée à mainte reprises auprès des auditeurs.
S.G
Je n'ai jamais plus allumé cette niche de trahison médiatique, après avoir regardé ce débat nauséabond, où l'animatrice ne laissait parler quasi que le vieillard de faibles facultés mentales Sadok Belaïd (83 ans), jusqu'à lui fourrer des mots artificiels entre sa denture artificielle, en soutien criminel au putsch du 25 juillet dernier.
Nous sommes tous pour le bien de notre Patrie la Tunisie. De n'importe quel côté que ça vienne. Mais nous ne soutenons jamais le mensonge, la malhonnêteté, l'intrigue et la destruction de l'Etat tunisien et de ses institutions républicaines.
Nous vienne un inconnu. Il profite des acquis démocratiques de notre deuxième République tunisienne, de sa Révolution du 14 janvier 2011 et de sa Constitution de 2014. Il fait un saut inédit, d'un retraité de milieu des cafés populaires de la Mnihla, directement vers le sommet de l'Etat tunisien en plein dans le palais des dictateurs Bourguiba et Ben Ali, à Carthage. Malgré tout, il ose se retourner contre tout le système démocratique dont il a joui lui-même. Il oublie ce qu'il a juré main sur le livre saint le Coran. Il ferme portes et fenêtres aux autres Tunisiens, qui rêvent aussi d'arriver au Palais de Carthage comme lui. Il leur dit:"DOUILLIOU", c'est la dernière république tunisienne de chances égales entre tous les Tunisiens. Maintenant, c'est devenue ma propre 3ème république à moi tout seul, soutenu par les armes à feu des ennemis des Révolutions arabes. Ceux-là mêmes qui immobilisent l'armée nationale tunisienne et la rendent incompréhensible par leurs méthodes dictatoriales à la Saffah Sissi d'Egypte.
Allah yostir Tounes..
Et on trouve le moyen de pleurnicher.
Mais a quoi vous servez? Et si vous disparaissez pour rendre l'électricité moins chère pour les smigard